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Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 00:26

L'Hyperactivité et les maladies dégénératives (asthme, allergies alimentaires, cancers) en recrudescence chez les enfants ont un facteur commun : les additifs, colorents et ajouts chimiques de l'alimentation. Quelles sont les réactions des pouvoirs publics, comment y remédier ? Le constat d'un Naturopathe.

 

 

HYPERACTIVITE ET ADDITIFS ALIMENTAIRES

 

 

additifs ALIMENTAIRES

Des études ont démontré que les additifs alimentaires sont liés à l'hyperactivité des enfants.

Il y a plus de 30 ans l’hypothèse selon laquelle certains additifs alimentaires dont le colorant E110, présent dans de nombreux bonbons, favoriserait l’hyperactivité des enfants avait été avancée par pédiatre américain Ben Feingold.
Cette hypothèse a été rapidement passée sous silence.


En 2007 la très sérieuse revue médicale britannique « The Lancet », a mis en cause l'effet de certains additifs alimentaires sur le comportement hyperactif des enfants. Cet article est fondé sur un rapport de l'Université de Southampton réalisé en 2007 pour l'agence des normes alimentaires britannique (Food Standards Agency, FSA).
Et les produits de consommation préférés des enfants sont justement ceux qui présentent le plus d’additifs : bonbons, pâtisserie industrielle, sodas…
Cette étude menée sur 298 enfants de trois, huit et neuf ans, démontre que l'association de certains additifs favorise l'hyperactivité infantile.

Les enfants touchés par ce fléau souffriraient : de suractivité, d'impulsivité, d'inattention et de difficultés d'apprentissage. Pour le Docteur Laurent Chevalier (médecin spécialiste de la nutrition au CHU de Montpellier), l'influence de ces additifs serait, " en fonction des quantités absorbées, probablement plus grave qu'on ne le croit ". En particulier pour le E211 (appelé également acide benzoïque), soupçonné de perturber les mécanismes de la dopamine et d'agir sur les neurotransmetteurs cérébraux.

QUELS SONT LES ADDITIFS SUSPECTES ?

Tous les additifs de la famille des E

Les colorants (E100 à E181) sont presque tous suspects ainsi que le conservateur E211. Ils sont notamment présents dans grands nombres de sucreries et de sodas.


ADDITIF-13 X  
QUELS SONT LES RISQUES INHERENTS A LA CONSOMMATION DE CES ADDITIFS ?

 

COLORANTS :


E102 : colorant jaune.

Risques d'allergies croisées avec l'aspirine. Potentiellement cancérogène. Autorisé pour de nombreux aliments, sucreries et pelliculage de médicaments. Additif interdit en Autriche, Finlande et Norvège.


E104 : colorant jaune.

Allergisant et potentiellement cancérogène (provoque notamment des cancers du rein et du foie chez les rats). Interdit aux USA et en Australie. Autorisé pour les pâtisseries et sucreries.


E110 : colorant jaune.

Allergisant et potentiellement cancérogène. Autorisé pour les confiseries, crèmes glacées, bonbons, pâtisseries, boissons sans alcool, liqueurs,...


E122 : colorant rouge.

Allergisant et potentiellement cancérogène. Autorisé pour les flans, boissons, sucreries.


E124 : colorant rouge très dangereux.

Potentiellement cancérogène. Autorisé pour les sucreries, boissons, certains ketchup et cerises confites.


E129 : colorant rouge. Potentiellement cancéràgène. Autorisé pour de nombreux aliments.


CONSERVATEUR :


E211 : conservateur. Allergisant soupçonné d'avoir des effets nocifs sur le foie, l'ADN, le cerveau. Autorisé pour de nombreux aliments, principalement les confitures allégées et boissons aromatisées non alcoolisées.

 


Ces colorants et ce conservateur associés peuvent donc être considérés comme de véritables bombes neurologiques à retardement pour nos enfants, puisque l’on sait que chacun de ces colorants peut provoquer asthme, urticaire, eczéma, rhinites, troubles de la vue, insomnies, vomissements, maux d'estomac, accidents allergiques, troubles neurologiques.

Selon une étude de 2005 du Professeur Vyvyan Howard, toxico-pathologiste, et son équipe de l'Université d'anatomie et de biologie cellulaire de Liverpool, le colorant E104, associé à de l'aspartame, pourrait affecter les cellules nerveuses 7 fois plus qu'utilisé seul ! L'étude faite in vitro sur le cerveau d'animaux en laboratoire a mis en évidence qu'une fois mélangés, ces additifs-là peuvent empêcher la multiplication des cellules nerveuses compromettant ainsi une croissance normale du cerveau.

ADDITIF-17 XQUELLE EST LA REACTION DE NOS POUVOIRS PUBLICS A LA SUITE DE CES ETUDES ?

Dans ce cas, comme dans d’autres, le principe de précaution ne s’appliquera pas !

L'EFSA (Autorité Européenne de Sécurité des Aliments) a évalué l'étude de Southamptom sur les additifs alimentaires et le comportement des enfants et a conclu que cette étude n'apportait que des preuves limitées d'un léger effet sur l'activité et l'attention de certains enfants et que la DJA (dose journalière admissible) des colorants cités ne serait donc pas revue à la baisse.
 
L'EFSA a précisé son incapacité à identifier quels additifs seraient responsables des effets observés chez les enfants compte tenu que des associations ont été testées et non des additifs pris individuellement (EFSA - Avis scientifiques du 7 mars 2008).
" Même si les résultats de l'étude peuvent être pertinents pour certains individus présentant une sensibilité aux additifs alimentaires en général ou aux colorants alimentaires en particulier, il n'est pas possible, à l'heure actuelle, d'évaluer l'étendue d'une telle sensibilité sur l'ensemble de la population ". (EFSA - communiqué de presse du 14 mars 2008).

La santé des enfants ne semble donc guère préoccuper les Instances Européenne s en matière de risques alimentaires et aucune mesure n'a été prise malgré l'étude alarmante de l'Université de Southampton.
  
LES CONSOMMATEURS NE SONT PAS PLUS ENTENDUS QUE LES SCIENTIFIQUESADDITIF-14 X

Ainsi le BEUC (Bureau européen des unions de consommateurs) continu encore aujourd'hui à demander l'interdiction de ces colorants :  "Il est inacceptable de laisser sur le marché des substances clairement suspectées d'augmenter l'hyperactivité chez les enfants, d'autant plus qu'elles n'ont aucune valeur ajoutée si ce n'est que de colorer la nourriture", a commenté Monique Goyens, directrice générale du BEUC. (Dans une dépêche adressée à l' AFP du 10 avril 2008 : Enfants hyperactifs : six colorants alimentaires mis en accusation)
 
TOUJOURS AUTANT D’ADDITIFS ET A DES TAUX NON AUTORISES

Plus de 40 % des confiseries ne sont pas conformes aux normes en vigueur constate la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Pour les deux tiers, il s'agit d'un problème d'étiquetage : soit un ou plusieurs colorants trouvés dans les bonbons ne sont pas mentionnés, soit ils sont absents du produit alors qu'ils sont notés dans sa composition... Les autres anomalies constatées sont liées " principalement à la présence de colorants à des taux non autorisés ", explique la DGCCRF, avant d'ajouter que ces quantités non conformes sont en général " légèrement supérieures " aux taux autorisés (Le Point, le 17/04/2009).

LE MARKETING ET LA VALSE DES ETIQUETTES

Les parents sont donc semble-t-il bel et bien pris en otage par l’industrie agro-alimentaire lorsque celle-ci « omet » de mentionner un ou des additifs ou lorsqu’elle les utilise à des taux non autorisés. Pourtant les parents doivent savoir que « légalement, tous les additifs alimentaires doivent être listés sur les étiquettes afin qu'ils puissent faire le choix d'éviter certains produits s'ils le veulent » précise le Docteur Andrew Wadge, chef scientifique au FSA (food safety authority, agence de sécurité alimentaire).
ADDITIF-16 X Mais comment savoir si les étiquettes sont fiables ? Comment s’y retrouver dans la valse des étiquettes ?
 

Ces colorants font aujourd'hui l'objet d'études de l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) dans le cadre de la réévaluation de la sécurité de tous les colorants alimentaires. Sur la base des recommandations scientifiques de l'EFSA, la Commission européenne et les autorités nationales des États membres décideront s'il convient de prendre des mesures afin de protéger la santé des consommateurs. Pourtant, " Les substances colorantes seraient responsables de plus de la moitié des allergies ou intolérances alimentaires " selon Laurence Wittner (auteure de : Savez-vous vraiment ce que vous mangez ? Le vrai mode d'emploi des étiquettes alimentaires, Leduc. Editions).

ADDITIFS-8LES PARENTS ET LES ENFANTS VICTIMES DE L’INDUSTRIE

Les enfants sont les premières victimes de ces produits de grande consommation très marketés.
Les industriels ont tout fait pour assimiler les sucreries à un moment de joie, de plaisir et même de récompense. Alors les parents offrent à leurs enfants des sucreries, des bonbons, des pâtisseries industrielles et des sodas en étant convaincus de « bien faire » mais ces cadeaux sont bel et bien des cadeaux empoisonnés qui accumulent dans l'organisme des enfants des ingrédients chimiques potentiellement dangereux.


L’étiquettage –obligatoire- est presque une fois sur deux tronqué, falsifié, malhonnête et quand bien même l’étiquette stipulerait scrupuleusement TOUS les additifs inclus au produit, qui donc en connaît, à coup sûr, les effets pervers sur la santé ? 

 

ADDITIFS-10

 

 

Les scientifiques ne cessent de tirer la sonnette d’alarme, on sait aujourd’hui, qu’outre l’hyperactivité des enfants, les ajouts synthétiques à nos aliments sont parmi les facteurs déclanchants des maladies dégénératives, neurodégénératives, des allergies alimentaires, des troubles du comportement alimentaire favorisant l’addiction au sucre, au sel, aux graisses et partant l’obésité ou l’anorexie mais sont aussi significatifs dans l’émergeance des cancers.

ADDITIF-12 XLe marketing a plus d’un tour dans vilain son sac et, comme la sorcière de Blanche Neige, il tend aux enfants (et aux adultes) ses friandises empoisonnées. On ne compte plus les jouets surprises dans les chocolats, les stars en tous genres, mais souvent sportives, qui se nourrissent de barres chocolatées...dans les pubs télé, les petits déjeuners soit-disant équilibrés et les sodas qui donnent du bonheur à toutes les générations et oui : c'est beau la vie entend-on chantonner en mangeant des bonbons !


Comment résister ?

Doit-on systématiquement refuser toutes friandises ?

Comment faire comprendre à nos enfants que le gentil clown va devenir leur pire ennemi ? Et bien justement en leur faisant comprendre, en leur expliquant et ils comprennent : nos enfants ne sont pas des imbéciles !

Jugez-en par vous même dans cette vidéo :

 

Un test a été fait dans une école pendant deux semaines, les résultats sont édifiants

 voir la vidéo. b ok mod ident


Et si vous aussi, vous faisiez l’essai ?

 


Et pourquoi interdire de manger des gâteaux, des bonbons, de tartiner son pain de pâte chocolatée quand ces produits existent en bio ou mieux quand on peut les cuisiner ou les fabriquer soi-même ?
 

Inutile d’attendre, comme pour le tabac, la mention " L'abus de colorants nuit gravement à la santé " sur les paquets de bonbons, gâteaux et sodas, inutile d’espérer une énième étude pour que nos pouvoirs publics prennent enfin les décisions qui s’imposent.

Il n’est que temps d’agir : ADDITIFS

                                les enfants ont le sortilège avec les bonbons !

 

 

Le Dossier noir des " Maladies dégénératives " :  


On tue nos enfants ! 


Les maladies dégénératives en augmentation

Maladies dégénératives, le foetus première victime

Les maladies dégénératives passent à table !

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Hyperactivité, Maladies dégénératives et additifs le lien est établi !

Antennes-relais et maladies : il n'y a plus de doute !

Maladies dégénératives, leucémies et nucléaire : trop de cas

Maladies dégénératives, des poisons dans vos placards...

Maladies dégénératives, retrouvez l'hygiène au naturel !

Les Maladies dégénératives, en conclusion

 

Dans la Presse :

Le Rôle des Pouvoirs publiques et des instances de surveillance en France

Dans la presse : Y a-t'il un Ministre de l'écologie en France ?

Dans la presse : l'Affsaps de nouveau sur la sellette

Dans la presse : de la bonne santé de l'Agro-Alimentaire

Dans la presse : taxe sur les sodas, c'est pô juste....!!!

 


 

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10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 13:59

  Pesticides, engrais, produits de synthèse, pour la première fois l'espérance de vie aux Etats-Unis diminue tandis que le nombre de maladies dégénératives augmentent et si nous nous empoisonnions lentement avec la nourriture industrielle et l'agriculture intensive, la question à laquelle tente de répondre un Naturopathe. 

 

A.HomeNaturo Overblog

Combien de temps encore allons-nous sacrifier nos enfants sur l'autel de la rentabilité ?  

Pour la première fois l'espérance de vie aux Etats-Unis est en diminution : les Américains nés en 2008 vivront 77,8 ans en moyenne, contre 77, 9 l'année précédente soit un recul d'un mois. C'est une rupture significative avec des décennies de hausse continue.

Qu'attendent donc les parents pour comprendre qu'ils empoisonnent leurs enfants un peu plus chaque jour ! Non, le cancer n'est pas une fatalité, non les maladies dégénératives ne sont pas des fatalités, non la puberté précoce n'est pas une fatalité ! Les parents ont la responsabilité de leurs enfants or ils délèguent cette responsabilité aux pouvoirs publics liés et soumis aux grands groupes industriels ! J'ai entendu un médecin me dire très sérieusement que les aliments bio ne présentaient pas plus de bénéfices pour la santé que les aliments industriels ou issus de l'agriculture intensive, quel âne ! Comment peut-on encore imaginer que manger une pomme ayant subi plus de 36 traitements phytosanitaires chimiques peut-être bénéfique pour la santé ?

Un enfant ne se nourrit pas à grands coups de plats surgelés, de barres chocolatées, de sodas et de pâte à tartiner, lisez les étiquettes des produits de grande consommation et demandez-vous - " mais que contient donc l'assiette de mon enfant ? "

 

250px-Hazardous-pesticide

 

Des substances chimiques plein l’assiette des enfants


C’est une étude à vous couper l’appétit d’emblée. Étude au titre alarmiste « Menus toxiques » de l’association Générations futures. Celle-ci a fait analyser les aliments qu’ingurgite en général un enfant de 10 ans sur une journée. Résultat : plus de 80 substances chimiques, dont certaines susceptibles d’être cancérigènes, de provoquer des maladies dégénératives et d’autres enfin de perturber le système hormonal.

courges-6À table…

 

 
L’association Générations futures, ancien Mouvement pour le droit et le respect des générations futures (MDRGF), a commencé par faire son marché : elle a acheté de juillet à septembre les denrées classiques qui composent les menus d’une journée d’enfant, dans des supermarchés de l’Oise et de Paris.


Des menus types, soit trois par jour, plus le quatre-heure et un encas, respectant à la lettre les recommandations officielles : cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers et 1,5 litre d’eau par jour.
L’ensemble a alors été soumis à plusieurs laboratoires, pour tâcher d’y détecter la présence de substances chimiques, pesticides, métaux lourds et autres polluants.

 

Quand on cherche, on trouve


Et quand on cherche, on trouve : cette assiette qui aurait pu être scrupuleusement préparée par maman comprend en vrac : PCB, quinoxyfène, arsenic ou myclobutanil.

En clair, « 81 substances chimiques, dont 42 sont classées cancérigènes possibles ou probables, 5 substances classées cancérigènes certaines et 37 substances susceptibles d’agir comme perturbateurs endocriniens « , résume l’enquête de Générations futures.


courges-7Rien que dans un inoffensif petit déjeuner, le beurre et le thé au lait recèleraient une trentaine de résidus. La pomme du goûter, importée du Brésil, présenterait elle des traces de substances chimiques, dont un fongicide interdit en France. Les haricots verts du Kenya d’autres traces d’insecticide puissant interdit dans l’UE. Sans oublier le steak haché, la baguette de pain ou le chewing-gum truffés de substances suspectes. La palme revenant in fine au steack de saumon du dîner : 34 résidus chimiques détectés. Un repas arrosé à l’eau du robinet, parfumée aux nitrates et… au chloroforme.
Un appétissant « cocktails de contaminants » dont le risque final est « probablement sous-estimé », selon Générations futures, qui précise que, de fait, analysée une par une, aucune substance chimique détectée dans l’expérience ne dépasse les limites légales.


Ce n’est pas la première étude qui s’étonne, voire s’alarme, de cette contamination « ordinaire » à laquelle nous sommes soumis. En 2008, il avait été officiellement établi (sur un échantillon de 3.430 unités), que 59% des fruits contenaient des traces de pesticides en Europe, dont certains (kiwis, raisins, poires, cerises, pommes) dépassaient cette fois les limites maximales réglementaires.
Source : France Info et Générations futures

 

Toujours pas convaincu ?


De plus en plus de cas de puberté précoce

 

Des polluants chimiques auraient été détectés dans l’urine de fillettes américaines âgées de 8 à 9 ans. Ils provoqueraient une puberté très précoce et pourraient confronter les filles à un risque plus élevé de cancer du sein durant leur future vie de femme.
Cette étude américaine a été menée par les chercheurs du réseau Breast Cancer and Environmental Research Centers (BCERC) auprès de 1.100 fillettes de 8 à 9 ans, vivant dans trois régions différentes des États-Unis.

Deux analyses urinaires réalisées à un an d'intervalle ont révélé la présence de trois sortes de polluants chimiques présents dans l’environnement : des phénols, des phtalates, et des phytoestrogènes.

Ces substances demeurent dans l’organisme durant plusieurs années et sont stockées dans le tissu adipeux. Leur présence peut entraîner de graves conséquences et notamment provoquer, chez des fillettes, une puberté très précoce survenant à l’âge de 8 ans.

Le professeur Charles Sultan, chef de service en endocrinologie pédiatrique au CHU de Montpellier, notifie ainsi au Quotidien du médecin que ces taux élevés de polluants "peuvent perturber le développement pubertaire et entraîner un risque de complication plus tard dans la vie et notamment de cancer du sein". D’après lui, certaines régions souffriraient même d’ "épidémies" de puberté précoce survenant à l’âge de 8 ou 9 ans. "Si des taux semblables sont rencontrés chez des individus aussi jeunes, ils sont susceptibles d'augmenter avec le temps" conclut-il.

Source : Maxisciences & AFP


 
"Aujourd'hui, il n'est pas rare de voir des fillettes de 10 ans déjà formées, constate le professeur François Gouraud, chef du service pédiatrie au CHU de Meaux. Cela crée une maturation sexuelle plus précoce chez les fillettes. " Aux Etats-Unis, plus d'une petite fille blanche sur dix montre des signes de puberté à 7 ans, soit deux fois plus qu'il y a dix ans.
Chez les petites filles noires, le taux monte à une sur quatre.


Accusés ?

L'environnement et l'alimentation industrielle :courges-9 pesticides, phtalates présents dans les plastiques, ou bisphénol, à forte activité oestrogénique, interdit dans la fabrication des biberons depuis juin 2010.

Certaines études ont pointé le temps passé devant la télévision : en plus de favoriser la prise de poids, il abaisserait le taux de la mélatonine, l'hormone dite du sommeil, qui joue un rôle central.


Les conséquences d'une telle puberté précoce ? Elles ne sont guère réjouissantes : diabète, maladies cardiovasculaires, maladies neurodégénératives, risque accru de cancer du sein et de l'utérus à l'âge adulte.

Source : Le Nouvel Observateur du 22-04-2011


250px-Hazardous-pesticide.jpg

Analyse du CEHM des pommes et des résidus de produits phytosanitaires

des résultats qui doivent restés confidentiels selon le CEHM

Lire le Pdf en ligne b ok mod ident

En voici le copié-collé :

POMME 2007
Action n° 3.01.02.29
Analyse des résidus de produits phytosanitaires
Claude Tronel Ctifl/CEHM – Karine Faure - Xavier Crété – Gérard Ferré CEHM
I – O B J E T
Démarche suivie à la demande de l'organisation économique visant à s’assurer
de la qualité des pommes produites dans le Bassin vis à vis des résidus de
produits phytosanitaires.
II – M A T É R I E L & M É T H O D E
Compte tenu de la longue période de mise en marché des pommes, les résultats
rapportés en 2007 sont ceux qui ont été obtenus à partir des fruits de la récolte
2006.
Les règles de fonctionnement des cahiers des charges agréés par la Charte
Nationale PFI prévoient un auto contrôle des résidus par la réalisation d'une
analyse multi-résidus pour chaque tranche de 1000 tonnes mise en marché.
Ce sont donc ces résultats, retransmis par les labos avec l'accord des OP, qui
nourrissent la base de données, initiée dès 1989 par la Section Nationale Pomme.
Le Ctifl est chargé de la coordination de cette opération, avec les stations
régionales d'expérimentation.
Le prélèvement des fruits est assuré en cours de déstockage ou lors du
conditionnement. Les analyses effectuées sont toutes des analyses multi-résidus.
Elles sont réalisées en laboratoires agréés par le COFRAC sur une liste minimum
de 20 substances actives homologuées sur pommier.
III – R E S U L T A T S
Le dispositif mis en place par la profession a permis d'apporter un nombre
important de résultats à la base de données :
1035 analyses ont été réalisées au niveau national, ce qui correspond à
une production contrôlée de 1.035.000 tonnes dont 221 pour le BRM
(221 000 tonnes contrôlées).

Les résultats, dont le détail doit rester confidentiel, ont été présentés oralement aux professionnels et à leurs techniciens à l'occasion de réunions au cours de l'hiver

 IV – C O N C L U S I O N
Les informations issues de cette base de données permettent de mieux connaître
les produits phytosanitaires et de mieux cerner les stratégies à risque.
Ces résultats sont pris en compte dans le raisonnement des programmes de
protection de vergers et contribuent à la réduction de l’utilisation des produits
phytosanitaires.
Année de début de l’action : 2002
ACTION Nouvelle engagée  En cours
Année de fin de l’action : 2012
Renseignements complémentaires auprès de : Claude Tronel
Centre Expérimental Horticole de Marsillargues ~ Mas de Carrière ~ 34590 MARSILLARGUES
 04.67.71.55.00 -  04.67.71.09.11 -  ctronel@cehm.net


INRA :

Comparatif (IFT) de l'Indicateur de Fréquence de Traitement phytosanitaires

pomme et autres cultures :

 (IFT ou Indicateur de Fréquence des Traitements)

L’IFT prend donc en compte l’intensité du traitement, celui-ci pouvant être partiel. Il peut être décliné en herbicides, fongicides, insecticides et autres pesticides. L’intérêt de l’IFT est de permettre d’agréger des substances très différentes et ainsi de mesurer une pression phytosanitaire globale. En revanche, l’IFT ne prend pas en compte les caractères spécifiques de chaque produit, notamment leur degré de toxicité. C’est donc un indicateur limité pour évaluer les risques potentiels de l’utilisation des pesticides ainsi que les impacts de ces
derniers sur l’environnement et la santé publique.


IFT et charges en pesticides par hectare et par production en 2006.

 Pomme de table IFT = 36,5 Pesticides - coût : €/ ha 1 267
Grandes cultures IFT = 3,8 Pesticides - coût : €/ ha 134
dont

blé tendre IFT =  4,1  Pesticides - coût : €/ ha  133          
dont colza IFT = 6,1   Pesticides - coût : €/ ha  203

 dont tournesol IFT = 2,1  Pesticides - coût :  €/ ha 87
dont pomme de terre IFT = 16,7 Pesticides  - coût :   €/ ha  489

L’abandon de l’utilisation de produits de synthèse peut se traduire par l’emploi de produits de substitution dont les prix sont plus élevés. C’est le cas notamment en arboriculture,  pour la reconversion en agriculture biologique.
 

Source INRA - Colloque du 12 mars 2011 Intervention de Jean-Pierre BUTAULT

 

Le Dossier noir des " Maladies dégénératives " :  


On tue nos enfants ! 


Les maladies dégénératives en augmentation

Maladies dégénératives, le foetus première victime

Les maladies dégénératives passent à table !

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Hyperactivité, Maladies dégénératives et additifs le lien est établi !

Antennes-relais et maladies : il n'y a plus de doute !

Maladies dégénératives, leucémies et nucléaire : trop de cas

Maladies dégénératives, des poisons dans vos placards...

Maladies dégénératives, retrouvez l'hygiène au naturel !

Les Maladies dégénératives, en conclusion

 

Dans la Presse :

Le Rôle des Pouvoirs publiques et des instances de surveillance en France

Dans la presse : Y a-t'il un Ministre de l'écologie en France ?

Dans la presse : l'Affsaps de nouveau sur la sellette

Dans la presse : de la bonne santé de l'Agro-Alimentaire

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14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 15:39

ail-11 L'Ail : l'été dans votre cuisine

 

Que vous choisissiez d'utiliser l'ail par goût ou pour ses vertus thérapeutiques (ou les deux à la fois) utilisez-le à chaque repas, il saura vous remercier de tant l'aimer !!! Et puis, selon une récente étude il apparaît que  plus on mange d’ail, moins on sent l’ail. La consommation régulière de ce condiment favorisant la formation d’enzymes, qui aident à minimiser les émanations aillées.

Enfin, si vous aviez la sensation de ne pas digérer l'ail c'est tout simplement que vous deviez oublier de lui ôter son germe, en y pensant vous vous apercevrez que l'ail non seulement se digère parfaitement mais, en plus, facilite la digestion des autres aliments puisque la vitamine B1 contenue dans l’ail participe à la fabrication d’enzymes qui aident à la digestion. L’ail contient aussi du chlore qui renforce l’activité de l’estomac dans la destruction chimique des aliments. Voilà pourquoi, l'ail entre dans la composition de nombreux plats !

 

Cru ou cuit ?

ail-6 Et pourquoi pas les deux ?

Cru ou cuit, haché, pilé ou entier, l'ail s'offre inlassablement à votre imagination. Lors de vos repas assaisonnez vos salades d'ail cru finement émincé puis cuisinez vos plat en y ajoutant de l'ail.

Selon votre sensibilité, laissez-le juste parfumer vos plats en le retirant au moment de servir.

Ail nouveau ou ail d'hiver, il ne supporte pas l'excès de cuisson, qui le rend amer. Il doit donc cuire doucement, à feu modéré.

 

L'ail est, la plupart du temps, pelé pourtant il peut très agréablement conserver sa peau être dégusté en chemise, braisé ou au four, pour le traiter avec délicatesse, emballez-le dans une feuille d'aluminium ou de papier sulfuré et laissez-le cuire doucement. Une fois cuit, il vous suffira de presser légèrement sur chaque gousse pour en libérer une purée onctueuse et parfumée.

Condiment ou garniture, on peut le piquer dans une viande, le presser dans une sauce, le frotter sur du pain ou sur un saladier pour l'imprégner de son goût.

    
 

L'ail nous vient du Sud et à ce titre il est l'un des ingrédients typiques de la cuisine Provençale. 

Le fameux pistou (sauce à base d'huile d'olive, de basilic, de parmesan et de pignons) serait bien fade sans l'ail

ail-7

et l'aïoli, mayonnaise relevée d'ail, qui accompagne des légumes vapeur et de la morue y perdrait jusqu'à son nom.


 

Deux recettes à l'ail : ail-1


Soupe à l’Ail comme à Lautrec 

INGREDIENTS : 2 litres d'eau -10 gousses d'ail rose de Lautrec - 1 cuillère à café de moutarde - un oeuf - 10 cl d'huile - 150g de vermicelle ou de pain grillé

REALISATION :

Dans un faitout, versez les 2 litres d'eau. Portez à ébullition. Jetez l'ail piléail-9 et le blanc d'oeuf.

Salez, poivrez et mélangez le tout. Laissez cuire 3 mn. Préparez une mayonnaise avec le jaune d'oeuf, poivre, sel et moutarde. Délayez celle-ci avec une louche de bouillon tiède et incorporez doucement à votre soupe. Servez. Si vous voulez la faire au vermicelle, mettre celui-ci à cuire avant d'ajouter la mayonnaise ou alors ajoutez du pain grillé dans le mélange juste avant de servir.    

 

Lapin à la crème d'Ail

 

  • 1 lapin découpé en morceaux
  • huile d'olive
  • 2 oignons
  • 2 grosses têtes d'ail
  • 1 bouquet garni
  • 1 verre de vin blanc sec
  • 1 tasse à café de bouillon
  • 1 cuillère à soupe de persil haché
  • 3 dl de crème fraîche (ou le lait de riz)

 

1 Assaisonner les morceaux de lapin avec du sel et du poivre.
Eplucher et hacher finement les oignons.

2 Dans une cocotte, faire chauffer l'huile d'olive, y faire revenir et blondir les morceaux de lapin. Ajouter les oignons hachés, les faire fondre et blondir légèrement.

3 Ajouter le bouquet garni et le vin blanc. Continuer la cuisson sans couvrir jusqu'à évaporation complète du vin : il faut que le jus de cuisson soit caramélisé. Déglacer avec le bouillon, couvrir, faire cuire 1 heure à feu doux.

4 Défaire les gousses d'ail mais sans les éplucher. Les mettre dans une petite casserole d'eau froide, amener à ébullition et laisser frémir 5 à 10 minutes (selon la taille des gousses).

5 Pelez les gousses d'ail (facile, il suffit d'appuyer sur le côté dur), réduire en purée avec la crème fraîche ou un peu de lait de riz et rectifier l'assaisonnement. Verser cette sauce dans la cocotte avec le lapin et faire frémir 5 minutes pour épaissir.

Mettre dans un plat de service, parsemer de persil et servir rapidement accompagné de tagliatelles fraîches et de carottes cuites à la vapeur.


 

ail-

Acheter et conserver l'ail :

 

Choisissez le bulbe (la tête d'ail) bien joufflu et renflé, assez lourd dans la main. Pressez légèrement les caieux (gousses) pour vous assurer de leur fermeté. Mous, ils sont susceptibles d'être moisis, tachés ou fins, d'être secs.
Juin et juillet vous permettent de trouver l'ail nouveau, au goût plus doux. Tenez compte des mêmes critères de choix et regardez aussi la tige, qui doit être bien verte.

Des petits germes verts dépassent des gousses : l'ail n'est plus frais, ne le choisissez pas.

Conservez-le six mois pour l'ail blanc et jusqu'à un an pour l'ail rose. Quoi qu'il en soit, il doit être protéger de l'humidité, conservé dans un endroit sombre, à température ambiante. L'ail frais quant à lui, ne se garde pas, il ne passera que quelques jours dans le bac à légumes de votre réfrigérateur.

 

 

Lire aussi au sujet de l'Ail :

L'Ail Rose de Lautrec

L'Ail et la Santé

L'Ail ses bienfaits thérapeutiques

 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 19:57

 

 

 

rizTitre

 

Le riz est la deuxième céréale alimentaire produite dans le monde.


rizières plantations Au niveau mondial, la consommation moyenne de riz par personne devrait atteindre 57,3 kg par an.

 

En 2008, la production de riz a été de 661 millions de tonnes, soit de 21 000 kilos chaque seconde. Bien que cultivé dans une centaine de pays des quatre coins du monde, 90% de la production du riz vient toujours d'Asie, sa terre d'origine.

En Europe, l'Italie ou la France cultivent elles aussi le riz. Ainsi ce sont près de 17 000 ha qui sont dévolus à la culture du riz en France, en Camargue exactement.

Et même si le Riz Basmati fait partie de vos préférés, pensez au Riz de Camargue.


Bio à plus d'un titre :

Le Riz de Camargue, dont c'est en ce mois d'octobre la pleine saison de récolte, nécessite moins de transport pour arriver dans votre assiette et permet à près de 2.000 personnes de vivre de sa culture dans des emplois non délocalisables. Côté environnement, la Camargue a la nécessité absolue de son riz pour éviter de se transformer en désert salé. En fait, par évaporation, le sel présent dans les eaux du delta remonte à la surface et détruit la faune et la flore. Or, depuis les années 1900, la Camargue a réussit à juguler ce phénomène par la culture de son riz puisqu'un hectare de riz nécessite 15 000 m3 d'eau douce pour un cycle.


Le riz de Camargue, un terroir unique :

La Camargue avec le Mistral, ses terrains salés au PH élevé et ses nombreuses rizières en bio connait les rendements les plus bas au niveau européen. Pour autant ce terroir âpre et difficile plait au riz qui y développe des arômes et des saveurs incomparables et font dire aux spécialistes que le riz de Camargue est l'un des meilleurs riz au monde dont un label européen en garanti la qualité.

 


Le riz et ses valeurs alimentaires :

Le riz ne contient naturellement pas de gluten, il peut donc figurer aux menus des intolérants au gluten mais aussi à ceux qui souffrent de lenteur digestive. Cette céréale est particulièrement riche en amidon...donc en énergie. C'est aussi une excellente source de fibres, pauvre en graisse mais riche en protéines végétales, pauvre en sodium mais riche en minéraux dont : le phosphore, le manganèse, le sélénium et le magnésium, le riz est également bien pourvu en vitamines du groupe B (B1-PP-B5). Enfin, le riz est un aliment anti-diarrhéique très efficace du fait de l'amidon du riz qui absorbe facilement l'eau. En cas de diarrhée passagère faites cuire du riz blanc, attendez que l'eau de cuisson ait refroidie ajoutez-y un peu de sucre et buvez cette eau fortement amidonnée, les résultats seront rapides.


Le Riz blanc :

Comme toujours le raffinage qui rend une céréale blanche est une aberration nutritionnelle avec cette technique ce sont tous les micronutriments, concentrés dans les enveloppes externes du grain ainsi que le germe et les sons qui sont éliminés, la céréale n'offre alors pas plus d'intérêt nutritif que du carton. Il est donc évidemment conseillé de consommer des riz complets ou mieux demi-complets qui vous apporteront toutes les valeurs nutritives nécessaires et seront, de plus, parfaitement digestes. Quant aux riz pigmentés : riz rouge et riz noir ils sont de plus très riches en pigments antioxydants. Mais attention, ne consommez de riz complet ou demi-complet que Bio, car si les micronutriments sont présents dans l'enveloppe de la céréales, les pesticides, engrais et autres herbicides ou insecticides s'y trouvent aussi enfermés. Cet intérêt de l'alimentation Bio est valable pour toutes les céréales.


Les qualités du Riz bio :

Les enseignes Bio proposent toutes une large gamme de riz, et, si certains magasins privilégient les Riz Français ou Européens, tous exigent une traçabilité fiable alors que d'autres vont jusqu'à refuser les riz en provenance du continent américain afin d'éviter toute contamination OGM car si aucun pays ne cultive actuellement de riz transgénique à des fins commerciales, beaucoup y songent et il est certain que de nombreux pays aimeraient y parvenir, notamment la Chine. On sait que des essais ont déjà eu lieu avec des variétés de riz enrichi en bêta-carotène, résistant à un herbicide ou à des insectes. Même s'il est évident que le riz OGM représente une menace réelle pour l'agriculture et la biodiversité et un fort risque potentiel pour la santé du consommateur, les laboratoires ne cessent leurs investigations dans le sens des OGM. 


Préférez le Riz bio c'est :

Refuser l'utilisation des traitements chimiques utilisés pour la production et la conservation.

Refuser un suremballage : les riz sont souvent proposés en vrac dans les magasins bio.

Refuser les sachet-cuisson quand il suffit d'utiliser une bonne vieille passoire.

Refuser le sur-coût de ces riz en sachet-cuisson, pré-cuits ou déjà cuisinés.

Privilégier des riz de qualité aux éléments nutritifs toujours présents.

 

Quelques types de riz


HomeNaturo riz multiple presentation

 

Type de Riz Grains Spécificités Utilisations culinaires
RIZ LONG Long

Origine : Camargue ou Italie

Saveur :  goût de noix pour le riz long brun, saveur neutre pour le riz long blanc.

Variété : Riz Blanc, 1/2 complet ou complet

         Nombreux plats et salades
RIZ THAI Long

Origine : Thaïlande

Saveur :  Très parfumé aux agréables senteurs de jasmin

 Variété : Riz Blanc, 1/2 complet ou complet
          Plats et recettes asiatiques
RIZ BASMATI
Long

Origine :  Pakistan et Nord de l'Inde

Saveur Particulièrement parfumé au léger goût de noisette et à la texture bien ferme.

 Variété : Riz Blanc, 1/2  complet ou complet
          LE Riz des recettes Indiennes,  orientales et aux saveurs aigres-doux ou de curry.
RIZ ROUGE
Long

Origine :  Camargue ou Thaïlande

Saveur :   Intense et profonde et à la texture moelleuse tout en restant croquante sous la dent.

 Variété : Riz Blanc, 1/2 complet ou complet
    Nombreux plats et salades pour varier agréablement du Riz long
RIZ NOIR
Long

Origine :  Camargue 

Saveur :   Intense et boisée et à la texture moelleuse tout en restant croquante sous la dent.

 Variété : Riz complet
     Nombreux Nombreux plats et salades pour varier agréablement du Riz long ou même en le mélangeant à d'autres riz.
RIZ ROND CLASSIQUE
Rond

Origine : Camargue ou Italie

Saveur :  saveur neutre à la texture moelleuse et fondante

 Variété : Riz Blanc, 1/2  complet ou complet

    Principalement en dessert

  : le fameux riz au lait se cuisine au Riz rond.

RIZ à RISOTTO
Rond

Origine : Italie

Saveur : neutre à la texture moelleuse et fondante

 Variété : Riz Blanc, 1/2 complet ou complet
     Pour...le Risotto ! et la paella aussi. Se dit aussi Riz Arborio

RIZ à SUSHI              Rond        Origine : Italie

                                                Saveur : neutre à la texture                     Pour...les Sushi  

                                                 légèrement collante

                                                 Variété : Riz Blanc

 

Les différentes cuissons du Riz

 

CREOLE Faire bouillir un grand volume d'eau que l'on peut parfumer d'un bouillon-cube, d'épices, d'herbes aromatiques, des zestes d'agrumes...Versez le riz en pluie et le cuire à découvert en comptant le temps de cuisson dès la reprise de l'ébullition. Salez en fin de cuisson, égouttez le Riz et le rincer à l'eau chaude.
VERSION PILAF Faites colorer le Riz cru dans un peu d'huile d'olive, vous pouvez y ajouter un oignon émincé et des épices comme du curcuma, attendez jusqu'à ce que les grains deviennent translucides. Ajoutez alors 2,5 volumes d'eau, portez à ébullition et laissez cuire à feu doux à couvert. Votre Riz sera cuit lorsque de petits cratères se formeront en surface.
PAR ABSORPTION On procède comme pour le Pilaf mais sans faire revenir le Riz dans l'huile. Verser le Riz dans une casserole avec 2,5 volumes d'eau. Saler peu et compter le temps de cuisson à partir de l'ébullition. Surveillez bien la cuisson pour éviter que le Riz ne colle au fond de la casserole.
A LA VAPEUR Versez un epu d'eau au fond d'une casserole ou d'un cuit-vapeur, là aussi vous pouvez ajouter des parfums. Remplir un panier en bambou ou le panier du cuit-vapeur avec le Riz et laissez cuire à couvert sans pression. C'est La cuisson du Riz gluant.
EN RISOTTO Faites colorer le Riz cru dans un peu d'huile d'olive, ajoutez les ingrédients de votre risotto. Cuire à feu très doux pendant au moins 20 mn et en versant petit à petit le liquide de cuisson : bouillon, fumet de poisson, vin blanc et eau... pour laisser le temps au Riz de bien absorber le liquide. Attention à remuer sans arrêt sous peine de voir votre Riz coller au fond de votre casserole, un Risotto : ça se surveille ! En toute fin de cuisson ajouter une touche crémeuse : beurre frais, crème fraîche, mascarpone ou fromage.

 

Quelques articles en rapport avec celui-ci :

La cuisine des restes : il me reste du RIZ !

Les céréales dans l'alimentation, l'avis du naturopathe

La Naturopathie et la BIO

L'Union Européenne sur les traces du riz OGM Chinois

Les OGM, l'avis du Naturopathe

Les OGM laissent des résidus dans le sang des femmes

Pastèques explosives en Chine : vive les phytosanitaires !

 

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27 août 2011 6 27 /08 /août /2011 15:55

 

 

ANOREXIE-BEAUTE-HISTOIRE-3.jpgLa beauté aujourd’hui

 

ou l’enfer du miroir

 

Avertissement :

Plusieurs photos que vous allez voir illustrant cet article peuvent être choquantes bien qu’elles ne soient jamais des photos retouchées.

 

" La Beauté fait prince quiconque la possède " Oscar Wilde.


Soit mais qu'est-ce que la beauté ? Les canons de beauté de notre société ne sont certes pas les mêmes que ceux des tribus africaines ou des peuples inuits, les critères de la beauté d'aujourd'hui n'ont plus les mêmes caractéristiques que ceux de nos ancêtres.

Alors, en quoi consite notre regard qui trouve une personne belle ?

Ne serait-il pas simplement conditionné par la mode du moment ?

 

Notre société, tout en prônant la diversité, accepte de moins en moins l’individualisme et les particularismes. L’âge ne doit plus se déceler : les rides doivent être effacées, les cheveux blancs teints, les corps eux-mêmes doivent être semblables les uns aux autres, les particularités inhérentes aux deux sexes tendent à disparaître, et, aujourd'hui, pour le monde de la mode l’androgynie est devenu " tendance ".ANDROGYNE.jpg

 

Il semble ainsi que dans un certain milieu artistico-glamour, le principe même de l'être humain et son apartenance au monde animal soient refusés pour tenter de créer une espèce d'humains mi homme-mi femme à la limite du vivant et dont les caractéristiques sexuelles sont rejetées. Le monde de la mode et celui du cinéma se font les chantres de la maîtrise de l'esprit sur le corps un peu comme si en ce XXIèm siècle débutant la nature même de l'humain devait être abolie.

A partir de là, ces images éthérées du corps n'ont cessé de circuler et certains termes médicaux jusqu’alors inconnus sont entrés dans le langage courant : boulimie, boulimie morbide, anorexie, anorexie mentale, troubles compulsifs et tocs alimentaires sont aujourd’hui connus de tous. Pourquoi une telle popularité ? Comment ces troubles gravissimes, mais jusqu’à présent rares, sont-ils devenus un tel fléau ? Et même si les dernières statistiques comptabilisent environ 2% de la population atteinte d'anorexie, le corps médical dans son ensemble s'accorde à penser que ce chiffre est grandement minoré du fait que bon nombre de malades se refusent à admettre leur maladie.

 

ANOREXIE XIXèm

 

Comme pour de nombreuses pathologies avec l'anorexie, nous sommes face à des causes multi-factiorielles dont la majorité d’entre elles trouvent leurs origines dans un mal être consécutif à un fort sentiment de culpabilité lié à une vie sociale de plus en plus stressante et anxiogène.

Si les troubles du comportement alimentaire désignent toujours une détresse intérieure profonde, ils n’en ont pas moins un dénominateur commun : les dicktats des canons de la beauté contemporaine.

 

Prenons quelques exemples :

- Si vous effectuez une recherche sur internet et tapez sur votre moteur de recherches « anorexie » vous verrez aussi s’afficher, en lien commercial, Perdez du poids efficacement, Bilan gratuit et personnalisé pour perdre vos kilos... ! Tout est dit !

- Dès le printemps et durant tout l’été il n’est pas un magazine qui n’affiche en première page le dernier régime miracle à la mode. La rentrée arrive et il faut perdre les kilos pris durant l’été et puis c’est noël et les fêtes de fin d’année et il faudra bien se mettre au régime pour enfiler sa petite robe noire moulante. Bref, il faut être mince !

- Vous avez pris quelques kilos et souhaitez renouveller votre garde-robe, surprise : les marques que vous aimez ne proposent de vêtements que jusqu’à certaines tailles.

 

L'influence de la mode

 

La mode a, de tous temps et dans toutes les sociétés humaines, précédée le modelage parfait du corps de la femme.

ANOREXIE BEAUTE HISTOIRE De la beauté classique et harmonieuse appréciée du Moyen-Age à la Renaissance

jusqu'aux véritables tortures infligées aux femmes ANOREXIE POGON comme ces femmes Padang de Birmanie dites aussi " Femme-Girafes ", ces chinoises aux pieds atrophiés par des années de bandages ou ces femmes des XIXèm et début du XXèm siècle portant corsets, toutes ont accepté la déformation de leurs corps ANOREXIE CORSET XIXèm aux seuls fins de séduire.

 

Les dommages causés à la santé de ces femmes se sont avérés désastreux et la plupart du temps irréversibles.

 

Après la première guerre mondiale et, plus tard, dans les années soixante-dix, les mouvements féministes ont-ils permis à la dictature de la mode de s'adoucir et de se tourner vers le bien-être des femmes ? Les femmes ne seraient-elles alors plus contraintes par la mode ?

 

 

Pour tenter de comprendre ces phénomènes de mode il faut se replonger dans l'Histoire

et l'évolution du corps de la femme

 

HOMENATURObeaute dans l'histoirede la préhistoire au XIXèm siècle

 

ANOREXIE BEAUTE HISTOIRE De l'Antiquité et jusqu'au tout début du XXèm siècle la femme présente un corps harmonieux, tout en rondeurs où la féminité et la sensualité se disputent la maternité. Pour accentuer la taille marquée de la femme, seul le corset sera utilisé mais le corps lui-même ne connaîtra pas d'importants changements, quelques évolutions tout au plus.

 

HOMENATURO beaute dans l'histoire-2du XXèm au XXIèm siècle

VENUS-8 A partir des années 20 la femme évolue vers son indépendance et son corps suit, le carcan du corset éclate comme le symbole de l'oppression masculine,

VENUS-9 les années 50 sont le dernier sursaut de la féminité sensuelle avec l'apparition des grandes stars hollywodiennes offertes aux désirs cinématographiques des hommes,

 

ANOREXIE BEAUTE HISTOIRE-4 dans les années 70 les femmes vivent une dualité sans précédent : elles reconnaîssent et tentent de faire accepter leur sensualité et le droit à vivre dans leur corps comme bon leur semble, tout en défendant leur condition féminine, durant près de trente ans ce légitime combat vers leur émancipation semble gagné. Or,

ANOREXIE MODE-12 dès les années 2000, le corps de la femme est, de nouveau, soumis au jugement des hommes et aux dicktats de la mode. Le corset a disparu...qu'à cela ne tienne, la femme va vivre dans son propre corps l'enfermement du corset. La maîtrise de l'esprit sur le corps se montre, les excès sont légions, ce ne sont plus les corps de femmes qui sont appréciés mais ceux d'enfants sans formes, éthérés, asexués à la limite de l'humain.

 

Vidéo présentant 500 ans de portraits de Femmes dans l'art occidental f rond dro

 

 

Le poids des os

 

le choc des photos


Les stars de cinéma aujourd'hui exibent des corps décharnés, seuls les seins sont encore généreux, grâce aux implants mamaires, comme un ultime témoignage d'une splendeur passée.


Les stars aujourd'hui

 

Le monde de la mode, en bon précurseur des tendances à suivre, va plus loin et photographie des femmes qui ne semblent plus vivantes que pour le temps du défilé.

 

HOMENATURO la mode en 2011

A bien regarder ces photos plusieurs questions viennent à l'esprit,

la toute première étant comment les autorités peuvent-elles fermer les yeux devant de telles scènes de torture car il s'agit bien de cela et la séance de maquillage que l'on voit semble plutôt à séance de torture...

Ensuite on peut légitimement se demander quels cerveaux malades apprécient de tels corps ?

Et aussi pourquoi les femmes d'aujourd'hui trouvent-elles belles ces désincarnations de leur corps ?

Et enfin, quelle image ces stars et ces top modèles véhiculent-ils auprès des jeunes filles et des jeunes garçons ?

Car enfin, lorsqu'une star bras de madonna-REGIMES- est adulée par les adolescents son empreinte visuelle aura immanquablement un effet durable sur le regard que posera l'ado sur son propre corps et celui des autres.

 

Faut-il donc se soumettre aux désirs pervers de quelques illuminésmannequin-anorexique ou refuser ces carcans machistes qui enferment la femme et la tiennent prisonnière de son propre corps ?


Lorsque les canons de la beauté glorifient des tortures et des images de mort c'est la vision même du devenir de l'espèce qui s'en trouve bouleversée. Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité l'image du corps de la femme est rejetée, refusée. Or, la femme c'est aussi la maternité, la survie de l'espèce et partant, le caractère éminament naturel et animal de l'humain. Il semble donc, que notre XXIèm siècle refuse le principe naturel de l'être humain. Une espèce vivante peut-elle survivre si elle refuse le caractère sacré de la reproduction ?


Ces jeunes filles, ces mannequins, ces actrices sont soumises à des pressions dont elles pensent ne pas pouvoir se soustraire et, pour se sentir acceptées, poussent leurs corps au-delà même des limites acceptables.

 

 

En s'éloignant de la nature ces femmes se retrouvent prises au piège d'une spirale sans fin entraînant à leur suite ANOREXIE-image-DE-SOIE.jpg une multitude de jeunes filles, de jeunes femmes qui, un peu plus chaque jour, se trouvent trop grosses et qui, d'un régime à l'autre, alternent crises de boulimie et d'anorexie.


 

Au début de cet article la question de savoir ce qu'est la beauté se posait, nous avons pu constater à quel point l'idée même de la beauté est mouvante et combien les canons de beauté ont évolués au fil de l'histoire. La beauté n'est pas unique, elle est multiple selon les époques, les sociétés et les lieux géographiques. Cependant le caractère commun à toutes les beautés VENUS-7 devrait rester un éloge à l'harmonie et un reflet de la santé. La beauté passe par l'acceptation de soi et le bien-être qui en découle. Le bon sens doit prévaloir et seul l'équilibre doit être recherché.

Notre société doit refuser ce goût morbide des corps décharnés : la croyance aveugle dans les régimes amaigrissants est dangereuse, la multiplicité des publicités vantant des régimes amaigrissants est dangereuse, l'alimentation industrielle trop sucrée et trop salée est dangereuse, l'idôlatrie et le culte du jeunisme sont dangereux.

 

Notre jeunesse se perd dans le miroir déformant d'une société déhumanisée et dont les images de leurs icônes sont toujours retouchées.

 

Sur le même sujet lire aussi : 

Les régimes amaigrissants et la naturopathie

Les Régimes et la dictature de la mode

L'alimentation, l'avis du Naturopathe

Enceinte et au régime, quels risques pour l'enfant ?

L'Afssaps interdit des substances amaigrissantes

La naturopathie et la pratique du sport

La marche et la santé.

 

 

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 22:58

A.carre sante blog HomeNaturoLe germe, de la famille des salmonelles, gagne du terrain géographiquement et développe des résistances aux antibiotiques...

Elle s’appelle Salmonella Kentucky, et son nom pourrait ne pas rester inconnu très longtemps. Une étude internationale menée par les chercheurs de l’Institut Pasteur, de l’INRA et de l’Institut de veille sanitaire démontre que cette bactérie se développe de façon inquiétante, tant par la fréquence des infections qu’elle provoque que par leur localisation géographique, mais surtout par la résistance qu’elle développe aux antibiotiques censés la combattre.

La bactérie s’invite sur le vieux continent

Les salmonelles sont une des premières causes d’infections alimentaires chez l’homme.

Cette souche spécifique a été repérée chez des voyageurs de retour d’Egypte, du Kenya et de Tanzanie, en 2002. Si la bactérie a alors attiré l’attention des scientifiques, c’est parce qu’elle présentait une résistance notamment aux fluoroquinolones, l’antibiotique utilisé pour traiter les infections sévères à salmonelles.

Dans les années qui ont suivi, les chercheurs ont constaté la multiplication du nombre de cas. Parallèlement, la zone de contamination s’est élargie, passant de la seule Afrique du Nord-Est et de l’Est à l’Afrique du Nord et de l’Ouest et au Moyen-Orient. Actuellement, des cas d’infections à Salmonella Kentucky sont signalés en Europe chez des patients n’ayant pas voyagé dans ces pays, signe que la bactérie semble s’être implantée sur le vieux continent.

Résistance

Mais ce qui inquiète le plus les chercheurs qui ont coordonné l’étude, c’est la découverte en Afrique du Nord de souches de Salmonella Kentucky qui ont développé une résistance aux céphalosporines de troisième génération et aux carbapénèmes, derniers recours possibles pour le traitement des infections à cette bactérie.

Devant la perspective d’une propagation européenne du germe, et face à l’impasse thérapeutique qui se dessine, les scientifiques mettent en garde contre l’utilisation d’antibiotiques dans l’élevage, responsable du développement de la résistance des bactéries aux antibiotiques et plaident pour une surveillance accrue de l’évolution des germes au niveau international.

 

A.HomeNaturo Overblog L'alimentation pasteurisée, les élevages traités par antibiotiques et vaccins sont criminels ! Les éleveurs, les paysans et tous les acteurs de la filière Bio le disent sur tous les tons, les naturopathes avertissent les responsables de santé depuis des années mais rien n'y fait ! Ont été dénoncé sans relâche : les taureaux stériles suites à l'injection de vaccins, l'aberration des farines animales, l'utilisation de phytosanitaires et d'engrais, les conditions d'élevages inacceptables et évidemment l'emploi d'antibiotiques chimiques dans ces mêmes élevages !

Mais n'oublions pas que la médecine vétérinaire fait aujourd'hui le constat que fera demain la médecine humaine (constat déjà fait mais non encore avoué ou partiellement !) : les bactéries et les virus sont en train de muter et de développer des résistances aux antibiotiques parce qu'utilisés dans de très nombreux cas à tort et à travers et souvent même à titre préventif ! Et oui Darwin avait raison : le vivant est en constante mutation or les virus et les bactéries font bel et bien parti du vivant...

Le temps est venu d'un retour au bon sens, le temps est venu du retour à la Nature et à la compréhension de celle-ci.

Nous devons réapprendre à vivre avec les bactéries, cesser la stérilisation et la pasteurisation à outrance, refuser de nous nourrir d'animaux shootés aux antibiotiques et même aux antidépresseurs, empoisonnés de vaccins et nourris de granulés surtraités aux pesticides voire de farines animales ou encore d'OGM, ne plus accepter de consommer des fruits et des légumes bourrés de pesticides, d'engrais, de fongicides et d'herbicides. Notre eau doit redevenir limpide et pure, notre alimentation doit, de nouveau, être le pilier de notre santé et non pas représenter un risque sanitaire que nous ne pouvons totalement maîtriser, tout comme l'air que nous respirons doit être exempt de pollution.

Notre carte de crédit, bien plus que notre carte d'électeur, nous donne le pouvoir d'agir. Ce n'est qu'en consommant Bio, qu'en pensant Bio que nous préserverons notre santé et celle de notre Terre et ainsi, peut-être, que nos enfants ne nous accuseront pas...

 

Philippe Labre, vétérinaire Bio interdit d'exercer


Sur le même sujet :

La bio à la campagne...présidentielle

Les maladies dégénératives

Dans la presse : le danger des antibiotiques

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

Bactérie E.Coli et alimentation Bio l'étude qui en dit long...

Alimentations et risques sanitaires en augmentation

La Naturopathie et la BIO

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

Dans la presse : Agriculture pollueuse et massacre de requins

Salon de l'Agriculture, les victimes de pesticides sont là

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

La toxicité des OGM démontrée !

Dans la presse : les Français consom'Acteurs

Dans la presse : de la bonne santé de l'Agro-Alimentaire

farines animales et vache folle : le retour

 

 

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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 19:03

 

 

HOPITAL REPAS 1

 

Tour d'horizon

 

de la Nourriture

 

servie aux malades

 

hospitalisés

 

 

 


 

 

 

 

 

A.carre sante blog HomeNaturoLe grand âge est une période délicate et fragile de la vie.

Les soins et les précautions qui s’y appliquent doivent être particuliers et mis en pratique selon chaque individus.

L’hospitalisation des personnes âgées, lorsque l’on y est confronté est un moment qui doit être géré avec réflexion, intelligence, respect et douceur.

 

Cet article est le journal de bord de l’hospitalisation de ma mère, c’est aussi mon témoignage en tant que Naturopathe.

 

Pour ceux d’entre vous qui pourraient être confrontés à une situation semblable cet article va trouver sa conclusion dans quelques recettes qui vous permettront de soutenir ceux que vous aimez durant le temps de leur hospitalisation.

Si les repas servis vous semblent immangeables essayez de négocier avec le médecin l’autorisation de porter vos propres repas à vos proches et, si la négociation échoue, il vous faudra apprendre à ruser, attention cependant à être vigilent quant au régime alimentaire que doit suivre le malade, posez-vous les bonnes questions ou consultez le médecin : la nourriture de votre proche doit-elle être sans sel, sans sucre, très calorique ou au contraire très légère…

Faites attention vous allez cuisiner pour une personne hospitalisée, ne faites pas les choses à la légère et je ne saurait trop vous conseiller de ne cuisiner que pour une personne affaiblie ou souffrant seulement d’un problème « mécanique » : fractures… mais ne cuisinez pas pour une personne souffrant d’une pathologie particulière.

 

 

Depuis son veuvage il y a dix-sept ans, ma mère vit seule dans son pavillon.

Très entourée de ses enfants, petits-enfants et arrières petits enfants, ma mère a conservé toute son autonomie d’autant que sa maison se partage le jardin avec celle de mon frère. Ces dernières années, elle bénéficie, en plus, d’une auxiliaire de vie le matin, d’une aide ménagère 2 fois par semaine et de livraisons de repas à domicile. Grâce à cet entourage ma mère a atteint ses 90 ans sereinement et malgré une petite insuffisance cardiaque sa santé peut-être considérée comme bonne.

 

 

Le 29 mai pourtant elle s’est réveillée pas très en forme et a déclaré une bronchite asthmatiforme suffisamment sévère pour nécessiter un traitement antibiotique.

Le mercredi 1er juin je rends visite à ma mère et bien qu’elle semble fatiguée, elle plaisante comme à l’accoutumée et dit se sentir déjà mieux, je repars donc dans ma campagne, à 200 km de là, tranquillisé.

 

L’Hospitalisation

 

Le jeudi 2 juin au matin l’auxiliaire de vie de ma mère la retrouve inanimée dans son lit.

Les secours et l’hospitalisation en urgence ont été très rapides.

 

Le même jour ma mère reprend doucement ses esprits et les examens de santé démontrent que l’infection est encore en place et d’autres antibiotiques sont prescrits.

 

Très affaiblie, ma mère dort beaucoup, a du mal à reconnaître les personnes qui la visitent et subie même les prises de sang sans réaction.

 

Toujours très entourée par ses proches, elle ne réagit guère à leurs visites, ne parle pratiquement pas, alors qu’elle est d’un caractère enjoué, et surtout refuse la nourriture.

Quotidiennement, mon frère, son épouse et ma fille lui rendent visite et me tiennent au courant de son état de santé.

Les vendredi et samedi se passent sans grands changements, les médecins ne sont pas inquiets et, satisfaits des examens qu’ils lui font passer, décident l’arrêt des antibiotiques.

 

Ma mère n’est plus malade, pour autant son état léthargique ne s’améliore pas.

 

Le dimanche, en revanche, est une bonne journée, sa petite fille lui offre une tartelette dont elle accepte une moitié et un carré de chocolat.

La semaine débute doucement et, le mercredi, les médecins sont confiants mais mon frère et ma fille -Docteur en Pharmacie- me font part de leur inquiétude, ils trouvent que l’état de santé de ma mère se dégrade, elle semble ne plus avoir envie de rien, ne réponds pas ou peu quand on lui parle, pour tout dire : elle se laisse aller. Couchée sans aucune réaction, elle ne ressent ni le chaud ni le froid, ne réclame ni couverture, ni verre d’eau, ne semble souhaiter qu’une chose : dormir.

Malgré cette inquiétude grandissante, mes proches et moi-même tentons de nous persuader que ma mère est entre de bonnes mains : les médecins ne sont pas inquiets et elle est à l’hôpital, dans le service de gériatrie aiguë, elle ne peut être que bien soignée.

Pourtant, ma famille ne parvient pas à me cacher ses craintes aussi ma compagne et moi décidons d’aller la voir.

 

Le constat

 

Jeudi 9 juin je retrouve ma mère depuis une semaine. J’ai laissé une dame certes âgée mais coquette, bien coiffée (elle est coiffée toutes les semaines à domicile) et enjouée, souriante, plaisantant souvent. En ouvrant la porte de sa chambre nous avons un choc : nous sommes devant une très vieille dame, assise dans un fauteuil, le visage pâle et la tête baissé…sans réaction, un vrai choc. Lorsque nous lui parlons, ma mère ne réagit pratiquement pas, ne parle pas ou si peu, comme absente. Son état de faiblesse est évident et elle ne cesse de somnoler.

 

L’heure du repas nous rassure et nous accable tout-à-la fois, rassurés nous le sommes en rencontrant le personnel soignant, attentionné, souriant et très respectueux : ici on dit «  Madame » ou « Monsieur » aux malades, on leur demande s’ils ont chaud, s’ils souhaitent une couverture, les sourires sont constants et les attentions nombreuses.

 

En revanche, nous sommes tout à fait accablés devant le plateau repas qui est servi à ma mère.

 

Dans des barquettes en plastique blanc fermées d’un opercule lui aussi en plastique sont servis des préparations la plupart du temps non identifiables à la vueHOPITAL REPAS 2 et…au goût, quand on a le courage de goûter !

A 90 ans vous êtes automatiquement catalogué tout juste apte à aspirer de la bouillie. Ce seront donc, et à chaque repas, des soupes, des compotes, des purées et des… « moulinés » : sorte de rondelle de viandes inconnues réduites en une espèce de purée assez gélatineuse qui seront proposés à ma mère.

Le plateau servi, les aides soignantes vont dans les autres chambres déposer le même genre de plateau désespérant à un malade de plus en plus désespéré.

 

Evidement devant ces plats, ma mère fatiguée, sans appétit et souffrant vraisemblablement d’agueusie ou ayant pour le moins une altération du goût, refuse obstinément d’avaler ces choses molles et dégoulinantes d’une « sauce » transparente et sans saveur et servies dans des barquettes en plastique…sans assiette.

Ma mère, dans un refus résolu, ferme les yeux et baisse un peu plus la tête face à son « repas ».

Nous comprenons, nous comprenons son refus et nous comprenons surtout qu’elle n’a rien avalé depuis une semaine sauf la moitié de tartelette aux fruits apportée par ma fille le dimanche précédent.

 

La réaction

 

En tant que Naturopathe je sais à quel point la nourriture est la première de toutes les thérapies et, par ma formation, je connais quels doivent être les composants d’un repas équilibré, ma compagne et moi décidons de préparer et de porter chacun de ses repas à ma mère.

 

Les grandes manœuvres vont pouvoir commencer.

Astuces, réflexions, cuisine et ruses de sioux vont devenir notre quotidien.

Chacun des repasHOPITAL REPAS HOMENATURO 1 devra être équilibré, riche, reconstituant et…attrayant.

 

La première chose à penser sera de ne pas effrayer ni angoisser ma mère devant la nourriture, autrement dit tout le repas devra lui être proposé en petites portions.

Pour la seconde étape, il faudra faire preuve de persuasion et de patience pour que ma mère accepte, de se nourrir. Dégoûtée, méfiante et si faible la chose ne sera pas facile.

Pour terminer il faudra user de ruses : il est interdit de porter de la nourriture aux malades, il faudra donc se cacher, apporter les repas aux heures habituelles du « fameux plateau », parvenir à maintenir les aliments à la bonne température, trouver les contenants adéquats, présenter le repas aussi joliment que possible, trouver une belle assiette en porcelaine facilement transportable

 

 

et  surtout

ne pas oublier de rapporter avec nous une quantité raisonnable  deHOPITAL REPAS 4 « mouliné »  et autre purée pour faire croire que ma mère s’est –enfin- mise à manger ce que lui sert l’hôpital.

 

 

 

Cette tromperie va marcher d’autant mieux que les aides soignantes –chose incroyable- prennent leurs repas dans une petite pièce prévue pour cela et située à l’autre bout d’un long couloir, au moment même où les personnes âgées sont elles-même seules face à leur plateau repas.

 

Au moment des repas je décide aussi de lui donner des compléments alimentaires adéquats pour optimiser l’effet bénéfique de l’alimentation. Cependant ces compléments alimentaires devront être commandés aussi, durant 4 jours, nous ne comptons que sur l’action de la nourriture pour lui redonner des forces.

 

Le Résultat

 

Le résultat ne s’est pas fait attendre bien longtemps et, aux dires mêmes de la « co-locataire » de ma mère, il a été spectaculaire, cette personne d’un peu plus de 70 ans, très vive, bien que malade, a été notre « bureau de renseignements » : elle était déjà hospitalisée lorsque ma mère le fut à son tour, elle a donc suivi toute son évolution et, alitée dans la même chambre qu’elle 24h sur 24h, elle nous a fait, deux fois par jour, un compte rendu précis de l’évolution de ma mère et elle a été très surprise de constater la rapidité de l’amélioration de son état de santé.

Très rapidement, ma mère s’est, de nouveau, intéressée aux personnes qui la visitaient, son port de tête s’est redressé, les couleurs sont revenues sur ses joues, ses gestes se sont affirmés, plus vifs et plus précis : elle a recommencé à manger seule, à plier correctement sa serviette, puis, doucement, elle a accepté, sans trop de peur, de faire quelques pas dans sa chambre - un peu chaque jour - avec nous.

 

Trois jours après les prises de repas réguliers et reconstituants et de compléments alimentaires, les médecins l’ont confiée à des kinésithérapeutes pour l’aider à marcher d’abord dans sa chambre, puis jusqu’à la porte et enfin dans le couloir, alors même que les aides soignantes l’avaient jusqu’à présent pourvu de protections hygiéniques car elle ne pouvait même pas se déplacer jusqu’aux toilettes.

 

Dix jours après notre prise en charge de son alimentation, ma mère se levait seule pour aller jusqu’au cabinet de toilette, plaisantait et finissait son assiette. Elle regardait la télévision, retrouvait ses émissions favorites, s’intéressait au temps qu’il allait faire le lendemain et souhaitait rentrer chez elle. Se projetant dans le futur, elle nous demandait de mettre quelques billets de côté pour l’un de ses arrières petits fils qui passait son bac.

 

Le mardi 21 juin les médecins, selon leurs propres dires, étonnés de tels progrès, autorisaient ma mère à sortir de l’hôpital pour intégrer une clinique spécialisée dans la rééducation pour lui permettre de réintégrer son domicile.

 

Alors, évidemmment, à 90 ans rien n’est gagné et les journées semblent parfois des mois voire des années de vieillissement en plus mais l’espoir est, de nouveau, revenu…

 

Conclusion

 

Si l’hospitalisation est toujours un moment douloureux et difficile que dire de l’hospitalisation des personnes vulnérables comme les enfants ou lorsque l’on atteint le Grand Age ?

Dans le cas qui nous occupe ma mère n’était pas malade, elle a subi une grande faiblesse due à une infection récalcitrante.

Cependant, elle a bel et bien faillit mourir à l’hôpital des suites d’une malnutrition flagrante.

Les faits sont évidents : ma mère n’a reçu aucun traitement lors de son séjour hospitalier (sauf le traitement antibiotique déjà mis en place par son médecin traitant) or, en une semaine son état général était tel qu’elle n’avait même plus la force de porter sa cuillère à sa bouche, quant à son mental il était dans une telle chute libre qu’elle ne reconnaissait pas sa propre petite fille et la confondait avec une infirmière !

 

L’Alimentation à l’Hôpital

 

Le corps médical fait si peu cas de l’alimentation en tant que thérapie que celle-ci est reléguée au rang de corvée.

Dès lors les repas deviennent un véritable calvaire pour le malade.

Le goût du patient n’est jamais pris en compte,

La présentation des plats est rebutante,

Les aliments sont trop cuits ou pas assez (j’ai vu des saucisses de chipolata pratiquement crues !),

Les préparations sont sans saveur ni parfum,

Les herbes aromatiques ignorées,

L’ail, l’oignon, l’échalote absents de toutes préparations alors qu’ils parfument si bien des plats dont le sel est minoré voire absent,

La qualité infecte.

 

Comment peut-on servirHOPITAL REPAS 3 CAROTTES RAPEES des carottes râpées crues réduites en purée  ?

Comment peut-on servir le même potage durant 15 jours ?

Pourquoi ne pas proposer un filet de citron lorsque l’on sert un poisson ?

Par restrictions budgétaires me direz-vous, soit mais alors : pourquoi ne pas donner une simple assiette plutôt qu’obliger un malade déjà sans appétit à manger dans une barquette en plastique ? En 15 jours je n’ai vu de repas servis dans une assiette que deux fois, preuve que les assiettes existent !

 

Pour les personnes du Grand Age seront servies des sortes de bouillies, sans même qu’il soit demandé si la personne peut mâcher voire croquer. Ces « moulinés » ont été quotidiennement présentés à ma mère alors même qu’elle a pour habitude de terminer ses repas avec des noix !  

 

Enfin, il est incroyable que l’on demande aux aides-soignantes de prendre leurs repas au moment où les malades sont eux-mêmes servis. Il n’y a donc aucune stimulation de l’appétit ni aide aux personnes à ce moment crucial qu’est le repas. Les personnes âgées se retrouvent seules devant leurs plateaux, parfois incapable de couper leurs aliments, commençant leur repas par la compote ou le yaourt, sucrant leur soupe et la trouvant infecte !

 

Il apparaît donc que, pour le corps médical, la prise de nourriture soit considérée comme anecdotique et ne nécessitant aucune attention particulière.

 

Avec une telle attitude ma mère, qui fut l’une des première patiente à être guérie de la tuberculose en France, qui a survécu à la guerre et a été soignée avec succès d’un cancer, aurait pu mourir de malnutrition dans un hôpital ! Quel gâchis…

 

Pourquoi la médecine ne comprend-t-elle donc pas qu’un repas agréable, bon, attrayant, équilibré et reconstituant doit être considéré au même titre que toute autre thérapie ?

Comment ce simple bon sens a-t- il pu être oublié à ce point ?

En gériatrie la nourriture devrait être l’objet d’un soin tout particulier, les personnes âgées sont en général souvent déjà fragilisées par une mauvaise alimentation et des traitement médicamenteux lourds, le manque d’exercice, l’enfermement auront fragilisé leurs os, la solitude les aura conduit aux portes de la malnutrition, ce sont donc des personnes en état de faiblesse constant qui entrent à l’hôpital. Or, avec la « nourriture » servie en milieu hospitalier le pas est franchi et il s’agit dès lors de dénutrition, à partir de là l’état général du patient s’affaiblit très rapidement, l’organisme ne peux plus lutter et la fin du voyage se rapproche.

 

Il est un autre service où l’alimentation devrait être particulièrement surveillée et attrayante, c’est la pédiatrie car, si un adulte, même malade, peut se faire violence pour ingurgiter un repas rebutant comment peut-on imaginer qu’un enfant et surtout un enfant malade puisse le faire ?

 

Un repas sain, équilibré et bon sera toujours le premier pas vers la guérison, par le plaisir qu’il procure il redonne le moral, par les nutriments qu’il apporte à l’organisme il permet à celui-ci de lutter contre la maladie, par le rythme qu’il imprime à la journée, le repas redonne le sens du temps et s’inscrit dans un retour vers la vie « normale ».

Un repas agréable c’est de l’espoir deux fois par jour.

 


 

hopital repas homenaturo 2XXXDans les prochains jours vous retrouverez des recettes pour rééquilibrer les repas des patients et quelques astuces de transport et de conditionnement.

 

Comme toujours vos témoignages ou réactions à cet article sont les bienvenus !b ok mod ident

 

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 09:26

 

 

E.Coli prit la main au collet...EQUILIBRE ALIMENTAIRE-3
Suite à l’affaire des graines germées contaminées par des souches virulentes d’E.Coli, les produits bio ont été injustement montrés du doigt comme étant prétendument dangereux.
Ces accusations reposent en fait sur des études qui n’existent pas !
Rappels des faits et explications.
Le 27 juin dernier deux directeurs de recherche du CNRS n’ont pas hésité à publier une tribune dans le journal Libération prétendant que le Centre de contrôle des maladies infectieuses d’Atlanta (Center for Disease Control d’Atlanta -CDC ) aurait réalisé une étude en 1996 liant un tiers des 250 décès dus à une souche pathogène d’E.Coli à la consommation de produits biologiques ( alors qu’ils ne représentaient que 1% des aliments consommés aux Etats-Unis). Et nos deux scientifiques français de conclure : « Il est donc indéniable que les mérites de l’agriculture biologique s’accompagnent inévitablement de risques alimentaires spécifiques ».
Les conséquences sur l’image des produits bio ne se sont pas fait attendre comme devait le confirmer un sondage réalisé par le WWF.avec près de 50 % des Français qui ne feraient plus confiance aux produits alimentaires d'appellation Biologique !
Générations Futures (GF) et la Fédérations Nationale d’Agriculture Biologique (FNAB) révèlent aujourd’hui que cette assertion repose sur… une étude qui n’existe pas !

D’où vient cette soit-disant étude ?

Contacté, un des scientifiques du CNRS ne donne pas de référence pour cette supposée étude américaine mais se contente de dire qu’elle serait tirée d’un livre de Alan McHughen, un scientifique canadien. Le problème, c’est que ce McHughen n’a fait dans ses livres (2) que reprendre les dires d’un certain Dennis T. Avery qui colporte depuis des années une rumeur selon laquelle le Center for Disease Control d’Atlanta aurait réalisé en 1996 une étude comparative bio / conventionnel montrant que les personnes mangeant des aliments bio ont beaucoup plus de risque d’être infectés par E.coli.

Pas plus de risque d’infection en bio.

Cette affirmation a été vigoureusement démentie dès 1999, y compris par des cadres dirigeants du CDC niant vigoureusement avoir conduit de tels travaux comparant le risque d’infection par E.Coli en fonction du mode de production, bio ou non bio.
Précisions : Dennis T. Avery (4) travaille pour le Hudson Institute, en fait, Avery travaille sur l’agriculture et les biotechnologies et consacre une énergie considérable à dénigrer l’agriculture biologique. A noter que le Hudson Institute a reçu des fonds de firmes comme Monsanto, Syngenta, Dow Agroscience, Dupont…sans commentaire.
« Alors que les consommateurs plébiscitent les produits bio, les adversaires de l’écologie et de l’agriculture biologique essayent par tous les moyens de décrédibiliser la bio depuis de longs mois. Les accusations de chercheurs publics reposant sur des rumeurs sont inacceptables. Elles doivent être démenties immédiatement et publiquement. » déclare François Veillerette, Porte parole de Générations Futures.
« La FNAB estime que les propos tenus par les deux scientifiques du CNRS sur les aliments bio sans référence scientifique portent atteinte à la fois à la filière agriculture biologique et à la crédibilité du CNRS. Elle se réserve le droit d’agir en conséquence. » ajoute Dominique Marion, Président de la FNAB.
Source : la Lettre d’information de Générations Futures.

Sur le même sujet lire chez HomeNaturo :

L'alimentation, l'avis du Naturopathe

 

Alimentations et risques sanitaires en augmentation

farines animales et vache folle : le retour

Pastèques explosives en Chine : vive les phytosanitaires !

 

L'Union Européenne sur les traces du riz OGM Chinois

Les OGM, l'avis du Naturopathe

Les OGM laissent des résidus dans le sang des femmes

 

La Naturopathie et la BIO

Les labels et logos BIO

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

 

A.HomeNaturo OverblogAllez, comme toujours Victor Hugo est encore d'actualité et nous pourrions, tel Ruy Blas rendant visite aux puissants de ce monde, leur dire :

" Bon appétit, messieurs ! Ô ministres intègres ! Conseillers vertueux ! Voilà votre façon. De servir, serviteurs qui pillez la maison ! "…

 

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 13:17
 sécurité alimentaire, alimentation bio et naturopathie, intoxication alimentaire, agroindustriels et sécurité sanitaire.
Alimentation,
la peur au ventre...
Intoxications alimentaires :
les affaires s'enchaînent

  Ces derniers mois, les cas d'intoxications et d'épidémies alimentaires se sont enchaînés...

On aurait tendance à vouloir examiner son assiette au microscope. Mercredi, quatre nouveaux cas d’infection de la bactérie E.coli ont été déclarés aux Etats-Unis et, jeudi, c’est à Lille (Nord) que six enfants ont été hospitalisés pour intoxication alimentaire, après avoir mangé des steaks hachés contaminés par une bactérie de type Escherichia Coli. Au cours des derniers mois, les cas d’intoxications alimentaires se sont faits de plus en plus nombreux et n’épargnent ni la viande, ni les légumes. Retour sur des cas inquiétants.Bactérie E.coli: 38 morts en Europe.

L’épidémie qui frappe depuis début mai, principalement le nord-ouest de l’Allemagne, a déjà fait 38 morts en Europe, dont 37 en Allemagne. Le bilan est bien sombre puisque, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), près de 3.300 personnes seraient contaminées par la bactérie E.coli, aux Etats-Unis, au Canada et dans 14 pays européens. Mercredi, les Etats-Unis ont déclaré la présence de quatre nouveaux cas.

Selon l’enquête, ces Américains avaient séjourné pendant une courte période à Hambourg, ville considérée comme le cœur de la contamination. Après des semaines d’enquête et plusieurs pistes vaines -dont celle du concombre- les autorités ont affirmé que les graines germées, issues d’une ferme d’agriculture biologique, étaient à l’origine de la contamination.

 Des tomates séchées responsables de l’Hépatite A

La semaine dernière se sont des tomates séchées importées de Turquie qui étaient mises en cause dans l’affaire de l’hépatite A qui s’était propagée dans 19 départements français en 2009 et 2010. Le Lot et les Hautes-Pyrénées étaient les départements les plus touchés, indiquait le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BHE) publié par l'Institut de veille sanitaire (INVS) au lendemain du premier cas.   .

Seules 27 des victimes avaient été hospitalisées et l’évolution de leur état avait été jugée «favorable». En 2009, on recensait deux autres cas d’épidémie d’hépatite A mettant en cause les tomates séchées en Australie et aux Pays-Bas.

Kebab et hygiène douteuse

En mars 2011 c’est une adolescente de 16 ans qui avait perdu la vie après avoir consommé un kebab, à Chartres (Eure-et-Loir).  L’autopsie du corps de la jeune fille avait révélé que la mort était bien due à une intoxication alimentaire. Intoxication qu’elle aurait eue à la suite d’un repas pris dans un kebab.

La justice, qui avait alors demandé une inspection sanitaire sur le champ, a constaté que l’établissement n’avait pas respecté les «normes d’hygiène suffisantes». Le restaurant avait par la suite été fermé, indiquait Le Dauphiné Libéré.

 
Quick et les staphylocoques dorés

Le 22 janvier 2011, c’est la chaîne de restauration rapide Quick qui était au cœur d’un scandale alimentaire. Benjamin, 14 ans avait perdu la vie à la suite d’une intoxication alimentaire, après avoir mangé au Quick d’Avignon (Vaucluse) avec son père. Au cours de l’enquête, les examens ont dévoilé la présence de staphylocoques dorés dans le système digestif de l’adolescent.

Le bilan final a explicitement avancé le lien direct entre le repas consommé au Quick et le décès de la victime. Selon la magistrate en charge du dossier, la présence de staphylocoques dorés, sur cinq des huit employés travaillant dans l’établissement, avait été prouvée.

 

Céline Masfrand pour 
20 Minutes le 16/06/2011
 
 
A.HomeNaturo Overblog Cet article j'ai choisi de le reproduire ici intégralement pour que l'on ne puisse pas me taxer de parti pris pour la Bio et le choix de l'achat local.
Car enfin, de quoi s'agit-il ?
De produits industriels, pour la plupart, et non bio 9 fois sur 10.
Ajoutons à celà l'hyper-hygiénisme et le tout pasteurisé... et il est certain que ça n'aide pas les organismes à apprendre à lutter par eux-même....
A force de tout asseptiser et d'utiliser les antibiotiques de façon tellement anarchique qu'ils sont devenus préventifs (!), les microbes et autres bactéries mutent et deviennent de plus en plus virulents pendant que nos organismes, maltraités, carencés, malnourris et surmédicamentés ne peuvent plus répondre correctement à une agression microbienne.
Retrouvons notre bon sens en même temps que le chemin des petits producteurs bio, réapprenons à faire confiance au producteur local qui connaît les aliments qu'il commercialise et souhaite conserver et sa clientèle et sa réputation, réapprenons à consommer de saison, réapprenons à cuisiner des produits frais et sains. Et nous minoreront les risques sanitaires.
La peur du microbe est une ânerie : ils nous environnent, nous constituent même et ce n'est qu'en vivant avec eux que nous arriveront à mieux les combattre.
Alors évidemment parmis tous les cas cités il en est un bio (les pousses de soja Allemandes pour le moment c'est encore la version officielle) mais ce n'est pas parce que les poissons volant existent qu'ils sont la règle de l'espèce, un aliment bio peut aussi subir une contamination mais les risques sont - tout-de-même - bien moins importants qu'un produit surchargé de pesticides et autres phytosanitaires, ayant voyagé d'un bout à l'autre de la planète, ayant été conditionné en usine puis, de nouveau transporté pour être enfin stocké, avant d'être proposé à la vente et donc à la consommation.
Les pousses de soja, toutes bio qu'elles aient été, n'en ont pas moins subi : un conditionnement, un voyage et un stockage. Pour autant, c'est encore le bio et le local qui garantissent la meilleure sécurité alimentaire, même si rien ne peut jamais être sûr à cent pour cent.
Ainsi, interrogeons-nous sur cette bactérie que le grand froid ne tue pas (les viandes hachées surgelées des magasins LIDL), alors que l'on sait que la plupart des bactéries ne résistent pas à la surgélation, quelles sont donc ces batéries mutantes qui se multiplient, survivent au grand froid et se jouent des antibiotiques les plus puissants ? Quels sont donc ces nouveaux monstres qui tuent plus sûrement qu'une arme ? Posons-nous les bonnes questions, il est encore temps.
 
Lire sur le même sujet :


 
  
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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 19:07

Oignon et Naturopathie, les Oignons et la santé, l'Oignon dans l'alimentation 

 

OIGNON BLANC jpgQuelques trucs

 

pour bien cuisiner l’oignon

 


Comment cuisiner l’oignon ?

Plus l'oignon est haché finement, plus il cuit rapidement, mais il change alors de saveur et de valeur nutritive. OIGNON CUISINER jpgUn oignon coupé perd une partie de son jus et de son arôme, c’est pourquoi il est recommandé de ne pas le préparer longtemps à l'avance et ne pas le laisser sur une planche à découper en bois. Il aura plus de goût brièvement revenu dans l'huile ou dans un autre corps gras, en le laissant croustillant, sans le faire brunir.

Une autre excellente cuisson consiste à faire chauffer quelques gouttes d’huile d’olive avec une pincée de sucre roux, une pincée de curcuma et un peu de sel, faites-y revenir les oignons rapidement jusqu’à ce qu’ils prennent une jolie teinte dorée-orangée et commencent réellement leur cuisson, ajoutez alors de l’eau pour recouvrir les oignons et laissez mijoter. Rajoutez de l’eau si besoin est. Remuez souvent. Vous pourrez servir vos oignons ainsi compotés dans leur jus en accompagnement de nombreux plats. Malgré cette cuisson assez longue de nombreuses valeurs nutrives sont conservées dans le jus de cuisson. 
Oignon : comment le consommer ?

Blanc, rouge, jaune...OIGNONS DIFFERENTS lequel choisir ?

Les oignons blancs : sur les étals d’avril à septembre, il sont récoltés avant leur maturité complète. Ils ne se conservent pas très longtemps mais sont délicieux en salade. Ils contiennent moins d’anti-oxydants que les autres variétés, mais sont riches en fibres.OIGNON PETIT BLANC jpg On les trouve aussi de petite taille, il sont alors généralement vendus en botte. Les tiges vertes sont un gage de fraîcheur. Conservez-les au frais et évitez de les garder plus d’une semaine.

Les oignons jaunes : grand classique du genre, les oignons jaunes sont sur les étals toute l’année et se conservent parfaitement si on les garde au frais et au sec.OIGNONS JAUNES Les oignons jaunes sont ceux qui conviennent le mieux à la cuisson et qui sont le plus indigestes si vous les consommez crus. Plus ou moins gros, il en existe plusieurs variétés plus ou moins adaptées à ce que vous voudrez cuisiner.

Les oignons rouges : OIGNON ROUGE-2 disponibles au printemps. Les oignons rouges sont les plus riches en anti-oxydants, préférez donc les consommer crus pour en tirer le meilleur parti. De fait, ils sont plus fades et moins sucrés que les oignons jaunes une fois cuits.

 

 

Les oignons AOC et AOP un club très fermé :

Les oignons doux des Cévènnes :  homologué en Appellation d’Origine Contrôlé (AOC) dite aussi Appellation d'Origine Protégée (AOP) en 2003. Sa peau blanche et nacréOIGNON DOUX DES CEVENNESe le rend facilement reconnaissable. A la dégustation, cru, l'aspect est brillant et la saveur sans amertume ni piquant. La texture est craquante et juteuse. Consommé cuit, la brillance persiste, mais le produit devient translucide. La saveur est douce, sucrée et sans amertume.

Les arômes se rapprochent de la châtaigne, autre produit local. Il est disponible généralement à partir du 15 mai sur nos étals. L'Oignon doux des Cévènnes, c'est toute l'Histoire d'un terroir.


Les oignons rosés de Roscoff : variété d'oignons sucrés libérent des arômes fruités spécifiques. La seconde star des oignons depuis sa reconnaissance en Appellation d’Origine Contrôlé (AOC) en 2009. oignon-roscoff-7273 A tel point que, afin de soutenir les producteurs dans leur démarche de qualité, la ville organise une grande fête chaque année au mois d’août. Les Oignons rosés de Roscoff sont cultivés dans le nord du Finistère depuis le 17ème siècle et c’est sans doute ce terroir qui lui vaut : "son caractère fruité, sa texture juteuse et croquante et sa saveur sucrée persistante en bouche", comme l’a noté l'INAO (l'Institut national de l'origine et de la qualité) lors de son homologation à l’AOC. Il est présent sur les étals d'août à mai. En août une grande fête a lieu pour célébrer l'histoire authentique et savoureuse de l'Oignon de Roscoff.


Astuces pour ne plus pleurer quand vous lavez des oignons

Pourquoi l’oignon nous fait-il pleurer ?  

Lorsqu’on le coupe, ses cellules libèrent une enzyme que l’on appelle alliinase. Une réaction chimique se produit alors au contact de l’air et l’enzyme se transforme en un gaz très volatil. Cette substance sulfurée se transforme, au contact du liquide lacrymal, en acide sulfurique (à très très faible dose). C’est cet acide, très irritant, qui nous brûle les yeux et c’est pour s’en défendre que notre organisme sécrète les larmes.

Comment faire ?
- Vous pouvez faire un sort à votre oignon sous l’eau : ainsi les substances restent dans l’eau et n’arrivent pas jusqu’à vos yeux.
- Vous pouvez aussi essayer de mettre l’oignon au congélateur quelques minutes avant de le découper : le froid freine la réaction enzymatique et laisse un petit sursis à vos larmes !
- Ou, si vous n’avez pas peur du ridicule, vous pouvez utiliser des lunettes de piscine. Mais méfiez vous, aérez la pièce car les substances sont volatiles et pourraient bien vous surprendre une fois que vous aurez enlevé vos lunettes !
Enfin, pour le hacher, agissez rapidement et optez pour une lame lisse et bien tranchante : cela évite de déchirer les cellules de l’oignon et diminue la quantité de substance libérée.

Oignon : comment garder une haleine fraîche ?

On réfléchit souvent à deux fois avant de consommer des oignons crus, même quand on aime beaucoup ça.
Une fois le repas fini, il est difficile de faire oublier qu'on en a mangé : l’oignon frais peut donner mauvaise haleine.
Il est cependant facile de contrer ces effets. Pour cela, il suffit de garder en mémoire les aliments qui vous aideront à vous débarrasser des substances sulfurées responsables de la mauvaise haleine. Persil, menthe, banane et kiwi en font partie.
Après avoir mangé de l’ail ou de l’oignon, mâchez un peu de menthe ou de persil frais : efficacité garantie !

 

Oignon : gare à la digestion...

L’oignon peut parfois poser des problèmes de digestion. Parmi les effets indésirables identifiés : les ballonnement, les douleurs abdominales, les troubles du transit et les flatulences.
L’oignon est un aliment dit fermentescible, ce qui signifie que sa digestion peut déclencher un processus de fermentation qui perturbe le transit des personnes sensibles (syndrome de l'intestin irritable).
La tolérance de l’oignon reste un facteur individuel. Il vous faut donc voir quel est votre seuil de tolérance. Ne vous privez pas pour autant ! Veillez simplement à votre consommation si vous savez que l’oignon vous sera difficile à digérer. Si vous observez des effets digestifs indésirables, essayer de diminuer votre consommation ou de changer de variété. L’oignon rouge ou l’oignon de Roscoff font partis de ceux que l’on digère le plus facilement. Aussi, les oignons se digèrent plus facilement cuits que crus.

Enfin lorsque vous cuisinez des oignons pensez toujours à ajouter une pincée de sucre roux ou de rapadura et une pointe de couteau de bicarbonate : vous digérerez vos oignons sans même vous en rendre compte !

 

Lire aussi au sujet de l'Oignon :

L'Oignon ses vertus thérapeutiques

L'Oignon : incontournable en cuisine

L'Oignon de Roscoff, toute une histoire

L'Oignon doux des Cévennes

 

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