Sauvons nos bélugas! | |
50 000 personnes c’est convaincant. Merci! | |
Nous sommes fiers du travail accompli car, avec votre aide, nous compterons bientôt 50 000 signataires pour la pétition « Sauvons nos bélugas ». 50 000 Québécois et Québécoises qui se mobilisent en quelques semaines à peine, c’est un symbole retentissant. De tout cœur, merci! | |
Ensemble, nous avons fait reculer le premier ministre et son gouvernement. | |
Les travaux qui devaient reprendre le 16 octobre sont toujours suspendus. Le gouvernement et TransCanada sont bien embêtés par notre mouvement, mais ils restent déterminés à reprendre les travaux à Cacouna, dans le sanctuaire des bélugas. TransCanada a déposé une demande pour rétablir son certificat d'autorisation pour les forages et, s'il lui est refusé, la compagnie a déjà annoncé qu’elle reviendra à la charge. Avec les immenses moyens financiers dont elle dispose, TransCanada a entrepris d’inonder les journaux et la télévision de publicités accrocheuses dans le but de gagner la bataille de l’opinion publique. La lutte pour obtenir l’arrêt définitif des travaux à Cacouna n’est pas terminée, notre succès ne sera assuré qui si nous restons vigilants et mobilisés. | |
Les bélugas peuvent compter sur nous. | |
TransCanada et le gouvernement du Québec s’imaginent que notre mouvement s’essoufflera et que nous « passerons à autre chose ». Ils se trompent! Nature Québec est intervenu récemment auprès de la Cour supérieure du Québec pour demander une injonction permanente invalidant le certificat d’autorisation les forages. Nous continuerons de suivre de près les manœuvres de TransCanada et du gouvernement du Québec. Nous vous informerons de tout futur danger pour nos bélugas, c’est un engagement. | |
Le Saint-Laurent à risque : pourquoi? | |
Pourquoi prendre le risque d’un désastre écologique dans le Saint-Laurent, à la suite d’un déversement de pétrole, si ce n’est que pour assurer le transport du pétrole de l’Ouest canadien vers des marchés d’exportation? Et ce, alors que la Colombie-Britannique et les États-Unis s’y opposent, estimant les risques trop importants. Aussi longtemps que nous n’aurons pas l’assurance que le terminal de transbordement de pétrole à Cacouna sera abandonné et le sanctuaire des bélugas protégé, nous poursuivrons notre lutte. Votre appui à la campagne Sauvons nos bélugas est fantastique. Je sais que nous pourrons compter sur votre solidarité dans les prochains mois. | |
Christian Simard Directeur général Nature Québec | |
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Nature Québec • 870, avenue De Salaberry, bureau 207, Québec (Québec) G1R 2T9 |