Dans la presse : le danger des antibiotiques

Lu pour vous dans la presse

  Santé :

Allons on va essayer de nous faire croire que ce sont les patients qui exigent des antibiotiques et à grands renforts de spots télévisés encore ! Mais alors une question se pose : qu'en est-il du rôle -primordial- du médecin ? Ne serait-il donc devenu qu'un " vendeur " de médicament ? Qu'une sorte d'épicier médical à qui le patient demande ce qu'il veut ? Je ne peux le croire...Il est un acteur dont il n'est pas fait mention ici : le visiteur médical, véritable V.R.P des laboratoires pharmaceutiques et il est avéré que les médecins reçoivent quotidiennement une à plusieurs visites de ces " représentants " dont le rôle n'est plus seulement d'informer mais de véritablement influencer la prescription du médecin, or, le médecin, justement, n'a plus le temps ni les informations nécessaires pour prescrire efficacement les médicaments et, très souvent, les prescriptions sont données en fonction des visiteurs médicaux les plus persuasifs. Qu'en est-il  donc aujourd'hui de la formation des médecins et des étudiants, est-elle véritablement indépendante ? Cette question doit aussi être posée car, enfin, le patient ne consomme que les antibiotiques figurant sur son ordonnance, ce n'est tout-de-même pas lui qui exige la prescription de tel ou tel antibiotique ! Et quand bien même un patient demanderait une prescription particulière si celle-ci ne convient pas à son traitement, c'est bien au médecin à refuser de prescrir un traitement inadéquat...

Deux autres points sont soulevés dans cet article :

- les méthodes d'élevages soumises à de forts traitements antibiotiques, les pouvoirs publics ne devraient-ils pas, pour enrayer ce phénomène, promouvoir et soutenir l'agriculture Bio qui, elle, refuse les traitements antibiotiques préventifs alors que, dans bien des cas, l'élevage Bio et la médecine vétérinaire naturelle sont mal-menés par ces mêmes instances, comme en témoigne le jugement rendu à l'encontre du Dr Philippe Labre, vétérinaire " bio ".

- Et enfin, le peu de cas que fait, aujourd'hui, la médecine de notre système immunitaire. Ainsi, par exemple, l'allaitement devrait être considéré comme une nécessité médicale pour permettre à la mère de transmettre ses propres défenses immunitaires au nourrisson, au lieu de cela il est encore des médecins qui conseillent aux mères l'emploi de laits artificiels. Quant aux maladies nosocomiales dont il est ici question, il existe des hôpitaux et cliniques " pilotes " qui utilisent les Huiles Essentielles et qui ont vu baisser de plus de 50 % le taux d'infections nosocomiales.

On le voit, c'est tout un système, où tout est lié, qui doit être modifié :

un nouveau regard scientifique doit éclairer le monde médical,

une nouvelle forme d'agriculture et d'élevage doit être mise en place pour, enfin, revenir à ce que prône la Naturopathie : un retour réfléchi et argumenté au bon sens naturel pour une vie équilibrée.

La Naturopathie ne propose pas un retour en arrière mais une meilleure compréhension des erreurs du passé et de notre présent !

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