L'augmentation des maladies dégénratives (cancers, Alzheimer, sclérose en plaque, leucémies, allergies, baisse de la fertilité etc) est un fait, analyse et conseils naturopathiques pour s'en prémunir.
Les maladies dégénératives sont en augmentation, c'est un fait.
De nombreux médecins disent d'elles " maladies de civilisation, c'est un autre fait.
Pour la première fois dans l’histoire de son évolution l'être humain dégénère, sa santé et la survie même de l'espèce sont menacées par les différents polluants et contaminants que l’homme a lui-même mis en place.
Pour en minimiser les effets, une conclusion toute simple s'impose :
Consommez Bio et naturel !
- L'Alimentation : BIO
- La Santé & l'Hygiène : BIO
- Les Vêtements : BIO
C'est clair et c'est un choix.
La balle est dans votre camp, c'est à vous de choisir.
Mon propos n'est pas de dire ici qu'en consommant bio aucune maladie ne surviendra mais lorsque l'on sait quels sont les composants de l'alimentation, des médicaments, des vaccins, des cosmétiques ou des vêtements, on comprend très vite qu'en consommant bio on s'évite de nombreux, insinueux et récurants empoisonnements.
Personne ne peut aujourd'hui dire qu'il ne savait pas, pas plus les pouvoirs publics que les consommateurs.Trop d'études, trop d'articles de presse sont paru pour que même le consommateur le moins averti ne soit pas au courant. Quant aux pouvoirs publics, ils sont, évidemment les premiers informés. Et des pouvoirs publics justement il ne faut rien attendre, quelques effets de manche parfois mais ça ne va pas plus loin. Combien de scandales sanitaires avant que les consommateurs ne comprennent que nos décisionnaires - de tous bords - sont soumis à la loi du commerce, autrement dit des Grands Groupes Industriels.
Et ne vous imaginez surtout pas que ces lobby ne travaillent qu'à votre bien-être, leur seul point de mire est leur rentabilité ! Rentabilité de l'industrie pharmaceutique, rentabilité de l'agriculture industrielle, rentabilité de l'industrie pétro-chimique et de l'industrie agro-alimentaire. Le consommateur n'est qu'un client à qui il faut vendre en un minimum de temps un maximum de produits au minimum de coût de revient et qu'importe si les nuisances pour la santé sont incalculables, qu'importe si les pollutions environnementales sont incalculables, qu'importe si le nombre de maladies devient incalculable, le seul calcul qui les préoccupe est celui de leur bilan !
L'exemple du Bisphénol A
Le bisphénol-A, imite les œstrogènes, les hormones sexuelles féminines. S'il est présent dans l'organisme il sera donc capable de perturber le système hormonal du corps humain et ce dès le stade foetal. Une propriété qu’il a en commun avec plusieurs centaines de polluants présents dans les produits de consommation courante et appelés perturbateurs endocriniens bien que la palme revienne au Bisphénol-A présent dans la quasi totalité de nos produits de grande consommation.
Rats et souris de laboratoire, ont permis de démontrer que le Bisphénol-A provoque un grand nombre de maladies hormonales : féminisation des mâles, cancer des testicules, cancers de la prostate, anomalies des spermatozoïdes et infertilité, tumeurs des glandes mammaires, puberté précoce des femelles, fausses couches, diabète de type 2, altérations du système immunitaire, troubles du comportement, aberrations chromosomiques, obésité. Les constats sanitaires pour la santé humaines sont identiques.
Présent partout, depuis cinquante ans, ce composant chimique sert à fabriquer la plupart des plastiques en contact direct avec les aliments et boissons. On le trouve dans toutes les barquettes plastique dont celles des aliments préparés et à réchauffer au micro-onde mais aussi dans les bouteilles d'eau, les amalgames dentaires, les CD...il entre également dans la composition des résines époxy, ces vernis qui recouvrent l’intérieur des canettes de boisson et des boîtes de conserve, notamment pour le lait infantile en poudre.
Plus de 150 études à travers le monde,
depuis des années, ont mis en évidence les risques sanitaires liés à ce composant chimique, pourtant les pouvoirs publics internationaux ont fait la sourde d'oreille rassurés par les industriels du plastique qui soutenaient que les doses de Bisphénol-A auxquelles sont exposées la population étaient insuffisantes pour provoquer un quelconque effet nocif. Et, toujours selon l'industrie pétro-chimique, la dangerosité potentielle du Bisphénol-A ne serait encore qu'un “ mythe “. Alors qu'en 2008, un regroupement d’organisations environnementales américaines publiait un rapport qui démontrait très clairement que le Bisphénol-A libéré par le plastique des biberons, intoxiquait le lait et polluait les bébés.
Toujours pas interdit...
Le Canada a été le premier pays à réagir...en 2010 !
En France, le Bisphénol-A a été interdit dans la seule composition des biberons en 2010
et le 12 oct.2011, l'assemblée a voté l'interdiction du Bisphénol-A dans les contenants alimentaires à compter de janvier...2014 ! N'oublions pas que les boîtes de lait infantile contenant du Bisphénol-A sont donc autorisées jusqu'en 2014.
Les enfants de moins de 3 ans verront leurs contenant alimentaires dépollués du Bisphénol-A en 2013.
On constate donc aujourd'hui que bien qu'interdit en France le Bisphénol A est toujours trop présent...
Une bombe à retardement
Plusieurs points sont particulièrement intéressants dans le cas du Bisphénol-A
Les faits :
- Ce composant toxique a été pointé du doigt par de nombreux scientifiques depuis des années,
- Ce polluant entre dans la composition de la plupart de nos contenants alimentaires
- Le Bisphénol-A était en contact direct avec l'alimentation des bébés : biberons et boîtes de lait infantile
Les effets :
- De la part des Industriels : dénie
- De la part des pouvoirs publics : des réactions particulièrement lentes à se mettre en place
- Sur la santé humaine : la fertilité a été divisée par deux, le cancer des testicules a fait un bon de 50 %, le taux de puberté précoce augmente sans cesse...etc.
Les risques liés au Bisphénol-A en synergie avec l'alimentation industrielle :
- Ajoutez au Bisphénol-A, les résidus phytosanitaires, les phtalates, PVC, aluminium et autres composants chimiques, les ondes électro-magnétiques du micro-onde (pour le réchauffement des plats), les antibiotiques injectés aux animaux d'élevage et vous obtenez une véritable bombe à retardement pour nos organismes.
Le bio c'est trop cher...
Alors, c'est entendu, le bio c'est cher et là intervient votre choix.
Posez-vous calmement et demandez-vous quelles sont vos priorités, la santé de vos enfants, votre propre santé ou le seul plaisir de consommer ?
89 % de la population française est équipée d'un téléphone portable, la part des foyers français équipés en home cinéma ou en console de jeux TV a progressé de plus de 60% entre 2005 et 2011, les français auront dépensé, en moyenne, 200 €uros durant la période des soldes 2012 et les catalogues de jouets pour Noël n'hésitent pas proposer des jouets à 150 €uros voire plus. Ce n'est pas un jugement, c'est une constatation. Lorsque vous étiez enfant, vous qui me lisez, avez-vous reçu des cadeaux pour Noël de plus de 1.000 Francs ? Sans doute, non et avez-vous été plus malheureux pour cela ? Sans doute, non ! Dans les années 70, déjà, la société de consommation été vilipendée par certains, alors qu'en dire aujourd'hui...
La vie est faite de choix, de priorités et partant de frustrations, c'est comme ça. On ne peut pas tout avoir !
Ce qui est effrayant c'est que les parents privilégient des achats secondaires voire inutiles au détriment de la santé de leurs enfants. Car ce sont bien les enfants qui sont les premières victimes de la mal-bouffe ! Alors qu'ils devraient être la priorité absolue des parents.
Mieux vaut un repas frugal et bio qu'un repas copieux et produit par l'industrie agro-alimentaire.
Une tartine de pain bio avec du beurre et du chocolat râpé bio seront bien meilleurs que tous les petits déjeuners soit-disant équilibrés de l'industrie alimentaire !
Une pizza ou une boîte de raviolis industrielles n'ont jamais nourrit personne, elles engraissent, elles remplissent mais ne nourrissent pas !
L'Alimentation : BIO
Que contiennent vraiment nos assiettes ?
Les maladies dégénératives sont des maladies de civilisation.
La pollution atmosphérique, la pollution des ondes électro-magnétiques et la pollution des eaux représentent des paramètres auxquels il est difficile de remédier.
Quels sont nos moyens d’action ?
Tout est donc perdu ? Non car parmi les contaminants les plus dangereux, ont trouve justement ceux auxquels nous sommes soumis quotidiennement et sur lesquels il est possible d’agir.
Parmi ces polluants ceux de l’alimentation sont déterminants.
Une petite liste peut rapidement nous en convaincre :
Pain, café, pâtes… on y retrouve du plomb, de l’arsenic, de l’aluminium…
Voulez-vous voir -vraiment- ce que contiennent vos assiettes ?
Alors c'est parti, approchez-vous, n'ayez pas peur, regardez : c'est ce que vous mangez tous les jours :
Affiche de l'Association France Nature Environnement militant pour qu'une loi impose l'étiquetage des viandes nourris aux OGM
Du plomb dans votre pain quotidien Selon l'Anses, les produits comme la Baguette, les biscottes ou encore le pain de mie contiennent des métaux comme le plomb et le cadmium. Ces substances sont-elles dangereuses ? Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Le cadmium est un métal lourd classé comme cancérigène pour l'homme, mais aussi toxique pour les reins et la reproduction. Si celles retrouvées dans les aliments cités ci-dessus sont faibles, les niveaux d’exposition sont suffisamment importants pour qu'elles soient classées comme 'substances pour lesquelles le risque toxicologique ne peut être écarté'. D'où viennent ces contaminants ? Le plomb et le cadmium sont captés par le blé via le sol et se retrouvent dans le pain. Ces métaux sont naturellement présents dans les sols, mais peuvent aussi résulter d'une pollution industrielle, explique le Dr Jean-Charles Leblanc, chef du département de l'évaluation des risques liés aux aliments à l’Anses et coordinateur de l'étude. De l'aluminium dans les pâtes
Selon l'enquête de l'Anses, les pâtes alimentaires contiendraient de l'aluminium. L'aluminium est-il dangereux ? C'est une substance toxique pour le cerveau et la moelle épinière. Elle peut entraîner des troubles psychomoteurs. Les doses retrouvées lors de l'étude sont faibles. 'Nous signalons qu'un risque toxicologique ne peut être écarté pour les adultes et les enfants. Les pâtes, compte tenu de leur niveau de consommation, représentent des contributeurs importants à cette exposition', explique Jean-Charles Leblanc, coordinateur de l'étude à l’Anses. D'où vient l'aluminium retrouvé dans les pâtes ? Ce métal naturellement très présent dans les sols est aussi utilisé dans l'industrie agro-alimentaire, notamment en tant qu'additif. 'Nos méthodes d'analyse ne nous ont pas permis de distinguer l'aluminium venant de la nature et celui apporté par l'industrie', souligne le scientifique. De l'arsenic dans le café L'enquête de l'Anses sur l'alimentation révèle que de l'arsenic inorganique et de l'acrylamide sont présents dans le café. Ces substances sont-elles dangereuses ? L'arsenic inorganique entraîne diverses maladies graves telles que le cancer ou des maladies cardiovasculaires. L'acrylamide est une substance classée comme probablement cancérigène pour l'homme. 'Même si les doses retrouvées dans le café sont faibles, c'est un produit de grande consommation. Le risque toxicologique ne peut être écarté', explique le Dr Jean-Charles Leblanc. D'où vient l'arsenic retrouvé dans le café ? S'il est naturellement présent dans les sols, l'arsenic a été aussi longtemps utilisé dans la composition de pesticides, polluant ainsi les terres agricoles pour de nombreuses années. L'acrylamide apparaît dans le café lors de la torréfaction. Des PCB dans le beurre
Selon les recherches de l'Anses, les produits laitiers contiendraient des substances insoupçonnées : arsenic inorganique et plomb dans le lait, dioxines et PCB dans le beurre ! Ces substances sont-elles dangereuses ? L'arsenic inorganique peut être responsable de cancer et de maladies cardiovasculaires. Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Les dioxines et PCB sont cancérigènes et toxiques pour la reproduction. Même si les doses retrouvées par les chercheurs sont faibles, la consommation de produits dérivés du lait est très importante, notamment chez les enfants. Le risque toxicologique pour ces substances ne peut donc être écarté. D'où viennent ces contaminants ? 'Ces substances chimiques sont présentes du fait de l'activité humaine. L'alimentation des bovins est contaminée, puis leur lait', précise Jean-Charles Leblanc, chef du département de l'évaluation des risques liés aux aliments à l’Anses. Des sulfites dans le vin
L'étude de l'Anses alerte sur la présence de sulfites dans le vin et de plomb dans les boissons alcoolisées. Ces substances sont-elles dangereuses ? Les sulfites sont soupçonnés d'être cancérigènes. Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Les personnes les plus à risque sont bien sûr les forts consommateurs d'alcool. D'où viennent ces contaminants ? Les sulfites sont des conservateurs ajoutés dans le vin. 'Les additifs sont plus simples à maîtriser, leur réglementation a récemment été revue à la baisse', précise Jean-Charles Leblanc, coordinateur de l'étude. Le plomb, lui, est présent en infime quantité dans les sols et se retrouve dans le raisin ou les ingrédients des boissons alcoolisées. Une contamination industrielle ne peut être exclue. Mercure, dioxines dans les poissons
Le poisson est indispensable à une alimentation équilibrée (moins calorique que la viande, riche en oméga 3). Les poissons sont contaminés par plusieurs polluants tels que le mercure (surtout dans le thon), les dioxines et les PCB. Ces substances sont-elles dangereuses ? En plus d'être cancérigènes, les dioxines et PCB sont des perturbateurs endocriniens, c'est-à-dire qu'ils nuisent à la reproduction humaine. Le mercure est particulièrement toxique durant la grossesse pour le fœtus. Quels poissons éviter ? Les gros poissons, en bout de la chaîne alimentaire contiennent le taux le plus élevé de mercure, comme le thon mais aussi l'anguille, le barbeau, le brème, la carpe et le silure sont les plus à risque d'être contaminés. L'Anses déconseille aux enfants de moins de 3 ans, aux adolescentes, aux femmes en âge de procréer, enceintes et allaitantes d'en consommer. D'où viennent ces contaminants ? Ce sont en majorité des polluants d'origine industrielle qui ont été rejetés dans l'environnement. |
Le risque majeur de contamination n'est pas tant le taux de contaminants induits dans chaque aliment, bien qu'en soit ces polluants soient suffisamment effrayants, mais le cocktail que représente la synergie de tous ces contaminants.
Imaginez un repas classique comportant :
une salade de carottes râpées (cultivées aux pesticides, engrais et autres phytosanitaires)
une part de thon (contient du mercure)
une portion de pâtes (contiennent de l'aluminium)
un morceau de beurre (contient des PCB) et un morceau de pain (contient du plomb)
un verre de vin (contient des sulfites)
un petit café (contient de l'arsenic) et l'addition ?
Vous aurez donc ingurgité, dans un même repas, : Résidus phytosanitaires, Mercure, Aluminium, PCB, Plomb, Sulfites et Arsenic, à ceux-là ajoutez le Bisphénol-A des emballages, avouez que c'est un drôle de repas ! Ne finissez surtout pas votre dîner avec une pomme (issue de l'agriculture industrielle, 34 traitements phytosanitaires lui auront été administrés) vous risqueriez de clignotter toute la nuit !!!
Pourtant, les taux de polluants contenus dans les aliments restent dans la limite de sécurité fixée par les autorités sanitaires. Mais que se passe-t-il si on mange plusieurs aliments contaminés ? C'est toute la question et aujourd'hui aucun scientifique, aucun médecin n'est capable d'en mesurer exactement les risques.
L'effet cocktail
C'est ' l'effet cocktail ' tant redouté par de nombreux scientifiques. Lorsque l'on consomme plusieurs polluants, leur toxicité peut se combiner de façon à avoir un effet encore plus nocif pour l'organisme.
" Les autorités sanitaires n'en tiennent pour l'instant pas compte dans leurs études et pour fixer leurs seuils de toxicité ", alerte le chercheur André Cicolella, porte-parole du Réseau environnement santé. ' Ce phénomène est particulièrement préoccupant lorsqu'il s'agit d'un mélange de perturbateurs endocriniens, tels que les dioxines ou les PCB par exemple.'
Et Jean-Charles Leblanc, coordinateur de l'étude de l'Anses de conclure : 'L'étude sur l'alimentation n'a pas tenu compte de cet effet cocktail, même si cette question est connue depuis plusieurs années. Nous ne disposons pas pour l'instant des outils nécessaires pour l'évaluer.' On est en droit de se demander quand ces outils nécessaires seront-ils disponibles...
L'Agriculture industrielle en quelques dates :
1979, les PCB sont strictement interdits : ils sont aujourd'hui encore largement présents dans notre environnement. Ils se sont disséminés dans l'air, le sol, l'eau, les sédiments, contaminant les plantes, les animaux et enfin les hommes. On sait, aujourd'hui que la concentration des PCB dans le sang des Français est plus élevée que chez nos voisins allemands et américains. On sait aussi que les champs mis au repos pour prévaloir à l'appelation AB (Agriculture Bio) ne présentent plus de taux de PCB, on pense que la réappropriation de la terre par les micro-organismes ainsi que les lombrics permettrait ce nettoyage des surfaces cultivables.
2004, Paysans, médecins, scientifiques... ils accusent , le journal l'Express titrait sa Une avec cette accusation avant de poursuivre dans l'important dossier qu'il publiait le 25 oct. 2004 : Les produits chimiques utilisés dans l'agriculture sont à l'origine de graves pathologies, souvent mortelles. Aujourd'hui, des victimes et leurs familles sortent du silence pour faire reconnaître ces nouvelles maladies professionnelles. Pour autant, dénoncer la nocivité des herbicides ou des insecticides, c'est ébranler le fondement même d'une politique agricole exclusivement tournée vers le rendement. Or, dans ce système, en place depuis quatre décennies, les différents acteurs ont tous quelque chose à se reprocher. Les paysans ont répandu ces produits sur leurs champs sans prendre la précaution de porter gants ou masque. De leur côté, les coopératives les leur ont vendus sans autre mise en garde que les mentions elliptiques portées sur les étiquettes: « Possibilité d'effets irréversibles », peut-on lire à l'arrière de ce bidon, empoigné au hasard dans le stock d'une ferme. Effets sur quoi ou sur qui ? L'utilisateur devinera... Quant aux fabricants, ils ont prospéré sur un marché en pleine expansion, négligeant l'impact à long terme de leurs spécialités sur la santé humaine. Les autorités sanitaires, qui ont homologué ces poisons légaux sans se donner les moyens de les évaluer correctement, ne peuvent pas non plus pavoiser...."
2004, 12 ans ! et rien n'a changé !!!
2005, Bertrand Nadel (Centre d'immunologie de Marseille-Luminy) a suppervisé une étude qui a aboutie à établir qu'il existe un lien entre l'exposition des agriculteurs aux pesticides et des anomalies du génome pouvant faire se développer en cancer.
2005, 11 ans ! et rien n'a changé !!!
2008, Bertrand Nadel et Sandrine Rouland présentent des travaux démontrant un risque plus élevé de cancers lymphatiques chez les agriculteurs. Avec le soutien financier de la Ligue contre le cancer, ils ont poursuivi leurs recherches et obtenu de nouveaux résultats.
4 ans...
2009, Les travaux de Nadel et Rouland sont publiés dans le Journal of Experimental Medicine.
3 ans...
Et toujours aucune législation claire en matière de phytosanitaires...
Intervention du Professeur Dominique Belpomme lors de l'Université populaire participative "Pesticides : quel impact sur notre alimentation et notre santé" - 6 juillet 2009 - |
Lire la Vidéo |
L'alimentation des Français en quelques chiffres :
Pourtant :
42% des Français consomment au moins un produit bio une fois par mois
78% de parents souhaitent la Bio dans les restaurants scolaires
Alors, bien sur les statistiques sont encourageantes mais il faut aussi savoir les lire...
quand on sait que :
- le bio ne représente, en France, que 0,5 % des repas servis à l'école
- près de 80 % des légumes et plus de 70 % des fruits et viandes sont achetés dans les grandes surfaces et non bio.
quand on sait que :
Initialement prévus pour être consommés comme aliments de dépannage et non tous les jours, les plats cuisinés industriels représentent aujourd'hui une consommation de : 22 kilos par seconde, ou 700 millions de kilos de plats cuisinés sont achetés en France pour un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros soit +24% entre 2004 et 2007...
- acides gras trans utilisés comme stabilisateurs afin de rendre les aliments plus fermes et moins rapides au rancissement. On les appelle aussi des huiles partiellement hydrogénées et on les trouve en grande quantité dans les viennoiseries, les pizzas, les quiches, les margarines, les barres chocoloatées et les pâtes à tartiner.
- colorants en tous genres,
- sel et sucre en excès,
- arômes, additifs, conservateurs dont on ne connaît pas l'inocuité.
quand on sait que :
Mac Donald's compte plus de mille enseignes dans l'Hexagone (1 161 au 31 décembre 2009) et se vante d'y servir chaque jour "plus d'un million de repas". Quick (depuis 1990) totalise 371 enseignes, puis viennent les restaurants rapides spécialisés citons : KFC (Kentucky Fried Chicken) (depuis 2001) avec une centaine d'enseignes, Class'Croûte (depuis 1987) 120, ou Pizza Hut (depuis 1989) 114, pous ne citer que quelques exemples (source : observatoire de la Franchise )
quand on sait que : La restauration rapide représente, en France, les chiffres suivants :
- 19 000 points de vente en France en 2009,
- La restauration rapide détient environ 2 % du nombre total de restaurants,
- Chiffre d’affaires annuel : plus de 10 milliards d’euros, soit 24 % du chiffre d’affaires total de la restauration commerciale,
- Depuis 10 ans, le taux de croissance moyen annuel de la restauration rapide est d’environ 5,4 % (étude Xerfi).
Alors que : pour les magasins bio nous comptabilisons les chiffres suivants :
330 magasins biocoop ont été créé (depuis 1986) et 170 magasins La Vie Claire (depuis 1946) sont implantés en France. On comprend bien que la production agricole BIO Française ne représente que 2 % des surfaces cultivées.
Voilà donc pour l'alimentation, notre nourriture, ce que nous ingérons quotidiennement et plusieurs fois par jour, ce que nous donnons à nos enfants pour qu'ils grandissent... Inutile ici de rappeler la toxicité des colorants alimentaires et des taux d'engrais et autres phytosanitaires, qui sont indiqués dans deux autres articles.
Mais est-ce vraiment une nourriture ? Est-ce vraiment lui faire plaisir que de prendre le risque d'empoisonner son enfant ?
Faut-il que les parents attendent que ce soient les enseignants qui apprenent à leurs enfants comment bien se nourrir, quelles sont les différences entre nourriture saine et mal-bouffe. Est-ce à nos professeurs à apprendre aux enfants à apprécier un repas naturel ?
Entendons-nous, l'alimentation BIO n'est pas forcément gage d'équilibre alimentaire, il y a des règles à suivre et des manières de cuisiner à connaître, se nourrir de hamburgers bio ne sera pas meilleur sur le plan nutritionel qu'un hamburger " classique ", il sera juste moins nocif en terme d'exposition aux polluants.
Il exite d'autres façons de se nourrir et de faire plaisir, découvez-les dans les recettes publiées dans ce site.
La Santé et l'hygiène : Bio
Ne tirons pas sur l'ambulance, les scandales sanitaires sont suffisamment nombreux pour qu'ils ne soient pas ici évoqués.
Revenons plutôt à notre préocupation : que contient quoi ?
Les médicaments :
Mai 2011, Le journal Le Monde publiait une liste de 400 médicaments contenant des parabènes.
Ces conservateurs, déclaré nocif par l’Assemblée Nationale, ont fait l’objet d’un débat scientifique qui s’est résolu par un texte voté par les députés interdisant ce produit potentiellement dangereux dans la fabrication des cosmétiques.
En revanche, côté santé, ce sont donc 400 médicaments qui peuvent ainsi être potentiellement nocifs en raison de la présence de parabènes entrant dans leur composition.
Ce composant, qui est en fait un conservateur, ne l'oublions pas, est intégré dans les médicaments dans le but d’empêcher le développement de champignons et de micro-organismes qui pourraient s’avérer dangereux pour et préjudiciable à la santé.
Seulement voilà, c’est finalement le médicament qui est nocif pour la santé, puisque suite à un débat scientifique, l’Assemblée a adopté le 3 mai un texte présenté par le député Yanne Lachaud qui demandait d’interdire l’utilisation jugée dangereuse, de nombreux conservateurs présents dans les médicaments : les phtalates, l’alkylphénols et les parabènes dans la fabrication de cosmétiques.
Il est intéressant de savoir que Le Monde indiquait dans son article que l’Afssaps s’était déjà penchée sur le sujet en 2004 et avait mis en garde contre les effets pervers du parabène, soupçonné d’être absorbé et retenu par les tissus du corps humain, après la publication d’une étude britannique. La décision d'interdire les parabens dans les médicaments n'est toujours pas prise par les pouvoirs publics.
Parmi ces 400 médicaments contenant du parabène, on trouve des produits extrêmement courants, tels que Drill, Biafine et Humex, mais aussi des cosmétiques pour bébés et des antibiotiques.
Les vaccins :
la liste des adjuvants des vaccins se trouve dans l'article " Les maladies dégénératives en augmentation "
Hygiène corporelle et cosmétique :
Comme indiqué plus haut les parabens sont aujourd'hui interdits dans la cosmétique mais combien de composants chimiques entrent dans leur composition ? Substances chimiques qui traversent la barrière de la peau et vont ainsi directement dans le sang. Les déodorants, par exemple, sont une nouvelle fois sur la sellette. Selon une étude menée par l'Université de Genève, les sels d'aluminium, présents dans neuf anti-transpirants sur dix, seraient toxiques pour les cellules mammaires humaines et pourraient être non négligeables dans l'augmentation des cancers du sein.
La plupart des produits cosmétiques vendus dans les grandes surfaces et parfumeries sont composés de produits chimiques : entre 70 à 90% de l’excipient des produits courants sont des ingrédients issus de la pétrochimie Catherine Sokolsky journaliste de "Que Choisir " a publié une liste des principaux produits chimiques autorisés en France : Phénoxyéthanol - Paraben- - DMDM hydantoin - PEG 200 - PEG 7 - PEG 12 diméthicone - PEG 40 - PEG 150 pentacrythyl - Lodopropynyl - Sodium hydroxide - Propylène glycol - Butylcarbonate - Diméthiconol - Parrafin - Cétrimonium chloride - TEA - Dodecylbenzenesulfonate - Laureth - CI 15985 - CI 16255 - CI 47005 - CI 42051 - CI 77007 Pentacyclosiloxane - Diméthicone cross polymère - Cyclohexasiloxane - Dyméthylsilanol hyaluronate - Silica diméthyl - Butylene glycol - Isobutyl paraben - Ethylparaben - Propylparaben - Silical dyméthyl - Sodium chondroitin sulfate - Méthylparaben - Alkylacrylate - Crosspolymer - Acrylates/C10-30 - Cyclométhicone - Glycol - Oleth-20 - Triethanolamine - Tétrasodium - EDTA - Propylène glycol - Ammonium acryloyldiméthyl - Taurate/VP - Copolymer Dans cette liste, on trouve : - Les parabens-aujourd'hui interdits en cosmétique Ce sont des esthers de l'acide parahydroxybenzoïque. Ce sont des conservateurs qui empêchent la croissance des champignons et des bactéries. Ils se trouvaient dans la plupart des produits cosmétiques et d’hygiène. Et aujourd'hui dans les médicaments.... - Les PEG (polyethylènes glycols) et PPG (propylènes glycols)
Les PEG : (polyethylènes glycols) entrent dans la composition principale d’une majorité de gels douche, shampoings, savons… Ils sont obtenus à partir d’oxyde d’éthylène, toxique et inflammable. Ils provoquent des allergies et de l’acné et sont aussi soupçonnés d’être cancérigènes. Les PPG (propylènes glycols) sont une forme cosmétique de l’huile utilisée dans les freins, fluide hydrauliques et antigels industriels.
- Les tensioactifs
Ce sont les agents nettoyants et moussants dans les shampooings, dentifrices, savons, crèmes à raser, laits démaquillants, etc. Principaux tensioactifs : Sodium Lauryl Sulfate, Monoéthanolamine, diethanolamine, triethanolamine et les polyéthylenglycols (PEG). Les dangers selon certains vont de la simple irritation au risque de cancer de la peau.
- Colorants cosmétiques
Des chercheurs américains ont constatés que l'utilisation de colorants pour les cheveux multipliait par cinq le risque de cancer du sein.
- Colorants azoïques
Colorants à base de goudron synthétique avec des groupes amino, particulièrement critiques sur le plan toxicologique.
- Padimate-O (aussi connu sous octyl dimethyl PABA)
Essentiellement présent dans les protections solaires, il agit aussi en émettant des nitrites se combinant aux DEA pour former des Nitrosamines.
Selon le docteur Dr Epstein le Padimat–O peut causer des eczémas allergiques ainsi que des réactions sensibles à la lumière se traduisant par des irritations, éruptions, et/ou enflures.
- Le Fluor
Plusieurs études incriminent le fluor dans le cancer des os. Attention aux dentifrices. Ne pas avaler la pâte de dentifrice fluoridée.
- Les sels d’aluminium et triclosane
Ce sont des bactéricides utilisés dans les déodorants. Ils endommagent les glandes sudoripares et pourraient se fixer sur certains organes dont le cerveau. Comme indiqué plus haut ils sont suspectés d'être parmi les facteurs déclanchants des cancers du sein.
- Lanoline Elle serait en partie contaminée par les pesticides. |
Voilà pour la santé ces produits mis au point pour nous soigner et qui contiennent des substances toxiques. Alors qu'il existe des traitements naturels, efficaces et dont l'inocuité a été mainte fois prouvée, vous pouvez en découvrir quelques-uns en aromathérapie, phytothérapie et autres techniques naturopathiques. Quant à la cosmétique et l'hygiène, les alternatives existent aussi, en Bio elles ont fait de grands progrès et les gammes proposées sont très séduisantes.
Les vêtements : Bio
Greenpeace a trouvé parmi les échantillons de vêtements de grandes marques, comme Adidas, Lacoste, Ralph Lauren, des traces d'éthoxylates de nonylphénol, un perturbateur hormonal...
Des traces de substances chimiques toxiques susceptibles de porter atteinte aux organes de reproduction des êtres vivants ont été détectées dans des produits de quatorze grands fabricants de vêtements, a annoncé Greenpeace à la suite de son étude.
Parmi les marques mises en cause par l'ONG de défense de l'environnement figurent Adidas, Uniqlo, Calvin Klein, Li Ning, H&M, Abercrombie & Fitch, Lacoste, Converse et Ralph Lauren. Greenpeace a acheté dans 18 pays des échantillons de vêtements de ces marques, fabriqués notamment en Chine, au Vietnam, en Malaisie et aux Philippines. Puis elle a soumis ces textiles à des analyses.
«Des éthoxylates de nonylphénol (NPE) ont été détectés dans 2/3 de ces échantillons», a expliqué dans une conférence de presse à Pékin Li Yifang, en présentant le rapport «Dirty Laundry 2 (Linge sale)».
Les éthoxylates de nonylphénol (NPE) sont des produits chimiques fréquemment utilisés comme détergents dans de nombreux processus industriels et dans la production de textiles naturels et synthétiques. Déversés dans les égouts, ils se décomposent en nonylphénol (NP), un sous-produit très toxique.
« Le nonylphénol est un perturbateur hormonal », a souligné Mme Li, en précisant qu'il pouvait contaminer la chaîne alimentaire et qu'il s'accumulait au sein des organismes vivants, menaçant leur fertilité, leur système de reproduction et leur croissance. « Ce n'est pas seulement un problème pour les pays en développement où sont fabriqués les textiles », a insisté Li Yifang. « Etant donné que des quantités résiduelles de NPE sont relâchées quand les vêtements sont lavés, ils s'insinuent dans des pays où leur usage est interdit ».
L’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a approuvé mardi 12 juillet 2011 le rapport parlementaire du sénateur Gilbert Barbier intitulé « Les perturbateurs endocriniens, Le temps de la précaution ».
Le sénateur souligne que les inquiétudes relatives aux perturbateurs endocriniens proviennent de l’augmentation importante de maladies liées au système hormonal comme les troubles de la reproduction ou certains cancers.
Gilbert Barbier estime que les données disponibles sont suffisantes pour agir dès maintenant afin de protéger les populations les plus vulnérables, tout particulièrement les bébés et les femmes enceintes. Le Réseau Environnement Santé ne peut que se satisfaire d’une telle déclaration.
Et voilà pour les vêtements, notons qu'il est aussi ici question des détergents, produits aussi issus de l'industrie chimique. Alors que de nombreux produits d'entretien chimiques peuvent être efficacement remplacés par des produits naturels et dont vous pouvez retrouver plusieurs recettes dans la rubrique les Trucs du Naturo
Quant aux vêtements et bien oui il existe des vêtements en coton bio, en lin, en chanvre...Utilisez-les, au moins, pour les vêtements que vous portez à même la peau et pour vos enfants dont la peau est plus fine que celle d'un adulte.
En conclusion :
NON les maladies dégénératives n’ont pas seulement pour cause le vieillissement de la population, l’histoire nous apprend que nos ancêtres mouraient –aussi- très agé et ce depuis la plus haute Antiquité :
Antiquité |
| Moyen-Age | |
Eratosthène -Mathématicien -276 / -194
| 82 ans | Charlemagne -Empereur 742 / 814 | 72 ans |
Archimède - Mathématicien -287 / -212 | 75 ans
| Averroès Philosophe 1126 / 1198 | 72 ans |
Epicure - Philosophe -341 / -270 | 71 ans
| Marco Polo Explorateur 1254 / 1324 | 70 ans |
Euripide - Poète -480 / -406
| 74 ans
| Pétrarque Poète 1304 / 1374
| 70 ans |
Socrate - Philosophe -470 / -399
| 71 ans
|
|
|
Thalès - Mathématicien -625 / -547
| 78 ans
| | |
|
| | |
Renaissance | | Epoque Moderne | |
Le Pérugin Peintre 1448 / 1523 | 75 ans | Pierre Corneille - Écrivain 1606 / 1684 | 78 ans |
François Rabelais Écrivain 1483 / 1553 | 70 ans | Jean de La Fontaine - Poète 1621 / 1695
| 74 ans |
Titien - Peintre 1488 / 1576 | 88 ans | Madame de Maintenon Epouse de Louis XIV 1635 / 1719
| 84 ans |
Bernard Palissy, Céramiste 1510 / 1589 | 79 ans | Louis XIV Roi 1638 / 1715
| 77 ans |
Catherine de Médicis Reine 1519 / 1589 | 70 ans | Isaac Newton - Physicien 1642 / 1727 | 85 ans |
Claudio Monteverdi Musicien 1567 / 164 | 76 ans | Stradivarius - Luthier 1644 / 1737
| 93 ans |
William Harvey Médecin 1578 / 1657 | 79 ans | Pierre de Marivaux - Écrivain 1688 / 1763
| 75 ans |
Le Bernin - Architecte 1598 / 1680 | 82 ans | Voltaire - Écrivain 1694 / 1778 | 84 ans |
|
| Jean-Baptiste Chardin - Peintre 1699 / 1779 | 80 ans |
|
| Denis Diderot - Philosophe 1713 / 1784
| 71 ans |
| | Louis Antoine De Bougainville - Navigateur 1729 / 1811 | 82 ans |
| | Talleyrand - Homme Politique 1754 / 1838 | 84 ans |
| | Louis-Philippe Roi 1773 / 1850
| 77 ans |
| | Jean Auguste Dominique Ingres - Peintre 1780 / 1867 | 87 ans |
| | Victor Hugo Écrivain 1802 / 1885 | 83 ans |
| | Claude Monet - Peintre 1840 / 1926 | 86 ans |
| | Georges Clemenceau Homme Politique 1841 / 1929 | 88 ans |
| | Camille Flammarion - Astronome 1842 / 1925
| 83 ans |
| | Camille Claudel - Sculptrice 1864 / 1943
| 79 ans |
| | Alain - Philosophe 1868 / 1951 | 83 ans |
| | Paul Claudel - Poète 1868 / 1955
| 87 ans |
| | Jean Monnet - Économiste 1888 / 1979
| 91 ans |
| | Eugène Ionesco - Écrivain 1909 / 1994 | 85 ans |
| | | |
Allons, personne ne me fera croire que ces hommes politiques, ces artistes, ces explorateurs sont des exceptions...exceptionnelles ! Combien sont-ils dont l'histoire n'a pas retenu le nom et qui sont morts très agés ? Il n'est que de visiter un cimetière pour constater que nos aïeux mouraient, eux aussi, à des âges très avancés. Louis XIV a gouverné jusqu'à son dernier jour, Voltaire écrivait encore sur son lit de mort et Victor Hugo s'indignait toujours aux portes de la mort. Où sont donc ces anciens morts à 30, 40 ou 50 ans dans un état de débilité avancé, chenus avant l'âge ?
Non, nos ainés, lorsqu'ils ne sont pas morts entraînés par les guerres ou les épisodes de famine et les épidémies qui les suivaient ne mouraient pas si jeunes ! En revanche, il est tout-à-fait exact que la mort emportait très rapidement les femmes au moment de leurs couches, par un manque évident d'hygiène, de connaissances obstétriques et des enfantements trop nombreux ainsi que les enfants nouveaux-nés pour les mêmes raisons.
D'où le constat de nos statisticiens qui ont comptabilisé les enfants morts en bas âge et les mères décédées en couches mais aussi les morts par accidents (faute de documentation) dans leurs statistiques et, partant de là, ont calculé une moyenne d'âge en espérance de vie selon les époques ! Les dés ainsi, dès le départ, étaient pipés.
L'espérance de vie en augmentation ?
Et bien non justement, pour la première fois depuis des décennies les Etats-Unis enregistrent, une diminution, de un mois en moyenne sur leur espérance de vie, statistiquement, c'est énorme et c'est surtout sans précédent. Et quand bien même l'espérance de vie continuerait d'augmenter, comment accepter l'augmentation des cancers des enfants, comment accepter la diminution du taux de fertilité, comment accepter les maladies neurodégénératives qui touchent des populations de plus en plus jeunes ?
Les connaissances hygiénistes étendues dont nous bénéficions aujourd'hui, les incroyables progrès de la chirurgie ou de la dentisterie, par exemple, mais aussi les avancées en matière d'agriculture bio et de compréhension des sols de culture, pourraient permettre à l'Homme du XXIèm siècle une vie pleine, sereine à la santé parfaitement préservée, s'il n'y avait cet effrayant tribu à payer aux lobbys industriels.
Nos vies pour les grands groupes industriels sont sans valeur, les seules valeurs qu'ils reconnaissent sont côtées en bourse !
Pour se prémunir des maladies dégénératives :
Dans le monde entier, ce sont plusieurs centaines d'études scientifiques parfaitement sérieuses et argumentées qui ont été menés pour dénoncer la nocivité des pulluants et contaminants chimiques qui menacent jusqu'à la survie de notre espèce humaine. Seul le silence a fait écho à la plupart de ces recherches.
Les découvertes chimiques d'hier - misent en place sans étude toxicologique - vont bientôt être remplacées par les nanotechnologies et les OGM risquent de se multiplier, sans qu'aucune recherche ni aucune étude toxicologique ne soient là non plus mises en place. Sans aucune garantie de sauvegarde pour la santé des hommes et l'environnement.
Les pouvoirs publics attendent de très (trop) longues années avant de demander à une chaîne de production de stopper ses machines.
Pour le moment, la seule et unique façon de se prémunir des maladies dégénératives est de se tourner vers :
le naturel,
le non transformé,
le bio !
C'est en s'exposant le moins possible aux polluants, aux contaminants et aux chimies toxiques que nous pourrons en minimiser les effets pervers sur notre santé, celle de nos enfants et celle des générations futures.
Le Dossier noir des " Maladies dégénératives " :
On tue nos enfants !
Les maladies dégénératives en augmentation
Maladies dégénératives, le foetus première victime
Les maladies dégénératives passent à table !
Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer
Hyperactivité, Maladies dégénératives et additifs le lien est établi !
Antennes-relais et maladies : il n'y a plus de doute !
Maladies dégénératives, leucémies et nucléaire : trop de cas
Maladies dégénératives, des poisons dans vos placards...
Maladies dégénératives, retrouvez l'hygiène au naturel !
Les Maladies dégénératives, en conclusion
Dans la Presse :
Le Rôle des Pouvoirs publiques et des instances de surveillance en France
Dans la presse : Y a-t'il un Ministre de l'écologie en France ?
Dans la presse : l'Affsaps de nouveau sur la sellette
Dans la presse : de la bonne santé de l'Agro-Alimentaire
Dans la presse : taxe sur les sodas, c'est pô juste....!!!