médicaments, iatrogenie medicamenteuse, effets indesirables medicaments, effets secondaires, sur le blog de Naturopathie HomeNaturo, naturopathe à domicile ou par téléphone
Les Français malades
de leurs medicaments
3 994 personnes ont trouvé la mort sur les routes de France selon les chiffres 2010 de la sécurité routière.
140 000 hospitalisations provoquées par un effet iatrogène
18 000 décès avérés par iatrogénisme (certaines sources comptabilisent 32 000)
20 000 à 30 000 décès annuels survenus à la suite d’événénements iatrogènes et infections nosocomiales confondus.
Peut-on diffuser de telles campagnes médiatiques pour 4.000 décès et, dans le même temps, passer sous silence 20.000 à 30.000 morts, serions-nous devant une telle épidémie que nos pouvoirs publics -par crainte de la panique -auraient décidé de taire ?
De quoi parlons-nous ?
Les accidents de la route, tout le monde connaît et chacun d’entre nous craint d’y être confronté un jour dans sa vie.
Mais le iatrogénisme qui en parle ?
A quoi sont donc du ces 18 000 voire 32 000 décès annuels en France et dont personne ne semble vraiment se soucier ?
Quel est donc ce nouveau fléau ?
iatrogène
(adjectif).
Maladie provoquée par le médecin, le traitement ou les médicaments - Définition du Dictionnaire médical -
Se dit d'un trouble, d'une maladie provoqués par un acte médical ou par les médicaments, même en l'absence d'erreur du médecin. - Définition Larousse -
Si l’adjectif « iatrogène » évoque aussi les maladies provoquées par le médecin et les erreurs médicales, notre propos n’est pas ici de parler des médecins.
Les médecins Français, on le sait sont surchargés de travail. Au-delà de ça ils sont aussi confrontés à une multitude de médicaments, présentés dans leurs cabinets par de talentueux visiteurs médicaux tout dévolu à la cause de leur laboratoire. Or, comment un médecin, qui n’est pas un chimiste et dont le travail n’est certes pas de référencer tous les médicaments mis sur le marché, comment pourrait-il ne pas faire confiance aux deux plus hautes instances qui régissent l’autorisation de vente des médicaments en France à savoir l’Affsaps et en dernier lieu le Ministère de la Santé ? Ainsi, nous ne parlerons pas des médecins qui, de surcroit, comme tout être humain, peuvent aussi faire des erreurs. Pas plus que nous ne mettons en cause l'utilité des médicaments dans certains traitements.
Notre propos est ici de présenter le iatrogénisme médicamenteux lié aux médicaments constitués de molécules de synthèses d’origines chimiques et présentés comme : « possédant des propriétés curatives, préventives ou administrée en vue d'établir un diagnostic » (in Le Larousse)
Primum non nocere…
Les effets secondaires
ou quand les effets indésirables
des médicaments tuent.
Pour Bernard Kouchner, Secrétaire d’État à la Santé en 1998,
- « l'iatrogènèse induite par les médicaments constitue un problème grave de santé publique. (...) La France est un pays où la surconsommation médicamenteuse est flagrante et injustifiée : nous consommons 19 fois plus de vasodilatateurs qu’au Royaume-Uni ; 3 fois plus de psychotropes qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni. »
(lire ici un plus large extrait du discours de Monsieur Kouchner alors Secrétaire d’Etat à la Santé lors de la Conférence Nationale de la Santé, Lundi 22 juin 1998.)
Quelques chiffres : les Français consomment, par personne, 6 fois plus de médicaments que les Pays-Bas. Aux Pays Bas, sur 10 sortants d'une consultation, 6 personnes n'ont pas d'ordonnance avec prescription de médicaments, alors que le taux est de 0.25 sur 10 en France.
La réduction du risque iatrogène a été définie comme une priorité par la Conférence nationale de santé de 1996.
« Une première étude, menée en France en 1997 par le Réseau des Centres Régionaux de pharmacovigilance, chez les malades hospitalisés un jour donné, dans des services de médecine, de chirurgie et de long séjour, a montré que la prévalence des effets indésirables médicamenteux était de 10,3 %. 33 % correspondaient à des effets indésirables graves. » Ce doux euphémisme évoquant aussi la mort des patients.
Notons, en outre, que ces effets indésirables sont la cause de 128 000 hospitalisations chaque année en France.
Il y aurait, selon Monsieur Philippe Douste Blazy, alors Ministre de la Santé, 8 000 décès annuels du fait des interactions médicamenteuses qui ne représentent qu'une partie de l'iatrogénèse médicamenteuse.
Dans le même temps et toujours en France, Madame Anne-Marie Payet(1), indiquait que : « les chiffres les plus couramment avancés font état de 140 000 hospitalisations provoquées par des accidents médicamenteux et de 13 000 décès avérés par infections nosocomiales, qui, elles, sont estimées causer 4 200 décès par an en France. »
Et Madame Payet d’ajouter : « cette approche sous-estime très probablement la réalité » selon le document DGS/GTNDO (Direction générale de la Santé et le Groupe Technique National de Définition des Objectifs) la seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 décès par an, dont une partie évitable ».
Et les 13 000 décès avérés (et peut-être jusqu'à 32 000 ) suite à un accident médicamenteux ne sont qu'une (autre) partie des décès hors infections nosocomiales.
Au total, événénements iatrogènes et infections nosocomiales représenteraient plus de 20 000 décès par an en France.
Des estimations complémentaires font apparaître des chiffres beaucoup plus élevés : 34 200 décès annuels, voire plus !
Les objectifs du Ministère de la Santé français
Le Ministère de la Santé français s'est donné les objectifs suivants :
« Réduire d’1/3 la fréquence des événements iatrogènes graves (EIG) évitables lors des séjours hospitaliers
Réduire de 20 % l'incidence des infections nosocomiales secondaires à des actes invasifs
Réduire d’1/3 la prévalence de la iatrogénie médicamenteuse hospitalière grave et évitable
Réduire d’1/3 le nombre annuel d’hospitalisations dues à un effet médicamenteux indésirable évitable
Réduire de 30 % les doses annuelles par habitant secondaires à une irradiation médicale à visée diagnostique
Réduire de 20 % le nombre de décès ayant la iatrogénie comme cause principale »
à quelle échéance ?,
quel en est le calendrier ?,
Quelles sont les directives voires les informations qui pourraient-être diffusées auprès des professionnels de la santé ?
quelles sont les mises en gardes auprès des consommateurs ?,
et enfin quel est le regard pour ne pas dire l’écoute du Ministrère de la santé envers les médecines dites douces ou alternatives ?
Telles sont les questions qui ne semblent pas avoir été évoquées au Ministère de la santé.
L’état des lieux en France :
surconsommation médicamenteuse, nous parlons ici de la quantité de médicaments parfois hallucinante qu’un patient peut avaler quotidiennement.
Les interactions entre les médicaments sont inévitables lorsque un patient doit prendre jusqu’à 10 comprimés voire plus à chaque repas !
Le cycle infernal est alors enclenché et le médicament qui devra soulager votre douleur au genou déclanchera des maux d’estomac et ainsi de suite puisque vous allez alors rechercher le médicament qui devra soigner votre estomac. L’usage excessif et prolongé, souvent évitable, de molécules chimiques entraine inévitalblement à long terme une intoxication de l’organisme. Et plus étonnant encore nous assistons aujourd’hui à l’émergence de pathologies nouvelles résultant de ces prises excessives de médicaments.
Comment soigner ces troubles lorsqu’ils sont eux-même issus de produits devant soigner ?
Les Français consommateurs de médicaments
nous l’avons vu un Français ne comprendrait pas sortir du cabinet de son médecin si celui-ci ne lui a pas préscrit de médicaments.
Est-ce bien certain ?
Ou plutôt demandons-nous pourquoi il en est ainsi ?
Les Français sont devenus en quelques années les champions du monde de la consommation de médicaments et dans le même temps les laboratoires pharmaceutiques Français sont parmi les leaders mondiaux de ce marché, n’y aurait-il pas là un lien de cause à effet ?
Si l’on fabrique quelque chose, il faut bien le vendre et pourquoi aller chercher très loin des consommateurs lorsqu’ils sont à notre porte ?
Vous avez un petit coup de fatigue, une très légère déprime, l’automne vous rend triste et mélancolique, prenez donc cette merveilleuse petite pilule avec ce formidable anti-dépresseur vous avez enfin avoir un ami pour la vie : vous ne pourrez plus vous en passer !!
Vous souffrez de l’estomac, vous êtes balloné, vous vous sentez lourd, vous dormez mal : ne changer donc pas votre alimentation ni votre hygiène de vie mais avant chaque repas n’oubliez pas de verser ces quelques gouttes dans votre verre et tout ira tellement mieux.
Les laboratoires pharmaceutiques
face aux consommateurs de médicaments :
Les laboratoires pharmaceutiques Français ont devant eux 65 millions de malades potentiels dont la consommation de médicaments est remboursée par la Sécurité Sociale, pourquoi donc se priveraient-ils de cette manne ?
Mais attention, il faut faire sérieux, scientifique, médical en somme, alors on expertise, on disséque, on trie, on classe, on classifie et, dans ce domaine, les deux catégories où toutes les pathologies peuvent être imaginées et donc créées le plus sont : la sexualité et la santé mentale, il n’est que de se pencher sur les ventes du Viagra (stimulant de l’érection) et du Prozac (surnommé : la pilule du bonheur !) ces deux incroyables best-sellers du médicament mondial.
Pour bien comprendre le phénomène penchons-nous sur : le DSM (Diagnostical and Statistical Manual), la bible des psychiatres, en 1950 le DSM répertoriait 60 pathologies mentales, en 1994 ce sont 450 troubles mentaux qui y sont référencés : le moindre de nos traits de caractère est classé, décrit par le DSM comme trouble pathologique : la timidité, le déficit de l’attention ou même encore le trouble de l’apprentissage en font partie… avec tant d’autres.
Pour paraître vraiment sérieux il faut alors nommer la supposée maladie et lorsque vous baptisez le simple saignement de nez : " épitaxis " vous obtenez une pathologie qui, tout à coup, devient inquiétante…
Comment s’étonner alors que le budget communication (publicité) des grands groupes pharmaceutiques soit 2 fois plus important que celui dévolu à la recherche ? ! Et que, dans le même temps, sous couvert du principe de précaution, des sommes fabuleuses sont dépensées en vaccins inutiles ou en campagnes de communication dans la prévention de certains cancers alors que le silence est total et les campagnes de prévention inexistantes en ce qui concerne les effets meurtrier du iatrogénisme.
Et pour chacune des pathologies modernes, sa solution médicamenteuse.
Si vous souffrez de plusieurs maux, vous consommerez plusieurs médicaments et si vous ne souffrez que d’un seul mal vous consommerez aussi plusieurs médicaments et puis les médicaments qui soignent les effets indésirables des médicaments.
Mieux encore nous assistons aux maladies découlant de la consommation de médicaments ou d’interactions néfastes entre un et plusieurs médicaments : nous revoilà au iatrogénisme tel qu’il est de plus en plus fréquent.
Les populations à risques iatrogéniques les plus élevés sont les personnes agées (rapport du GTNDO ici) mais aussi les personnes souffrants de troubles chroniques telles que les pathologies liées à la dépression, aux allergies… autant de maux qui, pourtant, pourraient être pris en charge efficacement et durablement par les techniques de médecines naturelles.
Le rôle des pouvoirs publics
77 médicaments viennent d’être inscrit à la liste des médicaments dangereux ou potentiellement à risque (retrouvez la liste ici format PdF), il est interressant de constater que nous avons tous reçu à notre domicile un document émanant du Ministrère de la Santé lors de l’épisode de grippe A/H1N1 et nous incitant à nous faire vacciner, qu’avons-nous reçu comme informations concernant ces médicaments dont certains sont à usage quasi quotidien ou si facilement incluent dans les réflexes d’automédication, le Di-Antalvic® (2), par exemple ?
Les pouvoirs publics auraient-ils des intérêts communs avec les laboratoires pharmaceutiques ?
Quant on sait que 95 % des demandes d’agréments pour la mise sur le marché des médicaments sont accordés par l’Afssaps, on est en droit de le penser.
Le meilleur exemple de la dérive des laboratoires pharmaceutiques et du soutien des pouvoirs publics à leur égard est, nous l’avons vu, dans la mémoire de tous avec l’épisode de pseudo pandémie de la grippe du virus A/H1N1 : tous les français sans exception aucune devaient –enfin- se faire vacciner et ce par deux fois pour avoir la chance de survivre à ce nouveau fléau ! Qu’en reste-t-il ? Un rapport accablant de la cour des comptes (cf rapport cour des comptes ici).
Plus près de nous, voilà le scandale du Médiator® et ses 50 puis 500 puis 2 000 puis… on n’ose publier le chiffre exact de décès liés au Médiator®, sans compter les personnes qui survivent avec des effets secondaires graves liés à ce médicament.
Nous assistons donc à un déluge d’annonces télévisuelles nous incitant à la vaccination contre le cancer du col de l’utérus, à la vaccination contre l’hépatite B (des bébés ont même été vaccinés alors que c’est une maladie transmise par le sang ou, ô comble !, : sexuellement transmissible et que le vaccin doit être renouvellé avant la puberté du bébé vacciné !), et de jouer sur la terreur que chacun de nous peu ressentir devant la maladie et de culpabiliser les parents pour que le message publicitaire passe, parce que ne nous trompons pas il s’agit bien là de messages publicitaires définis pour des consommateurs. Quant aux messages alarmants pour le dépistage de certains cancers ils sont légions, nous ne mettrons dans la balance que ce chiffre : 3 000 à 5 000 décès par an, dont une partie évidemment évitable, liés à l’irradiation médicale à visée diagnostique pour certains cancers, Source : Direction générale de la Santé et le Groupe Technique National de Définition des Objectifs.
Dans le bulletin du HCSP (bulletin en pdf du Haut Comité de la Santé Publique ici) il est aussi indiqué (douce Lapalissade...) :
- « En matière de soins, il convient tout d’abord de souligner qu’éviter les actes inutiles est sans doute la prévention la plus efficace de l’iatrogénie. »
On n’ose apprécier ce : « sans doute » : il semblerait que ces Messieurs du Haut Comité de la Santé Publique ne soient - sans doute - pas certains qu’il peut être bénéfique d’éviter les actes médicaux inutiles !…
L ’avis du Naturopathe
Primum non nocere (d'abord, ne pas nuire) Hyppocrate
En résumé :
d’un côté
3 994 personnes ont été tuées sur les routes de France en 2010
et de l’autre
20 000 à 30 000 décès annuels survenus à la suite d’événénements iatrogènes et infections nosocomiales confondus.
d’un côté
D’importantes campagnes de communications de prévention routière, pour nous faire accepter une politique répressive et… dont les caisses de l’état tirent de larges bénéfices.
de l’autre
30 000 morts silencieuses.
Certains de nos politiques s’émeuvent de la situation sans que l’information ne soit reléguée dans les médias, des rapports sont rendus face à ce fléau sans qu’ils soient suivis d’effets, le journaliste-écrivan Marc Menant a résumé la situation dans le titre de son excellent ouvrage : « La médecine nous tue » dont le succès de librairie démontre bien l’intérêt des Français face aux problèmes de santé publique (20.000 exemplaires vendus) et cependant l’adjectif « iatrogénisme » est encore totalement inconnu de la population française, bien que ses effets en soient dévastateurs.
Le marché du médicament, nous l’avons vu, est un marché porteur.
Parmi les plus importantes entreprises françaises on trouve plusieurs laboratoires pharmaceutiques, ces entreprises rapportent beaucoup d’argent, elles sont cotées en bourse et emploient de nombreux salariés, comment mettre alors en balance les vies gâchées par les médicaments fabriqués par ces mêmes laboratoires. Lorsque l’on sait que des traitements contre l’acné sont encore aujourd’hui prescrits en regard du bénéfice/risque alors que l’on suspecte, dans le même temps, que ces mêmes traitements sont liés à des états dépressifs graves et des suicides, que les molécules employées dans ces traitements sont interdites dans de nombreux pays (retrouvez ici l’article et les témoignages sur les traitements de l’acné), il semble bien que nos pouvoirs publics aient choisi de soutenir coûte que coûte un bassin d’emplois important et des entreprises florissantes.
« Avoir, dans les maladies, deux choses en vue :
être utile ou du moins ne pas nuire »
Hippocrate définissait ainsi le but de la médecine, dans le traité des Épidémies (I, 5) daté de 410 av. J.-C. environ
Le maître mot en matière de santé devrait être « prévention » et non pas « traitement » et, en ce qui concerne la prévention, les techniques naturelles de santé sont souveraines.
E n outre, nombreuses sont les pathologies qui pourraient être traitées par le simple bon sens et en suivant des conseils avisés : réglage alimentaire, gestion du stress, hygiène de vie, activités physique, qui sont alors autant de remèdes simples et pour le coup sans autres effets secondaires que ceux du bien-être.
Cette mise en place de ces différentes méthodes s’appelle la Naturopathie que l’on peut aussi qualifier de « médecine de la santé ».
Cet article paru dans la presse signale : " Le médecin qui a tué toute sa famille était sous antidepresseurs "
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et d'autres....
(1) - Anne-Marie Payet Sénatrice de la Réunion à l'origine d'un amendement qui va conduire à l'inscription de messages de prévention contre le syndrome d'alcoolisation fœtale sur l'ensemble des bouteilles d'alcool commercialisées en France
(2) - Di-Antalvic®, Les nouvelles vont vite : au moment de l’écriture de cet article j’apprenais le retrait sur le marché du Di-Antalvic® et du Propofan® prévu pour le mardi 1er mars 2011
Sources :
Affsaps – Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé -
DGS-GTNDO -Direction générale de la Santé et le Groupe Technique National de Définition des Objectifs-
HCSP – Haut Comité de Santé Publique –
Ministère de la Santé
Sécurité Routière
Publications :
Belle Santé n°133-Mars 2011-
Marianne n°705 –octobre 2010 –
Marc Menant « La Medecine nous tue »
Dictionnaires : Larousse - Médical - Pharmacopée - Vidal -
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