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Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 10:37

presse homenaturo overblog

 

  leParisien  , ce 12.03.11, 10h30

Une explosion a été observée et entendue samedi à la centrale nucléaire de Fukushima N°1, dans le nord-est du Japon, alors qu'un nuage blanc s'élevait au-dessus du site. Plusieurs employés ont été blessés. Après le violent séisme qui a frappé le pays, les autorités japonaises avaient décrété dès vendredi l'évacuation d'une zone de dix kilomètres autour de cette centrale située à 250 km au nord de Tokyo.


L'Agence de sécurité nucléaire et industrielle estimait samedi qu'une fusion était en cours dans le réacteur N°1 de la centrale, suite aux dommages causés par le très violent séisme de vendredi. De son côté, la compagnie d'électricité Tokyo Electric Power (Tepco), qui exploite le site, contestait qu'un tel phénomène soit en cours, expliquant qu'elle tentait «de faire remonter le niveau d'eau» pour refroidir le réacteur.

Des dysfonctionnements du système de refroissement de ce réacteur numéro 1 avaient été signalés vendredi, ainsi qu'une élévation anormale de la pression interne. Tepco avait reçu des autorités l'instruction de laisser s'échapper des vapeurs comportant des substances radioactives pour faire descendre la pression, après avoir évacué la zone dans un rayon de 10 kilomètres. Par ailleurs, du césium radioactif a été détecté aux alentours de cette centrale, a assuré l'agence Kyodo, citant les responsables de la sûreté nucléaire.

45.000 habitants évacués vendredi

Vendredi, c'est le Premier ministre Naoto Kan qui a demandé à la population d'évacuer le secteur habité par 45 000 habitants vers 6h30 samedi matin (22h30 vendredi soir, heure de Paris) en raison d'une radioactivité 8 fois supérieure à la normale et d'une fuite radioactive à l'extérieur de la centrale. Selon l'agence Kyodo, ce taux de radioactivité était beaucoup plus alarmant : 1000 fois supérieur à la normale dans la salle de contrôle du réacteur numéro 1. Pire : selon des médias japonais, une deuxième centrale nucléaire - toujours dans le secteur de Fukushima - rencontrait samedi matin des problèmes de refroidissement.


L'état d'urgence nucléaire a été décrété au Japon à titre de précaution. Un total de onze réacteurs sur 55 se sont automatiquement arrêtés, selon le ministère de l'Industrie.Un départ de feu a par ailleurs été signalé dans un bâtiment abritant une turbine dans la centrale nucléaire d'Onagawa située dans la préfecture de Miyagi.

La centrale la plus importante du pays, Kashiwazaki-Kariwa, dans la préfecture centrale de Niigata, plus éloignée de l'épicentre, restait quant à elle opérationnelle. Quelque 4,4 millions de foyers étaient privés d'électricité dans le nord-est du Japon.

 

Pour être informé rendez-vous sur le site du CRIIRAD - Commission de  Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité - ici

 


A.HomeNaturo OverblogLa douleur des Japonais est notre douleur, cela va sans dire, et mes pensées vont spécialement vers Taka et Kei, son épouse et leurs enfants.

Il est juste incroyable de penser que le pays le plus nucléarisé au monde (17 centrales nucléaires, tout-de-même !) soit aussi celui à plus haut risque sismique ! Comment peut-on laisser faire de telles aberrations ?  

Beaucoup de choses vont se dire ces prochains jours sur le nucléaire : plus sûr, plus économique, moins dangereux même que la voiture, plus écologique, sans émissions de CO2 et que, de toutes façons, nous n'avons pas encore trouvé le moyen de fournir de l'énergie à grande échelle autrement que par le nucléaire. Beaucoup d'arguments en faveur du nucléaire vont être avancés, oui évidemment...

Une seule question face à ces arguments : combien de temps met une pollution nucléaire à se résorber ?

Qu'en est-il exactement du taux d'irradiation de Tchernobyl, 25 ans après " l'accident " du 26 avril 86 ?

Quel bilan a-t-il était fait de cette tragédie ?

Un accident nucléaire n'est pas un accident comme les autres, aussi effroyables soient-ils. Un accident nucléaire, lui, est toujours en soi une catastrophe en regard de l'ampleur, de la dissémination et de la durée de l'exposition aux radiations.

Non le nucléaire n'est pas une source d'énergie comme les autres...


 

 

 L'EXPRESS  Nucléaire : le cancer à petites doses

Par Casteret Anne-Marie, publié le 17/04/1997

50 ans après Hiroshima, on vient de découvrir que même de faibles doses de radiations représentent un risque accru de cancer

 

Pour la première fois, une étude épidémiologique publiée par la revue Santé et travail prouve l'effet cancérogène des rayons ioniques, même à faible dose.
50 millisieverts, c'est la dose annuelle maximale admise pour les personnes directement exposées au risque nucléaire. C'est aussi la dose reçue, il y a cinquante ans, par quelques milliers d'habitants de Hiroshima et de Nagasaki. Or, longtemps considérée comme insignifiante, car faible, cette irradiation se révèle cancérogène à long terme.

Jusqu'à présent, les observateurs pensaient qu'il fallait atteindre au moins quatre fois cette dose pour constater un effet nocif. D'ailleurs, la vague de leucémies apparue cinq ans après l'explosion des bombes atomiques et directement liée à l'action des rayons ionisants avait semblé épargner le groupe de survivants «faiblement» irradiés. D'où les conclusions sommaires de la communauté scientifique, estimant qu'au- dessous d'un certain seuil les dégâts causés par l'irradiation nucléaire devaient être inexistants ou facilement annulés par les capacités de réparation de la cellule.
Mais, pour la première fois, l'enquête épidémiologique conduite par la fondation américano-japonaise RERF (Radiations Effects Research Foundation) depuis 1950 vient de prouver que les «faibles doses» pouvaient engendrer d'autres cancers que les leucémies. Le rapport, paru en juin 1996 dans la revue très spécialisée Radiation Research, était resté très discret jusqu'à présent. Mais sa publication pour le journal Santé et travail de la Mutualité française devait susciter de sérieux remous dans la communauté scientifique. Les auteurs du rapport expliquent que deux types de cancers se sont manifestés dans les années qui ont suivi l'explosion de la bombe atomique. Le premier type - la leucémie, ou cancer du sang - est apparu dès la troisième année, avec un pic vers la huitième année et une lente régression ensuite. Entre 1950 et 1990, on compte, au total, 87 leucémies «en trop» par rapport au nombre de cas survenus pendant la même période chez une population témoin.

La fréquence du second type de cancers, les tumeurs «solides», qui apparaissent sur des organes comme le foie, les poumons, les seins, etc., a augmenté plus tard. Elle est toujours en pleine progression. Au début des années 90, il y avait déjà un excès de 334 tumeurs malignes parmi la population japonaise exposée.
«Les décès survenus dans les cinq dernières années de la période étudiée illustrent bien cette différence d'évolution; ils représentent 3% des leucémies et 25% des tumeurs malignes mortelles survenues en quarante ans, explique Jean-Claude Zerbib, ingénieur en radioprotection et auteur de l'article de Santé et travail. Et, pour ce qui est des cancers solides, l'excès de risque ne concerne pas uniquement les sujets fortement irradiés, mais bien aussi les autres. Quel que soit l'organe étudié, on ne trouvait pas, avant cette publication, d'augmentation du risque pour la fraction de sujets exposés à des doses inférieures à 200 millisieverts. Aujourd'hui, on sait que, même à 50 millisieverts, le risque de cancer est accru.» Organes les plus concernés: vessie, oesophage, côlon, ovaire, sein, poumon. Même si, effectivement, il y a une différence majeure entre l'irradiation unique, en un millième de seconde, des victimes japonaises et l'exposition professionnelle étalée sur des dizaines d'années, les dernières nouvelles de Hiroshima et de Nagasaki - l'effet nocif prouvé des faibles doses - devraient rapidement conduire à réviser les normes de radioprotection actuellement en vigueur.

 

 

 

Sur le même sujet, 

lire aussi :

Médecine nucléaire et irradiations médicales, l'avis du naturopathe, ici b ok mod ident 

 

 

 

 Comme toujours si vous souhaitez réagir, vous êtes les bienvenus ici


 

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9 mars 2011 3 09 /03 /mars /2011 15:46

 

 

 

 

céréales sans gluten, céréales avec gluten, cuisine des céréales, céréales alimentation, naturopathie

 

 

homenaturo, les légumes-ok

Les Céréales 


Une céréale est une plante cultivée principalement pour ses graines. Les graines seront utilisées dans l'alimentation de l'Homme et des Animaux domestiques à qui la plante sera alors distribuée entière c’est le : fourrage.

Dans l’alimentation humaine les grains seront souvent moulues sous forme de farine, mais seront aussi consommées en grains. Ainsi, par extention, le terme « céréale » désigne aussi, spécifiquement la graine de ces plantes.

En ce début de XXIe siècle, les céréales fournissent la majeure partie (45 %) des calories alimentaires de l'humanité . Les cinq céréales les plus cultivées dans le monde sont, dans l'ordre, le riz, le maïs, le blé, l'orge et le sorgho. 

Sur le plan strictement botanique, les céréales regroupent principalement des plantes de la famille des Poacées (ou Graminées).

Certaines graines d'autres familles botaniques sont parfois assimilées aux céréales on les dits alors pseudo-céréales :  le quinoa, l'amarante et le sésame entre autre.

 

Sur le Plan Nutritionnel :

Les céréales sont des amylacées ou amidon autrement dit ce sont des Glucides. Transformés en glucose par la digestion, ils sont source d’énergie. Le corps a besoin de glucose pour son bon fonctionnement. Lors d’un repas équilibré ces sucres seront absorbés lentement d’où leur appellation de : « sucres lents ». Ce glucose sera stocké dans le foie et transformé en un sucre complexe appelé : « Glycogène ». Ce glycogène sera ensuite libéré en glucose selon les besoins de l’organisme : efforts musculaires, grands froids…

Les céréales seront consommées de préférence semi-complètes ce qui les rend plus digestes que les céréales complètes, avec un apport nutritionnel proche et évidemment plus important que lorsque les céréales sont raffinées (dites aussi blanches) puisque ; après les traitements de raffinement, les céréales perdent la quasi totalité de leurs valeurs nutritives et ce même si elles sont bio.


Composition des céréales :

des glucides (sous forme d’amidon)

des protéines (mais cependant, de qualité inférieure aux protéines animales)

des vitamines (c’est le groupe le plus riche en vitamine B, par exemple)

des minéraux (particulièrement riches en phosphore & magnésium)

des fibres (nécessaires pour le transit intestinal, d’où l’importance d’utilser les céréales semi-complètes voire complètes et ce sous quelque forme que ce soit, farines ou grains)


Analyse nutritionnelle

de différentes céréales (pour 100g)

 

Mineraux

Céréale

Energie

Protéine

Lipide

Glucide

Calcium

Fer

Potassium

Magnésium

(Kj)

(g)

(g)

(g)

(mg)

(mg)

(mg)

(mg)

Avoine

1530

12,5

7,1

63,0

79,6

5,8

355

129

Blé

1343

11,5

2,0

70,0

43,7

3,3

502

173

Epeautre

1340

11,5

2,7

69,00

22

4,2

447

130

Maïs

1498

9,0

3,8

71,0

15

1,5

330

120

Millet

1510

10,5

3,9

71,0

25

9,0

215

170

Orge

1430

11,0

2,1

72,0

38

2,8

444

119

Riz

1492

7,5

2,2

75,5

23

2,6

150

157

Sarrasin

1346

9,8

1,7

71,3

90

2

-

220

Seigle

1323

8,8

1,7

69,0

64

5,1

530

140

  

 

Analyse nutritionnelle

de différentes céréales  (pour 100g)

 

Vitamines 

Céréale

B1

B2

B3

B6

E

PP

Acide

Folique

(mg)

(mg)

(mg)

(mg)

(mg)

(mg)

(mg)

  

 

 

 

 

 

 

 

  Avoine

0,52

0,17

1,8

0,75

0,84

2,4

0,033

Blé

0,48

0,14

-

0,44

1,4

5

-

Epeautre

0,40

0,15

6,9

0,27

1,6

  

0,03

Maïs

0,36

0,20

1,5

0,40

2,0

1,5

0,026

Millet

0,46

0,14

4,8

0,75

0,1

1,8

0,01

Orge

0,43

0,18

4,8

0,56

0,67

4,8

0,065

Riz

0,41

0,09

5,2

0,67

0,74

5,2

0,016

Sarrasin

0,47

0,3

-

-

-

3

-

Seigle

0,35

0,17

1,8

0,29

2,0

  

0,14

  

 

Céréales sans Gluten Céréales avec gluten

Céréales ou

pseudo-céréales - Sans Gluten

Petit Epautre Avoine Amarante
Maïs Blé Fonio
Quinoa Orge Millet
Sarrasin Seigle Riz
Teff   Sorgho
     
  k12140339
Privilégiez les Céréales Bio pour leurs bienfaits nutritionnels
 images Attention, cependant à leur conservation : les céréales bio n’ont subi aucun traitement aux pesticides ni avant, ni pendant leur culture ni après récolte, aussi conservez-les dans des bocaux hermétiques à l’abri de la lumière et mieux encore dans votre réfrigérateur. Sans ces précautions vous risquerez de retrouver vos céréales « habitées » de petites bêtes !
Lire : Les mites alimentaires, comment s'en débarrasser ?

 

Quelques céréales :

   

L’Avoine : La céréale des pays froids, très consommée dans les régions montagneuses, on la retrouve notamment dans le fameux porridge écossais. L’avoine contient de l’Avenose qui est une substance stimulante recommandée pour les sportifs et tous ceux qui fournissent d’intenses efforts. C’est donc la céréale de l’hiver qui permet de résister au froid. Elle est également recommandée aux diabétiques. On se servira de sa teinture mère pour favoriser le sommeil.

La cuisine de l’avoine : c’est la céréale la plus nourrissante, on l’utilise en flocons, dans la soupe, les gâteaux, en crème, idéale donc au petit déjeuner pour bien commencer la journée.

 

Le Blé : Le blé est la céréale la plus cultivée en Europe. Le blé est très riche en magnésium, en phosphore, fer… son germe recèle une mine de vitamines des groupes B, C, D et surtout de la vitamine E, d’oligo-éléments et de sels minéraux tous ces trésors de santé disparaissent évidemment dans les farines blanches, il est amusant de noter que nos industriels de l’agro-alimentaire ne reculant devant aucune abhération, enrichissent de vitamines de synthèse des céréales dont les traitement de raffinage ont eu pour effets de justement leur oter toutes leurs vitamines et autres élements nutritifs. Les possibilités extrèmement variées de préparer le blé sont d’une grande diversité et en font un élément de base de notre alimentation ainsi le blé est utilisé pour la fabrication du pain, du boulgour, de la pâte à pizza, du couscous, des pâtes…

La cuisine du Blé : arrêtons-nous sur les pâtes cet aliment simplissime, savoureux ou festif selon la préparaton qui les accompagnera.

Hormis le pain, qui n’est mangé aujourd’hui que comme accompagnement (sans parler ici de la restauration rapide), les pâtes sont la façon la plus utilisée de consommer le blé. Elles sont très prisées en Italie sans doute parce que Marco Polo au XVIèm siècle les a importé de leur pays d’origine, la Chine, elles ont depuis conquis le monde.

Ayant autrefois la réputation de faire grossir, les pâtes sont aujourd’hui considérées comme un élément important dans une alimentation saine. On en trouve de toutes les formes, des minuscules pâtes pour la soupe aux énormes coquilles destinées à être farcies. Les pâtes peuvent être ordinaires, aux œufs ou parfumées avec des ingrédients tels que des algues ou de l’ail par exemple. Pauvres en graisse et riches en sucre lents, elles diffusent de l’énergie de façon continue. Les pâtes sont l’un de nos aliments les plus simples mais les usages en sont pourtant multiples. Bien que les pâtes aient une faible teneur en lipides, il est important de choisir avec soin la sauce qui les accompagne car une sauce trop grasse peut rapidement les transformer en un aliment très riche. Il va sans dire que vos pâtes doivent être bio, comme toute votre alimentation, vous les choisirez semi-complètes elles seront ainsi plus digestes que les pâtes complètes tout en conservant toutes leurs qualité nutritionnelles.


L’Epeautre & le Petit Epeautre :

Pour Sainte Hildegarde, l'épeautre est la Reine des Céréales :

« L'épeautre est la meilleure des céréales. Il réchauffe et engraisse le corps, il est très riche et plus tendre que tous les autres grains. L'épeautre rend saine la chair de quiconque en consomme ... Il met la joie au coeur et donne de l'entrain. De quelque façon qu'on le mange, sous une forme ou une autre, comme pain ou tel autre mets cuits, l'épeautre est, pour tout dire, excellent et délicat » De nos jours, redécouvert pour ses précieuses propriétés diététiques

elle ne réagit pas aux engrais chimiques à base d'azote, ce qui l'a progressivement écartée de l'agriculture conventionnelle ; ces raisons en ont fait une céréale préférentiellement utilisée dans l'agriculture biologique. Sa peau, conservée dans sa transformation est très riche en silicium.

Etant donné que l’épeautre a été totalement oublié de la sélection variétale, son gluten est de bien meilleure qualité que celui des blés actuels ; cette céréale est donc généralement bien tolérée par les personnes intolérantes au gluten.

Encore plus digeste que le « grand épeautre » le « petit épeautre de Haute-Provence », parfaitement toléré par les personnes allergiques au gluten, bénéficie depuis 2009, d'une homologation européenne Indication Géographique Protégée. Il est aussi cultivé en Wallonie (Belgique). Le petit épeautre a aussi une hautre teneur en  magnésium (1 320 mg pour 100 g) ce qui en fait  un excellent aliment antistress. Comme cette céréale regorge également de calcium (l’équivalent de 2 grands verres de lait pour 100 g) et de phosphore elle est ainsi une précieuse alliée de notre squelette.

La cuisine de l’épeautre et du Petit Epeautre de Haute-Provence : ces céréales se consomment sous forme de grains, de semoules, en flocons, en farine, en crème, transformées en pâtes et même germées.

 

Le Maïs cette céréale tropicale a longtemps été l’aliment de base en Amérique Latine, c’est la céréale la plus riche en lipide. On le consommera de préférence l’été car il ralenti les échanges métaboliques en agissant sur la thyroïde.

Le maïs est aujourd’hui la céréale la plus cultivée au monde devant le riz et le blé et avec l’avènement des semences hybrides dans la première moitié du XXe siècle, puis des semences transgéniques tout récemment, le maïs est malheureusement devenu le symbole de l’agriculture intensive, c’est donc une céréale à ne consommer que BIO

La cuisine du Maïs : consommé en galettes (tortillas), en grains ou sous forme de farine comme la délicieuse Polenta en Italie. Transformé en poudre, le maïs devient la maïzéna et allégera les gâteaux.

 

Le Millet cette ravissante petite céréale, très répandue en France et en Allemagne dans l’Antiquité et jusqu’au Moyen-Age est aujourd’hui encore utilisée en Europe de l’Est mais aussi en Afrique.

En outre, c’est la céréale la plus riche en vitamine A, elle contient aussi une forte teneur en vitamine B. Le Millet est très bien pourvu en substances minérales : fer, magnésium, phosphore…Ces petites graines sont donc très indiquées pour soutenir l’effort intellectuel. En outre, le millet est très nutritif, vitalisant, reconstituant, minéralisant et bienfaiteur pour le système nerveux. Les femmes enceintes ou les personnes fatiguées, nerveuses, dépressives ou stressées consommeront avec un large bénéfice cette si riche céréale. Dénué de gluten, le Millet est ainsi très facile à digérer.

La cuisine du Millet : en grains, en sémoule à la cuisson extrèmement rapide, en flocons, en farine, en crème qui permet d’épaissir les sauces ou les soupe mais aussi de réaliser de délicieuses crèmes dessert en y ajoutant des lait végétaux. On trouvera aussi du lait de millet et l’on pourra aussi faire germer les graines. La saveur très douce du Millet nous permet toutes les associations : salées ou sucrées. Le Millet sera tout-à-fait recommandé pour le petit déjeuner des enfants sous forme de flocons ou d’une crème tiède au lait d’amande ou de noisette.

 

L’Orge : Faisons connaissance avec la céréale la plus ancienne, elle servait de base à l’alimentation des gladiateurs dans la Rome Antique, les Hébreux attribuaient à cette céréale un symbole de puissance et une valeur guerrière. On retrouve cette même connotation chez les Égyptiens, et les Vikings.Rafraîchissante elle sera consommée de préférence l’été. Elle est riche en calcium, potassium, phosphore, zinc et cuivre et est très utile pour reminéraliser l’organisme. On consommera de préférence l’orge mondé c’est-à-dire juste décortiqué de préférence à l’orge perlé qui elle est raffinée.

La cuisine de l’orge : en grains ou en flocons, cette céréale a acquis sa réputation dans les soupes dont la traditionnelle soupe au boeuf et à l'orge. Froide elle peut être servie dans une multitude de salades acompagné de légumes crus et cuits. Mais on peut également  cuisiner l’orge en desserts.De nombreux plats traditionnels peuvent être également être cuisinés avec l’orge comme la « frittatta » italienne, le ragoût à la hongroise ou en  pudding comme en Mongolie, le pudding turque ou pudding de Noé …

 

Le Riz voilà la troisième céréale la plus consommée dans le monde avec le maïs et le blé. C’est la base de l’alimentation en Extrème-Orient. L'article complet sur le riz est ici f rond dro

Le riz , à condition de le consommer complet ou semi-complet comme d’ailleurs toutes les autres céréales, contient de la vitamine B1, B3. En outre, le riz brun est une bonne source de magnésium et de fibres alimentaires et offre un excellent apport de sélénium et de manganèse. Energétique, très digeste, on utilise le riz dans les cures de monodiètes pour désintoxiquer l’organisme. Le riz ne contient pas de gluten et est considéré comme étant sécuritaire pour les personnes atteintes.

La cuisine du Riz : on peut pour évoquer le riz parler de terroirs au même titre que pour les vins on évoquera les cepages. Qu’il soit de Camargue, sauvage, Taï, Basmati, rouge, jaune ou violet, gluant ou arborio, le riz ou plutôt les riz ont chacun des parfums et des textures différentes. Les façons de  consommer le riz sont aussi variées que ses modes de cuisson : pilaf, à l’étuvé, créole, en bouillie, grillé il  est cuisiné en grains et devient des curry, des risottos ou même des gâteaux et comme il sera aussi  transformé en farines, en galettes, en nouilles ou en lait, le riz se prêtera facilement à votre imagination. Cuisinez vos restes de riz, lisez l'article ici f rond dro

 

Le Sarrasin riche en calcium, en fibres, en antioxydants il contient aussi un important taux de minéraux tels que le cuivre, magnésium, manganèse… Le sarrasin est consommé en farine sous forme de galettes comme en Bretagne, par exemple. Très apprécié au Japon, transformé en pâtes, mais aussi en Russie et en Europe de l’Est,  le sarrasin est une céréale de cuisson rapide et très goûteuse, elle devrait donc être plus souvent présente à notre table car bien utile lorsque nous sommes préssés. Légèrement échauffant on le consommera de préférence en hiver. Il est à noter que cette très ancienne céréale n’a pas fait l’objet de modifications génétiques, comme le blé, et à ce titre il ne contient pas de gluten.

La cuisine du Sarrasin, son utilisation la plus courante est en farine : les fameuses galettes dites de blé noir de Bretagne sont en fait confectionnées au sarrasin mais on peut aussi facilement cuisiner les grains du sarrasin et le présenter en accompagnement de plat, où son goût de noisette sera très agréable, on peut également le servir en salade avec des haricots verts, de l’oignon émincé, du persil haché et des graines de tournesol et de courge grillées.

 

Le seigle  Riche en manganèse, le seigle est excellent pour la circulation sanguine dont il favorise la fluidification à ce titre il aura un rôle interressant dans les problèmes cardio-vasculaires. D’autres minéraux sont aussi présents dans le seigle : le cuivre, le fer, le sélénium, phosphore…on trouvera aussi dans cette céréale de nombreuses vitamines.

La cuisine du Seigle Cette céréale est principalement consommée sous forme de pain, on pourra aussi le consommer en flocons. Cuisiné en bouillies, le seigle y apportera son goût bien prononcé, pour la même raison il sera aussi un excellent accompagnement cuisiné en grains et cuit comme le riz.


Quelques " pseudo-céréales " :

Elles ressemble aux céréales, elles ont la couleur des céréales, on les consomme comme des céréales mais…ce ne sont pas des céréales.


L’Amarante, Trésor aztèque…des Aztèques aux astronautes : Quand on compare cette minuscule petite graine avec d’autres céréales, sa richesse nutritionnelle la place loin devant, tant quantitativement que qualitativement. En effet, l’amarante contient plus de protéines que la plupart des céréales – notamment la lysine, la méthionine et le tryptophane – et celles-ci sont de meilleure qualité car ses acides aminés sont plus équilibrés. L’amarante est une excellente source de magnésium, de fer, de phosphore, de cuivre et de zinc ; elle est une bonne source de potassium et d’acide folique, et elle contient de l’acide pantothénique, du calcium, de la riboflavine, de la vitamine B6, de la vitamine C. Elle contient deux fois plus de fer et quatre fois plus de calcium que le blé dur. Ce sont tous ces bienfaits qui ont décidé les responsables de la NASA à inclure l’amarante comme unique céréale aux astronautes lors de leurs voyages orbitaux.

Elle est, en outre, totalement exempte de gluten !

Sa haute teneur en lysine lui confère en outre des vertus médicinales vérifiées dans le cadre d’un traitement HIV/Sida et autres maladies débilitantes, en permettant aux patients de récupérer leur énergie.

La cuisine de l’Amarante : Pour une cuisson "al dente", de cette minuscule graine, il suffit de verser un volume d’amarante dans deux volumes d’eau, sans saler, et de la cuire de la même manière que le riz. En refroidissant, les petits grains se lient tout en étant légèrement croquants. Cette texture particulière la rend très intéressante à utiliser pour des préparations où l’on a besoin d’amalgamer [galettes végétales ou bouchées sucrées par ex].
Signalons encore que les grains d’amarante ne collent ni n’éclatent à la cuisson, et que leur saveur est légèrement épicée. On peut aussi les souffler, les faire germer ou les moudre en farine. Les feuilles d’amarante sont, elles aussi, excellentes pour la santé. Riches en nitrates de potassium, elles sont diététiques, rafraîchissantes, galactogènes [augmentant la sécrétion lactée], et légèrement astringentes. Utilisées en décoction, elles sont extrêmement efficaces. Les feuilles sont utilisées comme l’épinard, qu’elles remplacent d’ailleurs agréablement. Mais elles sont bien plus difficiles à trouver dans le commerce !

L’avenir du Tiers Monde : Considérée pendant longtemps comme le légume du pauvre, l’amarante est digne de cette appellation qui pourrait bien la servir aujourd’hui dans le tiers monde...Linus Ndonga de la SPAS [Kenya], affirme en effet que l’amarante est une vrai bombe nutritionnelle. Il est convaincu que l’amarante pourrait améliorer efficacement la nutrition dans les zones sèches et ce, de manière durable, et elle pourrait nourrir deux fois plus de personnes par unité de surface qu’une céréale traditionnelle. Selon lui, cette plante constitue une percée dans la lutte contre l’insécurité alimentaire du tiers monde. Jugez plutôt : l’amarante génère des rendements plus importants que d’autres plantes à graines. Elle pousse sur le sol le plus pauvre et résiste à la sécheresse, aux parasites et aux maladies. Sa culture exige donc moins de temps et d’argent, et s’avère plus écologique que celle des plantes nécessitant des pesticides. D’autre part, sa période de maturation n’est que de 45 à 75 jours, et elle ne nécessite qu’un tiers de l’eau utilisée pour d’autres plantes à graines dans des conditions de culture similaires...Qu’attend donc l’OMS pour en encourager la culture ?

Sources : Agenda plus n°198 Juin 2008 - Article de Ioanna Del Sol

L’Amarante de plus en plus sympatique… : Que se passe-t-il donc ? Cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont été abandonnés par les agriculteurs en Géorgie (USA), et 50.000 autres sont gravement menacés par une « mauvaise herbe » impossible à éliminer, tandis que le phénomène s’étend à d’autres états. En cause : l’amarante, une plante à la fois indésirable, dans les cultures intensives et envahissante…, mais qui a tant d’autres vertus !, dont celle en plus d’être résistante au Roundup ! En 2004, un agriculteur du centre de la Géorgie (à l’est des Etats-Unis), applique à ses cultures de soja un traitement herbicide au Roundup, comme il en a l’habitude. Curieusement, il remarque que certaines pousses d’amarantes (amarante réfléchie, ou Amarantus retroflexus L.), une plante parasite, n’en semblent pas incommodées… Pourtant, ce produit est élaboré à partir de glyphosphate, qui est à la fois l’herbicide le plus puissant et le plus utilisé aux Etats-Unis.

Depuis, la situation a empiré.

Actuellement, et rien qu’en Géorgie, 50.000 hectares sont atteints et nombre d’agriculteurs ont été contraints d’arracher leurs mauvaises herbes à la main… quand c’est possible, considérant l’étendue des cultures. A l’épicentre du phénomène, 5.000 hectares ont été tout simplement abandonnés….

Une petite graine se bat contre le géant Monsanto…Merci l’Amarante !


Le quinoa est très digeste, sans gluten, pauvre en lipides, mais riche en fer, manganèse, cuivre et en protéines. En moyenne, le quinoa contient 16 à 18 % de protéines. Le quinoa est excellent dans la prévention de l’ostéoporose. Il a une texture de caviar et un goût léger de noisette. À noter : à cause de la saponine, le quinoa est déconseillé aux enfants de moins de deux ans. En revanche il est conseillé aux intolérants au gluten puisqu’il n’en contient pas.

La cuisine du Quinoa, pour le consommer, il faut le rincer dans l'eau pour éliminer son goût amer. On le fait de préférence cuire dans deux fois son volume d'eau bouillante. On laisse mijoter à feu doux jusqu'à l'apparition du germe (environ 10 minutes). Ensuite, on couvre pendant quelques minutes et on laisse le quinoa absorber l'eau restante. La farine de quinoa permet de faire de nombreuses préparations habituellement réalisées avec du blé, comme les crêpes, fars, galettes... à condition d'en réduire la quantité de moitié, car cette farine a un pouvoir d'absorption plus important. Il peut être utilisé dans les préparation salées ou sucrées, il existe, dans les magasins Bio, des préparation à base de crème de quinoa absolument délicieuses.


Récapitulatif des céréales et pseudo-céréales sans Gluten

S-G= Sans Gluten
Amarante                   
S-G                                                   
Fonio
S-G
Quinoa S-G
Maïs S-G
Millet S-G
Riz S-G
Sarrasin ou kasha S-G
Sorgho S-G
Teff
S-G


 

Retrouver l'article sur : " L'Alimentation, l'avis du Naturopathe " ici

 

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 17:47

 

 

CHLOROPHYLLE-2.jpgLa chlorophylle
ou le sang des plantes

Pour faire simple, la chlorophylle est constituée d’une chromoprotéine, cette protéine est associée d’un atome de magnésium au centre ce qui lui confère une struture quasi identique au sang : l’Hémoglobine dont le centre de la molécule, elle, est le fer.

Ainsi, le rouge du sang et le vert des plantes sont issus de molécules pratiquement semblables : l'hémoglobine pour le premier et la chlorophylle pour le second. Tout le reste est identique dans ces deux molécules.

 Et, aujourd’hui les scientifiques observent que l'organisme animal est capable de convertir la chlorophylle en hémoglobine. Selon des recherches menées par les scientifiques J.H.Hughs et A.L. Latner de l'Université de Liverpool sur des animaux anémiques qui ont reçus ou pas de la chlorophylle dans leur alimentation, la nette amélioration chez ceux qui en ont reçu démontre que selon les chercheurs :

- " Il semble que le corps de ces animaux est capable de convertir la chlorophylle en Hémoglobine ".

Outre cette similitude de structure, l’hémoglobine et la chlorophylle ont des rôles très semblables : la photosynthése pour la chlorophylle utilise l’énergie lumineuse pour réduire le carbone et le libérer sous forme d’oxygène et l’hémoglobine, quant à elle, ce pigment de coloration rouge (ou chromoprotéine) contenu par les globules rouges (hématies), permet le transport de l'oxygène des poumons vers les tissus. Et donc la circulation de l’oxygène dans le sang.

 

CHLOROPHYLLE-GYNCO.jpgLa chlorophylle
et la sante
La chlorophylle, nous venons de le voir, permet d'oxygéner l'organisme mais aussi de le désintoxiquer et surtout de maintenir l'équilibre acido-basique.
L'alimentation moderne, qui est axée sur une consommation exagérée d'aliments riches en protéines et industrialisés, favorise une trop forte acidification de l'organisme. Pour maintenir l'équilibre acido-basique, celui-ci doit puiser dans ses bases, c'est-à-dire principalement ses réserves de minéraux tels que le calcium et le magnésium. La conséquence est une déminéralisation, porte ouverte aux problèmes nerveux et à l'ostéoporose.
L’ap port de chlorophylle joue aussi un rôle important pour traiter les problèmes intestinaux résultant de la fermentation. En renforçant l’immunité intestinale la chlorophylle va réduire l’émission des gaz et des toxines dues à une mauvaise digestion. Elle est utile pour réguler la tension et a une action positive dans les problèmes cardiaux-vasculaires.
c’est sous sa forme pure (en compléments de qualité) que la chlorophylle sera pleinement active et va agir en régénérant le sang (nota en agissant sur la formation de l’hémoglobine) c’est alors une véritable transfusion végétale qui revitalise tout l’organisme. 

CHLOROPHYLLE-3Les apports de la chlorophylle

 

dans l’alimentation

 

Au sujet de la santé lire aussi 

Médicaments et effets secondaires l'avis du Naturopathe

Effets secondaires des médicaments : témoignages

Conférence Nationale de la Santé, Bernard Kouchner 

Les maladies dégénératives en augmentation  

Malade ? Et si c'était le médicament ?

Le Dr Alain Braillon, le médecin qui dérange...

Le club des parlementaires au service de la santé...

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Vers des expérimentations médicales humaines sans consentement !

En Inde, des tests médicaux sont pratiqués en secret...

Le médicament, les laboratoires pharmaceutiques et nous...

De la bonne santé des laboratoires pharmaceutiques

Les parabènes interdits et les médicaments

Grippe A/H1N1, les Naturopathes avaient raison !

La fièvre ou l'hyperthermie en Naturopathie


Diagnostiques et médecine nucléaire

médecine nucléaire et irradiations médicales l'avis du Naturopathie

Cancer du sein les risques du surdiagnostic

Les dangers de l'imagerie médicale

Le soleil et la vitamine D


Revue de Presse

Dans la presse : Les Français et les médicaments

Dans la presse : on parle encore du médiator

Ce cher...Médiator : une petite boîte d'un coût exhorbitant !

Dans la presse : Distilbène, Requip : effets secondaires

Dans la presse : témoignage d'une malade du médiator

La ronde des médicaments...

 

et d'autres....

 

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 17:39
CHLOROPHYLLE-2Les apports
de la chlorophylle


dans l’alimentation

 

On retrouve la chlorophylle dans les légumes verts mais aussi dans les herbes aromatiques, c’est elle qui leur donne leur couleur.  


Avant tout anti-anémique et antiseptique, la chlorophylle tonifie également le cœur, stimule les muscles et les nerfs, diminue le taux de cholestérol favorise la diurèse et est un régulateur intestinal...


Enfin, sachez que si vous consommez de la chlorophylle dans votre alimentation et à condition, toutefois, de la consommer à l’état cru, puisque la chaleur, et a fortiori la cuisson, la déstructurent complètement vous ne bénéficirez que d’un minimum de ses apports et enfin ses vertues thérapeutiques seront bien moins assimilables et puissantes que si vous utilisez sous sa forme pure dans des compléments alimentaires.


CHLOROPHYLLE-3.jpgVoici pourtant une petite liste des aliments contenant le plus de chlorophylle qui, de toutes façons, seront toujours bienfaisants pour l’organisme.


Le basilic

Evitons aussi de faire cuire le basilic ! D’autant plus qu’il développe beaucoup plus son arôme incomparable à l’état cru qu’à l’état cuit.

Cette plante aromatique facilitant la digestion, originaire d’Asie et qui ne compte pas moins de 150 variétés, devrait en effet ne condimenter que les salades et les crudités, ainsi que les potages et les céréales après cuisson. La fameuse soupe au pistou n’incorpore le basilic qu’au moment de servi et ce n’est qu’en versant la soupe dans la soupière que l’on y ajoute le basilic, préalablement écrasé au mortier avec de l’ail et de l’huile d’olive.

Le basilic est un tonique nerveux et surrénalien, un antispasmodique, un stomachique, un antiseptique intestinal, et un hemménagogue. On l’indique en cas d’asthénie nerveuse, de surmenage intellectuel, d’insomnie, de spasmes gastriques, de migraines, de goutte, de règles peu abondantes, d’infections intestinales et de vertiges...

Le chou

Plante chlorophyllienne par excellence, le chou vert est un reconstituant cellulaire et sanguin de tout premier ordre.

Dans la mesure du possible, on évitera de faire cuire le chou, et on le consommera soit en salade, découpé en très fines lamelles, soit en jus frais. Sous ces formes, il constituera un merveilleux rénovateur de tout le système digestif, un dépuratif de l’organisme, un antibiotique, et il luttera efficacement contre l’anémie et la fatigue.

Pour se reminéraliser, on mélangera le jus de chou aux jus de carotte et de navet.

Les différents nutriments, dont il est particulièrement riche, calcium, soufre, iode, magnésium, potassium, vitamines A, B et C, l’indiquent dans de très nombreuses affections.

L’épinard

Encore trop souvent consommé cuit, l’épinard - qui ne contient pas tant de fer que Popeye nous l’a fait croire - constitue une salade verte des plus riches en minéraux (sodium, potassium, calcium, phosphore, magnésium, soufre, manganèse, zinc et cuivre en abondance).

La salade d’épinard peut, bien sûr, être consommée seule ou en mélange avec d’autres salades ou crudités.

A noter que le Dr Valnet conseille également de prendre 1/5 de jus d’épinard dans 4/5 de vin de Bordeaux en cas de sénescence ou de convalescence.

L’épinard est avant tout un reminéralisant, mais aussi un stimulant pancréatique, un tonicardiaque, et un anti-anémique.

On l’indique évidemment surtout en cas de rachitisme et de problèmes de croissance, dans les convalescences et dans l’anémie.

La menthe

La menthe est un tonique et un antiseptique général, un stimulant du système nerveux et de l’estomac, un antispasmodique et un carminatif des plus efficaces.

On peut avantageusement prendre l’habitude d’ajouter systématiquement quelques feuilles de menthe à nos crudités ou sur une poëlée de légumes qu’elle réveillera d’une note poivrée et pourquoi ne pas mâcher quelques feuilles de menthe, tous les matins.

Toutefois, attention : prise en grande quantité dans la soirée, la menthe peut provoquer de l’insomnie.

Elle est aussi déconseillée aux mères qui allaitent.

On l’indique surtout en cas d’atonie digestive ou d’indigestion, d’aérophagie, de flatulences, de palpitations ou de vertiges... mais elle est également excellente pour traiter la fatigue, les parasites intestinaux, certaines migraines, les règles douloureuses ou les spasmes gastriques...

L’ortie

Bien sûr l’ortie, apprenez à connaître et à consommer cette plante quasi miraculeuse et si riche en minéraux. Si vous avez un jardin laissez donc une touffe d’ortie pousser librement et cuillez-en à volonté.

On peut tout à fait consommer la feuille d’ortie crue, en salade, de préférence hachée en mélange avec d’autres crudités et notamment du blé germé. Cette recette, particulièrement revitalisante, impose toutefois de n’utiliser que la pointe des jeunes feuilles bien lavées et très finement hachées.

Par contre, pour faire du jus d’ortie, rien n’empêche de centrifuger la feuille entière, et même quelques tiges. Une petite tasse quotidienne d’un tel jus, que l’on peut, bien évidemment, mélanger à d’autres, a un effet hémostatique et vasoconstricteur.

Enfin, si l’on veut préparer une bonne soupe aux orties, plutôt que de faire cuire toutes les feuilles, pourquoi ne pas en mixer une grosse poignée crue pour l’ajouter une fois que les autres ingrédients auront été cuits ?

L’ortie est essentiellement tonique, astringente, hémostatique, dépurative, galactogène et diurétique ; on l’indiquera surtout dans les cas de : dermatoses, ulcères gastriques et intestinaux, hémorragies, hémophilie, rhumatismes ou anémie.

homenaturo le coin cuisine 1ère de Couv Lire deux recettes avec de l'ortie :

Suprême de volaille farcie à l'ortie ici et

Feuilleté à l'ortie ici

Le persil

Merveilleux persil…D’usage, fort heureusement, très répandu. Exceptionnellement riche en vitamine C, le persil contient également de grandes quantités de fer, de manganèse et de provitamine A...

Le persil est considéré par de nombreux professionnels de la santé comme un des principaux aliments-médicaments... à tel point que beaucoup estiment qu’on devrait pratiquement en saupoudrer tous les plats.

A noter qu’en mélange avec l’ail, il en atténue grandement les effets odoriférants.

C’est un stimulant général, musculaire et nerveux, un dépuratif, un diurétique, un vermifuge, un anti-anémique, un vasodilatateur et un stomachique.

On l’indique en cas d’anémie, d’asthénie, de rhumatismes, de manque d’appétit, d’infections, d’hépatisme, de nervosisme et de parasites intestinaux.

Le pissenlit

La cure de salade de pissenlit devrait être reconduite chaque année, durant la saison, en récoltant les jeunes feuilles et les boutons dans les prés non pollués.

Hors saison, on peut encore utiliser les feuilles et les racines, en les centrifugeant avec d’autres légumes comme la carotte, le navet, le radis noir ou l’artichaut.

Le pissenlit, qui est particulièrement souverain dans les affections du foie, c’ est un tonique amer, un apéritif, un dépuratif sanguin, un diurétique, un draineur hépato-biliaire et un stimulant de la circulation...

On l’indique dans l’insuffisance hépatique, les lithiases biliaires et rénales, l’hypercholestérolémie, certaines dermatoses, les hémorroïdes, les rhumatismes, la constipation, les troubles circulatoires, l’obésité et la cellulite...

Les graines germées

Ou à faire germer soi-même, elles sont une mine de chlorophylle, de minéraux, d'oligo-éléments et de vitamines. Usez et abusez des graines germées, surtout en hiver, vous aurez le plaisir de voir pousser ces graines, de les récolter et de les manger toutes crues, toutes fraîches : un vrai bonheur !

 

Suivez ce lien pour retrouver l'article " la chlorophylle et la santé "


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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 13:30

Pesticides, ministère de l'écologie, jardinage en France, pesticides danger pour la santé, environnement risques,

 

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOUne heureuse initiative

 

du Ministère de l'Ecologie

 


Allez, tous à nos purins d'ortie, coquilles d'oeuf, marc de café et argile :

parce que jardiner sans polluer c'est aussi  faire des économies et nos jardins seront tout aussi beaux, quand on pense qu'ils ont essayé d'interdire le purin d'ortie...


 

Les chiffres :

 

78.000 tonnes de pesticides utilisés en France dont

5.000 tonnes de pesticides dans les jardins

32% des Jardiniers Français ne pensent pas leurs pesticides dangereux

20 % croient même qu’ils sont sans aucun danger. 

 

 

Le-printemps-est-la--.jpgLes ministères de l’Écologie

 

et de l’Agriculture

 

relancent, pour la deuxième année, l’opération

 

 " Les pesticides,

 

apprenons à nous en passer ! ". 

document en PdF du Ministère ici

 

avec le concours de seize partenaires*, la campagne vise à sensibiliser les jardiniers amateurs sur les dangers de l’utilisation des produits phytosanitaires.

 

Après avoir constaté que : « chaque année,en France,  un peu moins de 5.000 tonnes de pesticides sont répandus par les jardiniers amateurs dans leur jardin ou leur potager ».

 

 Dans le cadre du Grenelle Environnement, le plan Ecophyto 2018 vise à réduire progressivement l’usage des pesticides de 50% d’ici 2018 si possible.

 

Avec 78 000 tonnes de pesticides  utilisés en 2008, la France est le premier consommateur européen de pesticides et le quatrième au niveau mondial .

 

Parmi les 17 millions de Français qui jardinent,

32% seulement associent le qualificatif dangereux aux pesticides et

20% considèrent même que ces produits ne présentent aucun danger

 

 

Parce que les jardiniers amateurs sont aussi concernés par les risques liés à l’usage de pesticides sur la santé et l’environnement, le ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement relance à l’occasion du Salon de l’agriculture pour la deuxième année, avec le concours du ministère chargé de l’Agriculture et de 16 partenaires , la campagne  

 " Les pesticides,

apprenons à nous en passer ! ".

Chaque année, un peu moins de 5 000 tonnes de pesticides sont en effet répandus par les jardiniers amateurs dans leur jardin ou leur potager.

 

 


     * Les six Agences de l’eau, Conseil National des Jardins Collectifs et Familiaux, Fédération des entreprises du Commerce et de la Distribution, Fédération des Magasins de Bricolage, Fédération Nationale des Jardins Familiaux et Collectifs, Jardiniers de France, Jardinot, Horticulteurs et Pépiniéristes de France, Noé Conservation, Société Nationale d’Horticulture de France, Union des Entreprises pour la Protection des Jardins et des Espaces Verts.

 

Quels sont les risques liés aux

pesticides concernant

l’environnement et

la santé humaine ?

Dossier du Ministere de l’Ecologie (le portail du Minitère est ici)

 

Les pesticides peuvent contenir des substances dangereuses telles que celles concernées par la redevance pour pollutions diffuses (loi sur l’eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006) : substances classées toxiques, très toxiques, cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques et dangereuses pour l’environnement. En raison de leur capacité à agir sur les organismes vivants, leur utilisation peut présenter des risques pour l’homme et les écosystèmes.

 

1 - Dispersion dans l’environnement [1] : lorsqu’une culture est traitée, une partie des produits n’atteint pas sa cible, elle est dispersée dans l’environnement.

-          Pollution de l’air (extérieur et intérieur) : quand on pulvérise un produit sur un feuillage, 30 à 50% du produit n’atteint pas sa cible, et est diffusé dans l’atmosphère[2]. Des traces de plus de 80 pesticides sont notamment présentes dans l’air parisien[3].

-          Pollution des sols : quand on pulvérise un produit sur un feuillage, les pertes vers le sol peuvent atteindre 10 à 70%. Les effets d’une pollution du sol par les pesticides peuvent se faire sentir à très long terme[4] : ainsi le chlordécone, utilisé dans les bananeraies aux Antilles jusqu’à son interdiction au début des années 1990, contamine aujourd’hui fortement les sols, ce qui les rend impropres à la culture de certains légumes. 

-          Pollution de l’eau[5] : les pollutions de l’air et du sol contribuent à la pollution de l’eau. La présence de pesticides est généralisée dans les eaux superficielles et souterraines sur l’ensemble du territoire : elle est mise en évidence pour 90 % des points de mesure[6] des cours d’eau et pour 53 % des points de mesure des eaux souterraines. 

  

2 - Risques pour la santé humaine 

Les pesticides sont suspectés d’entraîner de graves problèmes de santé de type anomalies congénitales, déficits immunitaires, problèmes de reproduction, développement de certains cancers et problèmes neurologiques, cognitifs et comportementaux. 

 

Les plus exposés aux pesticides sont les agriculteurs, principaux utilisateurs de ces produits.

Un agriculteur sur 6souffrirait d’effets indésirables liés à l’utilisation de substances chimiques[7]. Une apparition plus fréquente de certains cancers a notamment été constatée, et les malformations à la naissance (« congénitales ») sont 4 à 5 fois plus nombreuses chez les enfants d’agriculteurs que dans le reste de la population.

 

La population en général est également concernée, du fait de son exposition aux résidus présents dans l’atmosphère, dans les produits alimentaires et l’eau de boisson (La réglementation fixe des limites de résidus de pesticides dans l’eau et les produits alimentaires, afin de limiter cette exposition), mais aussi du fait de pratiques de jardinage. Le ministère et l’office national de l’eau et des milieux aquatiques ont lancé une campagne de communication pour justement sensibiliser la population aux risques inhérents à l’usage des pesticides et à la pratique de solutions alternatives suivez ce lien pour être informé   

 


[1] Le site internet de l’observatoire des résidus de pesticides rassemble l’ensemble des informations sur ce sujet.

[2] Expertise collective INRA-CEMAGREF, 2005, téléchargeable sur http://www.inra.fr/l_institut/expertise/expertises_realisees/pesticides_agriculture_et_environnement

[3] Résultats d’une étude menée par Airparif en 2007.

[4] Dans un premier temps, les pesticides sont retenus dans le sol, ce qui limite la contamination des eaux. Progressivement, les substances contenues dans ces produits vont se dégrader dans le sol. Cependant la rétention va évoluer dans le temps et peut créer des résidus liés, dont on ne connaît ni la nature chimique exacte, ni la capacité de libération ultérieure

[5] Cf. Le rapport 2009 « les pesticides dans les eaux » du service de l’observation et des statistiques de l’environnement analysant les résultats de mesures réalisées en 2006  Accessible avec le lien suivant : http://www.ifen.fr/donnees-essentielles/eau/les-pesticides-dans-les-eaux.html?print=

[6] Cartographie sur le site IFEN cf note 17

[7] Source : étude de la MSA (Mutuelle Sociale Agricole) de 2005

 

 

Si vous souhaitez réagir suivez ce lien ici !

 

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 15:10

 

luzerne, pétition, environnement, écologie

 

 

A.HomeNaturoSoyons clair : les surfaces de luzerne ne cessent de diminuer en France, -70% en 30 ans.
Pire les surfaces de luzerne en Champagne Ardenne ont baissé de plus de 30% depuis 2005.
Ce dernier point est catastrophique car la luzerne était l'une des seules pauses environnementales dans une succession de cultures intensives…Et ce n'est pas fini, car la modification des soutiens européeens risque de faire disparaitre totalement dès 2012, cette luzerne quand elle est transformée, déshydratée notamment.

Cette culture est tellement bonne pour l'environnement, que la nouvelle réforme de la PAC qui sera mise en œuvre pour la récolte de 2014, lui accordera très probablement les soutiens dont elle a besoin pour lutter contre la concurrence des tourteaux de soja américains.

Résultat plus de luzerne, ni maintenant, ni plus tard.

L'objet de cette campagne « sauvons la luzerne » est de mettre de la cohérence dans les positions des décideurs publics européens et proroger le mécanisme de soutien pour sauver la luzerne transformée... D'autres actions suivront... Nous avons besoin de ce type de culture.
La luzerne, reine de la biodiversité
et grande amie des abeilles...

Culture permanente pour 4 à 5 ans, la luzerne héberge des micro-organismes, une microfaune et macrofaune en abondance, jusqu'à 100 fois plus élevée que dans une culture de blé.

La luzerne est une plante mellifère majeure pour l'apiculture au point que la disparition de la luzerne dans certaines régions entraînerait inéluctablement l'arrêt de la production de miel. Dans les régions de grandes cultures en effet, la concentration de plantes cultivées non mellifères, l'arrachage des haies et l'abandon progressif des jachères réduisent les surfaces de plantes mellifères. Comme la luzerne est une des rares plantes qui fleurit aussi l'été elle permet ainsi de prolonger la période de butinage des abeilles et donc de production de miel… et finalement permet la survie des abeilles en assurant leur alimentation toute l'année !
La pétition telle que vous pouvez la lire sur le site dont le lien se trouve en bas de page.

Auteur :
J.P Verzeau
Description :
Il faut sauver la Luzerne

A l'attention de Monsieur Dacian Ciolos, commissaire Européen à l’Agriculture

Monsieur le Commissaire,

Comme vous le savez et l’avez vous même affirmé l’agriculture joue un rôle clef dans la production de biens publics tels que les paysages, la biodiversité, la qualité des sols. Dans le cas spécifique des grandes cultures qui occupent une grande partie du territoire agricole en Europe, la protection de l’environnement passe notamment par un allongement des rotations.

La luzerne est une de ces cultures qui s’intercale à merveille entre deux céréales. Captant naturellement l’azote de l’air, absorbant les nitrates en excès dans le sol, très sobre en pesticide et couvrant le sol toute l’année la luzerne constitue une véritable pause écologique. la luzerne fournit aussi aux élevages européens des protéines cultivées prés de chez eux et de grande qualité. Si la luzerne disparaissait de nos territoires il en résulterait une dégradation de la qualité des eaux, une plus grande exposition des sols à l’érosion, un appauvrissement de la biodiversité, une augmentation de la consommation d’engrais et de pesticides. Notre déficit en protéines de 75 % déjà aujourd’hui s’en trouverait aggravé.

Aussi, nous vous demandons Monsieur le Commissaire de proposer au Conseil européen des mesures durables et efficaces permettant de sauver la luzerne dès la récolte 2012 :

le report de l’OCM fourrages séchés jusqu’au 31 mars 2014

. une rémunération des services environnementaux remarquables qu’elle rend: qualité de l’eau potable, préservation de la biodiversité, maintien des paysages, protection des sols.

. un engagement sur le long terme car la luzerne est une culture pluriannuelle

. un niveau de compensation préservant l’attractivité économique de la luzerne par rapport aux autres grandes cultures

Monsieur le Commissaire, vous êtes en charge de la réforme de la politique agricole commune. A ce titre nous vous demandons de prendre en compte notre demande et de tout mettre en œuvre pour que la culture de la luzerne soit durablement encouragée dans la future Politique Agricole Commune.

Veuillez agréer, Monsieur le Commissaire, l’expression de nos sentiments les plus respectueux.


J.P Verzeau,
animateur du collectif “sauvons la luzerne”

Signer la pétition en ligne  picto petition

 

ou si ce lien ne fonctionne pas cliquez ici

 

Suivez l'actualité des pétition diffusées par HomeNaturo en cliquant sur l'image : picto petition

 

 

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 11:42

 

30 millions d'amis, pétition, animaux, droit des animaux, homenaturo

 

logo2

 

 

 

 

La Fondation

 

30 MILLIONS D'AMIS

 

lance une pétition pour inclure

 

les animaux à la législation Française

 

et leur donner ainsi des droits.

 


 

HomeNaturo s'associe à cette action et diffuse ici

 

cette pétition

 

signer en cliquant sur l'image : picto petition  

 

 

sur le site de 30 millions d'amis  


 

Voici le texte de la pétition tel que vous pourrez le lire sur le site de 30 millions d'amis.


A l'attention du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice


Les résultats convergents des enquêtes d'opinion, européennes et nationales, montrent que nos concitoyens sont parmi les plus favorables au respect du bien-être animal.

Pour 90% d’entre eux, il fait même partie HomeNaturo l'heure de la sieste intégrante de la famille (Ipsos, 2004).(1)

 

Plus de 200 ans après sa rédaction en 1804, notre Code civil n'a toujours pas évolué et considère encore les animaux comme des "biens meubles", au même titre qu'une armoire ou une chaise (art. 528).

Il accuse donc un décalage certain avec la mentalité contemporaine; décalage qu'il est grand temps de combler.

 

Aujourd’hui, l'animal est devenu une préoccupation sociale suffisamment forte pour que le législateur s'interroge sur une nouvelle définition de son régime juridique, comme l'a déjà fait la plupart de nos voisins européens.

 

Je m'associe donc à la demande de la Fondation 30 Millions d'Amis de faire évoluer le régime juridique des animaux pour qu'ils soient enfin considérés comme des êtres vivants et sensibles.

 

Sur le plan juridique, la réforme la plus logique consisterait à sortir l'animal de la catégorie des biens en créant, à côté des "personnes" et des "biens", une catégorie à part pour les "animaux".

 

antidote-europe-logo-BLEU-200Antidote Europe, un collectif de scientifiques du CNRS qui dénonce les tests pratiqués sur les animaux par les laboratoires pharmaceutiques et de cosmétiques. Pour ce collectif, outre que les tests sur animaux soient indéfendables moralement, ceux-ci s'avèrent dangereux pour la santé humaine lorsqu'il s'agit de valider des médicaments testés sur les animaux. Leurs propos sont argumentés et, au final, évidents !

Cliquez sur leur logo pour découvrir Antidote Europe et faites-les connaître autour de vous.

 

 

 

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Les autres pétitions diffusées chez HomeNaturo

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(1) Figaro et son oreiller préféré : Darius au moment de la sieste

 

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 19:19

médicaments, iatrogenie medicamenteuse, effets indesirables medicaments, effets secondaires, sur le blog de Naturopathie HomeNaturo, naturopathe à domicile ou par téléphone 

 

b12817.jpgLes Français  malades

 

de leurs medicaments


 

3 994 personnes ont trouvé la mort sur les routes de France selon les chiffres 2010 de la sécurité routière.


140 000 hospitalisations provoquées par un effet iatrogène


18 000  décès avérés par iatrogénisme (certaines sources comptabilisent 32 000)


20 000 à 30 000 décès annuels survenus à la suite d’événénements iatrogènes et infections nosocomiales confondus.

 

Peut-on diffuser de telles campagnes médiatiques pour 4.000 décès et, dans le même temps, passer sous silence 20.000 à 30.000 morts, serions-nous devant une telle épidémie que nos pouvoirs publics -par crainte de la panique -auraient décidé de taire ?

 

De quoi parlons-nous ?

Les accidents de la route, tout le monde connaît et chacun d’entre nous craint d’y être confronté un jour dans sa vie.

Mais le iatrogénisme qui en parle ?

A quoi sont donc du ces 18 000 voire 32 000 décès annuels en France et dont personne ne semble vraiment se soucier ?

 

Quel est donc ce nouveau fléau ?

 

iatrogène

(adjectif).

Maladie provoquée par le médecin, le traitement ou les médicaments - Définition du Dictionnaire médical -

 

Se dit d'un trouble, d'une maladie provoqués par un acte médical ou par les médicaments, même en l'absence d'erreur du médecin. - Définition Larousse -

 

 

Si l’adjectif «  iatrogène » évoque aussi les maladies provoquées par le médecin et les erreurs médicales, notre propos n’est pas ici de parler des médecins.

 

Les médecins Français, on le sait  sont surchargés de travail. Au-delà de ça ils sont aussi confrontés à une multitude de médicaments, présentés dans leurs cabinets par de talentueux visiteurs médicaux tout dévolu à la cause de leur laboratoire. Or, comment un médecin, qui n’est pas un chimiste et dont le travail n’est certes pas de référencer tous les médicaments mis sur le marché, comment pourrait-il ne pas faire confiance aux deux plus hautes instances qui régissent l’autorisation de vente des médicaments en France à savoir l’Affsaps et en dernier lieu le Ministère de la Santé ? Ainsi, nous ne parlerons pas des médecins qui, de surcroit, comme tout être humain, peuvent aussi faire des erreurs. Pas plus que nous ne mettons en cause l'utilité des médicaments dans certains traitements.

 

Notre propos est ici de présenter le iatrogénisme médicamenteux lié aux médicaments constitués de molécules de synthèses d’origines chimiques et présentés comme : « possédant des propriétés curatives, préventives ou administrée en vue d'établir un diagnostic » (in Le Larousse)

 

 Primum non nocere… 

 

Les effets secondaires

 

ou quand les effets indésirables

 

des médicaments tuent.


 

Pour Bernard Kouchner, Secrétaire d’État à la Santé en 1998,

- « l'iatrogènèse induite par les médicaments constitue un problème grave de santé publique. (...) La France est un pays où la surconsommation médicamenteuse est flagrante et injustifiée : nous consommons 19 fois plus de vasodilatateurs qu’au Royaume-Uni ; 3 fois plus de psychotropes qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni. »

(lire ici un plus large extrait du discours de Monsieur Kouchner alors Secrétaire d’Etat à la Santé lors de la Conférence Nationale de la Santé, Lundi 22 juin 1998.)
  

Quelques chiffres : les Français consomment, par personne, 6 fois plus de médicaments que les Pays-Bas. Aux Pays Bas, sur 10 sortants d'une consultation, 6 personnes n'ont pas d'ordonnance avec prescription de médicaments, alors que le taux est de 0.25 sur 10 en France.

 

La réduction du risque iatrogène a été définie comme une priorité par la Conférence nationale de santé de 1996.

 

 « Une première étude, menée en France en 1997 par le Réseau des Centres Régionaux de pharmacovigilance, chez les malades hospitalisés un jour donné, dans des services de médecine, de chirurgie et de long séjour, a montré que la prévalence des effets indésirables médicamenteux était de 10,3 %. 33 % correspondaient à des effets indésirables graves. » Ce doux euphémisme évoquant aussi la mort des patients.

Notons, en outre, que ces effets indésirables sont la cause de 128 000 hospitalisations chaque année en France. 

 

Il y aurait, selon Monsieur Philippe Douste Blazy, alors Ministre de la Santé, 8 000 décès annuels du fait des interactions médicamenteuses qui ne représentent qu'une partie de l'iatrogénèse médicamenteuse.


Dans le même temps et toujours en France, Madame Anne-Marie Payet(1), indiquait que : « les chiffres les plus couramment avancés font état de 140 000 hospitalisations provoquées par des accidents médicamenteux et de 13 000 décès avérés par infections nosocomiales, qui, elles, sont estimées causer 4 200 décès par an en France. »

Et Madame Payet d’ajouter : « cette approche sous-estime très probablement la réalité » selon le document DGS/GTNDO (Direction générale de la Santé et le Groupe Technique National de Définition des Objectifs) la seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 décès par an, dont une partie évitable ».

Et les 13 000 décès avérés (et peut-être jusqu'à 32 000 ) suite à un accident médicamenteux ne sont qu'une (autre) partie des décès hors infections nosocomiales.

Au total, événénements iatrogènes et infections nosocomiales représenteraient plus de 20 000 décès par an en France.

Des estimations complémentaires font apparaître des chiffres beaucoup plus élevés : 34 200 décès annuels, voire plus !

 

Les objectifs du Ministère de la Santé français

 

Le Ministère de la Santé français s'est donné les objectifs suivants :

 

«  Réduire d’1/3 la fréquence des événements iatrogènes graves (EIG) évitables lors des séjours hospitaliers

Réduire de 20 % l'incidence des infections nosocomiales secondaires à des actes invasifs

Réduire d’1/3 la prévalence de la iatrogénie médicamenteuse hospitalière grave et évitable

Réduire d’1/3 le nombre annuel d’hospitalisations dues à un effet médicamenteux indésirable évitable

Réduire de 30 % les doses annuelles par habitant secondaires à une irradiation médicale à visée diagnostique

Réduire de 20 % le nombre de décès ayant la iatrogénie comme cause principale »

 

à quelle échéance ?,

quel en est le calendrier ?,

Quelles sont les directives voires les informations qui pourraient-être diffusées auprès des professionnels de la santé ?

quelles sont les mises en gardes auprès des consommateurs ?,

et enfin quel est le regard pour ne pas dire l’écoute du Ministrère de la santé envers les médecines dites douces ou alternatives ?

Telles sont les questions qui ne semblent pas avoir été évoquées au Ministère de la santé.

 

L’état des lieux en France :

 

surconsommation médicamenteuse, nous parlons ici de la quantité de médicaments parfois hallucinante qu’un patient peut avaler quotidiennement.

Les interactions entre les médicaments sont inévitables lorsque un patient doit prendre jusqu’à 10 comprimés voire plus à chaque repas !

Le cycle infernal est alors enclenché et le médicament qui devra soulager votre douleur au genou déclanchera des maux d’estomac et ainsi de suite puisque vous allez alors rechercher le médicament qui devra soigner votre estomac. L’usage excessif et prolongé, souvent évitable, de molécules chimiques entraine inévitalblement à long terme une intoxication de l’organisme. Et plus étonnant encore nous assistons aujourd’hui à l’émergence de pathologies nouvelles résultant de ces prises excessives de médicaments.

Comment soigner ces troubles lorsqu’ils sont eux-même issus de produits devant soigner ?

 

Les Français  consommateurs de médicaments

 

nous l’avons vu un Français ne comprendrait pas sortir du cabinet de son médecin si celui-ci ne lui a pas préscrit de médicaments.


Est-ce bien certain ?

 

Ou plutôt demandons-nous pourquoi il en est ainsi ?

 

Les Français sont devenus en quelques années les champions du monde de la consommation de médicaments et dans le même temps les laboratoires pharmaceutiques Français sont parmi les leaders mondiaux de ce marché, n’y aurait-il pas là un lien de cause à effet ?

Si l’on fabrique quelque chose, il faut bien le vendre et pourquoi aller chercher très loin des consommateurs lorsqu’ils sont à notre porte ?     

                                                                                              

Vous avez un petit coup de fatigue, une très légère déprime, l’automne vous rend triste et mélancolique, prenez donc cette merveilleuse petite pilule avec ce formidable anti-dépresseur vous avez enfin avoir un ami pour la vie : vous ne pourrez plus vous en passer !!

Vous souffrez de l’estomac, vous êtes balloné, vous vous sentez lourd, vous dormez mal : ne changer donc pas votre alimentation ni votre hygiène de vie mais avant chaque repas n’oubliez pas de verser ces quelques gouttes dans votre verre et tout ira tellement mieux.

 

Les laboratoires pharmaceutiques 

face aux consommateurs de médicaments :

 

 

Les laboratoires pharmaceutiques Français ont devant eux 65 millions de malades potentiels dont la consommation de médicaments est remboursée par la Sécurité Sociale, pourquoi donc se priveraient-ils de cette manne ?

 

jp07262004 110  

                                                                                           

Mais attention, il faut faire sérieux, scientifique, médical en somme, alors on expertise, on disséque, on trie, on classe, on classifie et, dans ce domaine, les deux catégories où toutes les pathologies peuvent être imaginées et donc créées le plus sont : la sexualité et la santé mentale, il n’est que de se pencher sur les ventes du Viagra (stimulant de l’érection) et du Prozac (surnommé : la pilule du bonheur !) ces deux incroyables best-sellers du médicament mondial.

Pour bien comprendre le phénomène penchons-nous sur : le DSM (Diagnostical and Statistical Manual), la bible des psychiatres, en 1950 le DSM  répertoriait 60 pathologies mentales, en 1994 ce sont 450 troubles mentaux qui y sont référencés : le moindre de nos traits de caractère est classé, décrit par le DSM comme trouble pathologique : la timidité, le déficit de l’attention ou même encore le trouble de l’apprentissage en font partie… avec tant d’autres.

Pour paraître vraiment sérieux il faut alors nommer la supposée maladie et lorsque vous baptisez le simple saignement de nez : " épitaxis " vous obtenez une pathologie qui, tout à coup, devient inquiétante…

 

Comment s’étonner alors que le budget communication (publicité) des grands groupes pharmaceutiques soit 2 fois plus important que celui dévolu à la recherche ? ! Et que, dans le même temps,  sous couvert du principe de précaution, des sommes fabuleuses sont dépensées en vaccins inutiles  ou en campagnes de communication dans la prévention de certains cancers  alors que le silence est total et les campagnes de prévention inexistantes en ce qui concerne les effets meurtrier du iatrogénisme.


Et pour chacune des pathologies modernes, sa solution médicamenteuse.

Si vous souffrez de plusieurs maux, vous consommerez plusieurs médicaments et si vous ne souffrez que d’un seul mal vous consommerez aussi plusieurs médicaments et puis les médicaments qui soignent les effets indésirables des médicaments.

Mieux encore nous assistons aux maladies découlant de la consommation de médicaments ou d’interactions néfastes entre un et plusieurs médicaments : nous revoilà au iatrogénisme tel qu’il est de plus en plus fréquent.

Les populations à risques iatrogéniques les plus élevés sont les personnes agées (rapport du GTNDO ici) mais aussi les personnes souffrants de troubles chroniques telles que les pathologies liées à la dépression, aux allergies… autant de maux qui, pourtant, pourraient être pris en charge  efficacement et durablement par les techniques de médecines naturelles. 

  

Le rôle des pouvoirs publics

 

77 médicaments viennent d’être inscrit à la liste des médicaments dangereux ou potentiellement à risque (retrouvez la liste ici format PdF), il est interressant de constater que nous avons tous reçu à notre domicile un document émanant du Ministrère de la Santé lors de l’épisode de grippe A/H1N1 et nous incitant à nous faire vacciner, qu’avons-nous reçu comme informations concernant ces médicaments dont certains sont à usage quasi quotidien ou si facilement incluent dans les réflexes d’automédication, le Di-Antalvic® (2), par exemple ?

 

Les pouvoirs publics auraient-ils des intérêts communs avec les laboratoires pharmaceutiques ?


Quant on sait que 95 % des demandes d’agréments pour la mise sur le marché des médicaments sont accordés par l’Afssaps, on est en droit de le penser.

Le meilleur exemple de la dérive des laboratoires pharmaceutiques et du soutien des pouvoirs publics à leur égard est, nous l’avons vu, dans la mémoire de tous avec l’épisode de pseudo pandémie de la grippe du virus A/H1N1 : tous les français sans exception aucune devaient –enfin- se faire vacciner et ce par deux fois pour avoir la chance de survivre à ce nouveau fléau ! Qu’en reste-t-il ? Un  rapport accablant de la cour des comptes (cf rapport cour des comptes ici).

Plus près de nous, voilà le scandale du Médiator® et ses 50 puis 500 puis 2 000 puis… on n’ose publier le chiffre exact de décès liés au Médiator®, sans compter les personnes qui survivent avec des effets secondaires graves liés à ce médicament.


1218793_mediator_150x113.jpgNous assistons donc à un déluge d’annonces télévisuelles nous incitant à la vaccination contre le cancer du col de l’utérus, à la vaccination contre l’hépatite B (des bébés ont même été vaccinés alors que c’est une maladie transmise par le sang ou, ô comble !, : sexuellement transmissible et que le vaccin doit être renouvellé avant la puberté du bébé vacciné !), et de jouer sur la terreur que chacun de nous peu ressentir devant la maladie et de culpabiliser les parents pour que le message publicitaire passe, parce que ne nous trompons pas il s’agit bien là de messages publicitaires définis pour des consommateurs. Quant aux messages alarmants pour le dépistage de certains cancers ils sont légions, nous ne mettrons dans la balance que ce chiffre : 3 000 à 5 000 décès par an, dont une partie évidemment évitable, liés à l’irradiation médicale à visée diagnostique pour certains cancers, Source : Direction générale de la Santé et le Groupe Technique National de Définition des Objectifs.  

Dans le bulletin du HCSP (bulletin en pdf du Haut Comité de la Santé Publique ici) il est aussi indiqué (douce Lapalissade...) :

- « En matière de soins, il convient tout d’abord de souligner qu’éviter les actes inutiles est sans doute la prévention la plus efficace de l’iatrogénie. »

On n’ose apprécier ce : « sans doute » : il semblerait que ces Messieurs du Haut Comité de la Santé Publique ne soient - sans doute - pas certains qu’il peut être bénéfique d’éviter les actes médicaux inutiles !…


 

A.HomeNaturo OverblogL ’avis du Naturopathe



Primum non nocere  (d'abord, ne pas nuire) Hyppocrate  

 

En résumé :

 

d’un côté

 

3 994 personnes ont été tuées sur les routes de France en 2010

 

et de l’autre

 

20 000 à 30 000 décès annuels survenus à la suite d’événénements iatrogènes et infections nosocomiales confondus.

 

 

d’un côté

 

D’importantes campagnes de communications de prévention routière, pour nous faire accepter une politique répressive et… dont les caisses de l’état tirent de larges bénéfices.

 

de l’autre 

 

30 000 morts silencieuses. 

 

Certains de nos politiques s’émeuvent de la situation sans que l’information ne soit reléguée dans les médias, des rapports sont rendus face à ce fléau sans qu’ils soient suivis d’effets, le journaliste-écrivan Marc Menant a résumé la situation dans le titre de son excellent ouvrage : « La médecine nous tue » dont le succès de librairie démontre bien l’intérêt des Français face aux problèmes de santé publique (20.000 exemplaires vendus) et cependant l’adjectif « iatrogénisme » est encore totalement inconnu de la population française, bien que ses effets en soient dévastateurs.

 

Le marché du médicament, nous l’avons vu, est un marché porteur.


Parmi les plus importantes entreprises françaises on trouve plusieurs laboratoires pharmaceutiques, ces entreprises rapportent beaucoup d’argent, elles sont cotées en bourse et emploient de nombreux salariés, comment mettre alors en balance les vies gâchées par les médicaments fabriqués par ces mêmes laboratoires. Lorsque l’on sait que des traitements contre l’acné sont encore aujourd’hui prescrits en regard du bénéfice/risque alors que l’on suspecte, dans le même temps, que ces mêmes traitements sont liés à des états dépressifs graves et des suicides, que les molécules employées dans ces traitements sont interdites dans de nombreux pays (retrouvez ici l’article et les témoignages sur les traitements de l’acné), il semble bien que nos pouvoirs publics aient choisi de soutenir coûte que coûte un bassin d’emplois important et des entreprises florissantes.

 

 

« Avoir, dans les maladies, deux choses en vue :

  être utile ou du moins ne pas nuire »  

A.carre sante blog HomeNaturo Hippocrate définissait ainsi le but de la médecine,  dans le traité des Épidémies (I, 5) daté de 410 av. J.-C. environ


Le maître mot en matière de santé devrait être « prévention » et non pas « traitement » et, en ce qui concerne la prévention, les techniques naturelles de santé sont souveraines.

E  n outre, nombreuses sont les pathologies qui pourraient être traitées par le simple bon sens et en suivant des conseils avisés : réglage alimentaire, gestion du stress, hygiène de vie, activités physique, qui sont alors autant de remèdes simples et pour le coup sans autres effets secondaires que ceux du bien-être.

Cette mise en place de ces différentes méthodes s’appelle la Naturopathie que l’on peut aussi qualifier de « médecine de la santé ».

 

Cet article paru dans la presse signale : " Le médecin qui a tué toute sa famille était sous antidepresseurs " f rond dro

 

 

Au sujet de la santé lire aussi 

Médicaments et effets secondaires l'avis du Naturopathe

Effets secondaires des médicaments : témoignages

Conférence Nationale de la Santé, Bernard Kouchner 

Les maladies dégénératives en augmentation  

Malade ? Et si c'était le médicament ?

Le Dr Alain Braillon, le médecin qui dérange...

Le club des parlementaires au service de la santé...

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Vers des expérimentations médicales humaines sans consentement !

En Inde, des tests médicaux sont pratiqués en secret...

Le médicament, les laboratoires pharmaceutiques et nous...

De la bonne santé des laboratoires pharmaceutiques

Les parabènes interdits et les médicaments

Grippe A/H1N1, les Naturopathes avaient raison !

La fièvre ou l'hyperthermie en Naturopathie


Diagnostiques et médecine nucléaire

médecine nucléaire et irradiations médicales l'avis du Naturopathie

Cancer du sein les risques du surdiagnostic

Les dangers de l'imagerie médicale

Le soleil et la vitamine D


Revue de Presse

Dans la presse : Les Français et les médicaments

Dans la presse : on parle encore du médiator

Ce cher...Médiator : une petite boîte d'un coût exhorbitant !

Dans la presse : Distilbène, Requip : effets secondaires

Dans la presse : témoignage d'une malade du médiator

La ronde des médicaments...

 

et d'autres....

 

(1) - Anne-Marie Payet Sénatrice de la Réunion à l'origine d'un amendement qui va conduire à l'inscription de messages de prévention contre le syndrome d'alcoolisation fœtale sur l'ensemble des bouteilles d'alcool commercialisées en France 

(2) - Di-Antalvic®, Les nouvelles vont vite : au moment de l’écriture de cet article j’apprenais le retrait sur le marché du Di-Antalvic® et du Propofan® prévu pour le mardi 1er mars 2011

 

Sources :

Affsaps – Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé - 

DGS-GTNDO -Direction générale de la Santé et le Groupe Technique National de Définition des Objectifs- 

HCSP – Haut Comité de Santé Publique –

Ministère de la Santé

Sécurité Routière

 

Publications :

Belle Santé n°133-Mars 2011-

Marianne n°705 –octobre 2010 –

Marc Menant « La Medecine nous tue » 

Dictionnaires : Larousse - Médical - Pharmacopée - Vidal -

 

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 18:29

 Qu'est-ce que la Naturopathie en quoi est-elle différente de la médecine conventionnelle, est-elle différente de l'homéopathie ? Sur le Blog de naturopathe HomeNaturo-naturopathie et iridologie consultation à domicile ou par téléphone.

 

 

A.HomeNaturoPourquoi la Naturopathie ?


Ou la complémentarité du triangle médical

 

En navigant sur Internet, en parcourant les rayons des marchands de journaux on ne peut que remarquer le foisonnement d’éditions sur le thème de la santé. Toutes les pratiques de santé -et parmi elles de très loufoques- sont représentées.

Comment s’y retrouver ?

 

Il existe pourtant 3 approches médicales, officiellement reconnues.

Quelles sont-elles ?


L'Allopathie

L'Homéopathie et

La Naturopathie

 

Aujourd’hui, ces différentes approches de santé occidentales semblent cependant profondément dissociées et cloisonnées.

 

Pourtant, malgré des démarches radicalement différentes, il pourrait exister un important potentiel de complémentarité entre l’allopathie (médecine conventionnelle), les médecines dites douces ou parallèles ( homéopathie) et la naturopathie à mettre en oeuvre.

 

L’idéal serait de mettre en place une réelle collaboration entre ces 3 démarches, dans l’intérêt du patient.

Si l’Allopathie s’ouvre de plus en plus à l’Homéopathie, par la volonté de médecins allopathes à traiter leurs patients en utilisant aussi l’homéopathie, l'approche de santé  Naturopathique n’est pas encore soutenue par la médecine conventionnelle.

 

C’est donc à chacun de s’informer sur ces différentes pratiques, pour les comprendre et y voir plus clair.

 

Comprendre l’approche de la maladie selon les 3 démarches :

 

Chaque approche a ses avantages et ses inconvénients : 

 

L’Allopathie : Médecine institutionnelle, classique, dite aussi conventionnelle.

Médecine réservée aux médecins DE (Diplomé d'Etat).

Pour les médecins allopathes : Maladie = Symptôme = syndrome.

A l’aide de connaissance en sémiologie (étude des symptômes), est établi un diagnostic et choisi un traitement adapté.

Pour l’allopathie, la guérison est la disparition des symptômes.

 

Avantages : Médecine parfaite de l’urgence, adaptée au secteur lésionnel. Irremplaçable quand il y a danger vital, quand la maladie a pris le dessus sur le malade.

Inconvénients : traitement anti symptomatique avec risques de iatrogénie (effets secondaires) liés aux médicaments à molécules chimiques. Le malade n’est pas « responsable » de sa santé, c’est le traitement qui agit et non pas le malade sur son hygiène de vie ni même l’organisme du malade qui devrait pourtant combattre la maladie.

 

L’Homéopathie :  Méthode thérapeutique qui consiste à traiter les maladies en prescrivant, à doses infinitésimales, des médicaments aptes à produire des symptômes analogues à ceux de ces maladies elles-mêmes.

Médecine réservée au docteur en médecine DE.

Prise en compte globale du patient, écoute du patient : diagnostic personnalisé.

La guérison est la suppression des symptômes.

 

Avantages : médecine du fonctionnel, de la petite urgence, traitement adapté anti symptomatique non iatrogène (sans effets secondaires). Les médicaments homéopathiques sont efficaces, non polluants pour l'environnement (voir l'article sur les résidus médicamenteux dans l'eau ici) et souvent appropriés à l'automédication, même si il est toujours prudent de demander l'avis du pharmacien ou de tout autre professionnel de santé, puisque, ne l'oublions pas, ce sont des principes actifs.

Inconvénients : Les traitements peuvent parfois être longs mais sans effets secondaires et, malgré une prise en compte globale du patient, ce sont aussi les symptômes qui seront traités principalement. L’Homéopathie a trouvé ses meilleurs preuves d’efficacité dans le traitement des animaux : il y a de plus en plus de vétérinaires qui utilisent l’Homéopathie.

 

La Naturopathie : Pratique de santé très utile pour la restructuration ou la conservation du capital santé.

La Naturopathie permet de comprendre le fonctionnement de l’organisme et l’action que peut avoir le consultant sur son état de santé. Approche globale de l’individu, écoute attentive du consultant, démarche préventive et établissement d’un Programme d’Hygiène Vitale. Le Naturopathe ne posera pas de dignostique mais recherchera toutes les causes de la maladie : Alimentation, Hygiène de vie, santé mentale et gestion du stress, activités physique, vie quotidienne, soins et antécédants médicaux mais aussi environnement direct, contraintes professionnelles… Cette prise en compte globale du consultant va, en outre, permettre au Naturopathe de lui indiquer d’autres thérapeutes : ostéopathes, psychanalystes…

 

Avantages : La recherche de la cause de la maladie permet une synthèse totale du consultant pour une bonne correction du terrain et une réforme profonde en hygiène vitale. La consultation Naturopathique inclus une grande part d’enseignements et de conseils pour le consultant afin de lui permettre de retrouver ou conserver son capital santé.

Inconvénients : L’enseignement, la responsabilisation du consultant, autant de démarches volontaires de la part du consultant qui sont nécessaires pour obtenir durablement de bons résultats.

La naturopathie fait partie des médecines naturelles, reconnues comme " non conventionnelles " par le Parlement Européen, et comme " complémentaires " par l'Organisation Mondiale de la Santé. 

 

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Faisons un peu connaissance

Lisez l'article ici   

 

Conseils pour choisir son praticien de santé ici 

Si vous souhaitez connaître l'Histoire de la Naturopathie, c'est ici

 

Cliquez sur les images pour les afficher

michel diplome naturopathe du CENA Diplôme de Naturopathe

diplôme IRIDOLOGIE Michel-Mars-2012-  Diplôme d'Iridologue 

michel certificat janvier 2012XX Attestation de formation en Biologie immunoglobuline tissulaire

Copie de michel presse sept 2010-ARTICLE Article paru dans le Magazine " Profession Thérapeute "

 

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 18:23

logoKOKOPELLI KOKOPELLI diffuse cette pétition...à vous de jouer !

 

Voici le texte de la pétition que vous pourrez trouver sur le blog de l'association Kokopelli (via son site)

Vous pouvez aussi retrouver cette pétition en format PdF à télécharger directement ici si le lien ne s'affiche pas vous pouvez me contacter et je vous enverrai directement le Pdf par mail

 

Semer l’avenir – récolter la diversité

 

 

Pas de brevet sur les plantes !

 

 

Les semences doivent rester

 

 

un patrimoine

 

 

commun !

 

 

Depuis des millénaires les hommes ont cultivé cette diversité. Elle appartient à tous et en premier lieu
aux populations indigènes qui l’ont cultivée. Qu’elle soit accessible à tous est la base de notre pain
quotidien et de la souveraineté alimentaire. Dans beaucoup de pays ce sont encore aujourd’hui surtout
les paysans et les paysannes qui améliorent et multiplient, échangent et vendent les semences.
L’UE veut adopter une législation commune concernant les semences pour tous les pays membres d’ici
2010. Les transnationales des semences exigent le renforcement de leurs droits de propriété intellectuelle,
par la possibilité d’inscrire des brevets sur les variétés et par la restriction sinon l’interdiction de
toutes les semences paysannes et variétés non enregistrées.
Les dix plus grandes transnationales comme Bayer, Monsanto, Limagrain et Syngenta, contrôlent déjà
67% du marché mondial des semences. Pour étendre leur marché, elles veulent imposer au reste du
monde leurs variétés dites modernes qui rendent les paysans dépendant des engrais et des pesticides
produits par ces mêmes transnationales, et de l’irrigation artificielle.
Ce ne sont pas leurs variétés industrielles qui pourront nourrir la population mondiale à l’avenir, mais la
grande diversité des variétés adaptées aux conditions spécifiques de chaque région et capables de
s’adapter aux changements climatiques.
Les négociations sur une nouvelle législation en Europe se passent jusqu’à présent à huis clos entre
les représentants des transnationales et les fonctionnaires européens et nous craignons le pire. Pour
influer sur ces négociations une participation la plus large possible à cette campagne est nécessaire.
Nous exigeons
le droit de produire nos propres semences, de les multiplier et de les échanger
le renforcement de la diversité régionale par un soutien à ceux qui améliorent et cultivent des variétés biologiques
L’interdiction des OGM dans l’agriculture
L’interdiction des brevets sur les plantes
Une nouvelle procédure pour l’inscription de nouvelles variétés, excluant les OGM et les variétés dépendantes de produits chimiques
L’arrêt du gaspillage d’énergies dans l’agriculture en renonçant à l’utilisation des variétés nécessitant une multitude de produits chimiques, par les monocultures et les transports à travers le monde
Nom, Prénom
Adresse 

courriel

Signature

 

En savoir plus ?
S.v.p. commandez des pétitions supplémentaires et renvoyez les remplies jusqu’au 15 avril 2010 à:
Forum Civique Européen, F-04300 Limans. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site des initiateurs de cette pétition: www.saatgutkampagne.org, ou écrire à forumciviqueeuropeenkarola@yahoo.fr

 

Ensemble...tout est possible !!!

(08.02.2011)

 

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Le petit mot de kokopelli :

 

Pétition, où en sommes nous ?
Il y a un an et demi, l'Association Kokopelli lançait sa pétition "Libérons les Semences".
Nous remercions toutes les associations,
amis et adhérents qui ont relayé cette pétition :
nous avons à ce jour environ 250 000 signatures.
Nous vous invitons, si vous ne l'avez déjà fait, à picto petition signer cette pétition en ligne ou à la télécharger sur le site de l'association pour la faire signer à vos amis. Nous continuons à proposer cette pétition sur toutes les expositions et foires bios sur lesquelles l'Association Kokopelli est présente.
Nous attendrons le moment opportun pour la présenter au Ministère de l'Agriculture.

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Les autres pétitions diffusées par HomeNaturo

cliquez sur l'image : picto petition

 

 

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